samton
06/05/2014, 23h55
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Trois ans après son arrivée, le cycle Gillot se termine. L’entraîneur de Bordeaux va s’asseoir pour la dernière fois sur le banc de touche à domicile samedi contre Marseille. Alors, au-delà de l’objectif de prolonger d’une année le plus vieux record d’invincibilité de Ligue 1 (http://actualites.leparisien.fr/ligue+1.html) (l’OM n’a plus gagné en Gironde depuis le 1er octobre 1977, le chantier de sa succession est le sujet du moment.
Avec un nom, écrit en lettres d’or au panthéon du football (http://actualites.leparisien.fr/football.html) français, celui de Zinedine Zidane (http://actualites.leparisien.fr/zinedine+zidane.html) (qui a évolué à Bordeaux de 1992 à 1996).
Bordeaux rêve de refaire le coup d’un autre champion du monde, Laurent Blanc, qui avait débuté sa carrière d’entraîneur en Gironde en 2007 (avec un titre de champion, une Coupe de la ligue et deux trophées des champions). Entre les deux parties, des discussions sont en cours en toute discrétion, car le sujet est sensible. Totalement concentré sur la fin de saison du Real, Zidane refuse d’évoquer une destination possible. « Je sais juste qu’il est déterminé à entraîner. Il a fait le tour du rôle de numéro 2. Mais il ne veut pas se tromper et il n’ira pas n’importe où. Zinedine sait qu’il sera très attendu. Et quand on s’appelle Zidane, ce ne sont pas les après son arrivée, le cycle Gillot se termine. L’entraîneur de Bordeaux va s’asseoir pour la dernière fois sur le banc de touche à domicile samedi contre Marseille. Alors, au-delà de l’objectif de prolonger d’une année le plus vieux record d’invincibilité de Ligue 1 (http://actualites.leparisien.fr/ligue+1.html) (l’OM n’a plus gagné en Gironde depuis le 1er octobre 1977, le chantier de sa succession est le sujet du moment.
prétendants qui manquent », confie son ami Christophe Dugarry.
Si son frère d’armes est sceptique sur la perspective de le voir prendre les rênes de Bordeaux, d’autres sont plus nuancés. « Les Girondins font partie de ses choix possibles. Mais je pense que, pour le moment, ce n’est pas sa destination numéro 1 », assure un proche de l’adjoint du Real qui tient à rester anonyme. Zidane a fait savoir qu’il voulait des garanties en termes de recrutement et d’effectif pour viser le haut de tableau. L’idée de travailler dans le club qui l’a révélé, la perspective du nouveau stade en mai 2015 et une exigence de résultats moins forte que dans un club plus huppé peuvent l’attirer. En termes d’images et de retombées médiatiques, Bordeaux et son actionnaire majoritaire, M 6, seraient gagnants grâce à la très forte notoriété de l’homme qui s’est marié au château du Haillan. « La porte lui est ouverte », confiait cet hiver Jean-Louis Triaud, qui n’a pas changé d’avis depuis.
Aux Girondins, on croise les doigts tout en étudiant d’autres pistes. Celle menant à Christian Gourcuff se referme. Malgré une offre des Girondins, le druide breton deviendra probablement le sélectionneur algérien à l’issue de la Coupe du monde. Jean-Louis Triaud a aussi contacté Mauricio Pochettino. Mais le salaire de l’ancien joueur parisien, actuellement sur le banc de Souhampton, est jugé trop élevé.
Avec un nom, écrit en lettres d’or au panthéon du
football (http://actualites.leparisien.fr/football.html) français, celui de Zinedine Zidane (http://actualites.leparisien.fr/zinedine+zidane.html) (qui a évolué à Bordeaux de 1992 à 1996).
Bordeaux rêve de refaire le coup d’un autre champion du monde, Laurent Blanc, qui avait débuté sa carrière d’entraîneur en Gironde en 2007 (avec un titre de champion, une Coupe de la ligue et deux trophées des champions). Entre les deux parties, des discussions sont en cours en toute discrétion, car le sujet est sensible. Totalement concentré sur la fin de saison du Real, Zidane refuse d’évoquer une destination possible. « Je sais juste qu’il est déterminé à entraîner. Il a fait le tour du rôle de numéro 2. Mais il ne veut pas se tromper et il n’ira pas n’importe où. Zinedine sait qu’il sera très attendu. Et quand on s’appelle Zidane, ce ne sont pas les prétendants qui manquent », confie son ami Christophe Dugarry.
Si son frère d’armes est sceptique sur la perspective de le voir prendre les rênes de Bordeaux, d’autres sont plus nuancés. « Les Girondins font partie de ses choix possibles. Mais je pense que, pour le moment, ce n’est pas sa destination numéro 1 », assure un proche de l’adjoint du Real qui tient à rester anonyme. Zidane a fait savoir qu’il voulait des garanties en termes de recrutement et d’effectif pour viser le haut de tableau. L’idée de travailler dans le club qui l’a révélé, la perspective du nouveau stade en mai 2015 et une exigence de résultats moins forte que dans un club plus huppé peuvent l’attirer. En termes d’images et de retombées médiatiques, Bordeaux et son actionnaire majoritaire, M 6, seraient gagnants grâce à la très forte notoriété de l’homme qui s’est marié au château du Haillan. « La porte lui est ouverte », confiait cet hiver Jean-Louis Triaud, qui n’a pas changé d’avis depuis.
Aux Girondins, on croise les doigts tout en étudiant d’autres pistes. Celle menant à Christian Gourcuff se referme. Malgré une offre des Girondins, le druide breton deviendra probablement le sélectionneur algérien à l’issue de la Coupe du monde. Jean-Louis Triaud a aussi contacté Mauricio Pochettino. Mais le salaire de l’ancien joueur parisien, actuellement sur le banc de Souhampton, est jugé trop élevé.
Trois ans après son arrivée, le cycle Gillot se termine. L’entraîneur de Bordeaux va s’asseoir pour la dernière fois sur le banc de touche à domicile samedi contre Marseille. Alors, au-delà de l’objectif de prolonger d’une année le plus vieux record d’invincibilité de Ligue 1 (http://actualites.leparisien.fr/ligue+1.html) (l’OM n’a plus gagné en Gironde depuis le 1er octobre 1977, le chantier de sa succession est le sujet du moment.
Avec un nom, écrit en lettres d’or au panthéon du football (http://actualites.leparisien.fr/football.html) français, celui de Zinedine Zidane (http://actualites.leparisien.fr/zinedine+zidane.html) (qui a évolué à Bordeaux de 1992 à 1996).
Bordeaux rêve de refaire le coup d’un autre champion du monde, Laurent Blanc, qui avait débuté sa carrière d’entraîneur en Gironde en 2007 (avec un titre de champion, une Coupe de la ligue et deux trophées des champions). Entre les deux parties, des discussions sont en cours en toute discrétion, car le sujet est sensible. Totalement concentré sur la fin de saison du Real, Zidane refuse d’évoquer une destination possible. « Je sais juste qu’il est déterminé à entraîner. Il a fait le tour du rôle de numéro 2. Mais il ne veut pas se tromper et il n’ira pas n’importe où. Zinedine sait qu’il sera très attendu. Et quand on s’appelle Zidane, ce ne sont pas les après son arrivée, le cycle Gillot se termine. L’entraîneur de Bordeaux va s’asseoir pour la dernière fois sur le banc de touche à domicile samedi contre Marseille. Alors, au-delà de l’objectif de prolonger d’une année le plus vieux record d’invincibilité de Ligue 1 (http://actualites.leparisien.fr/ligue+1.html) (l’OM n’a plus gagné en Gironde depuis le 1er octobre 1977, le chantier de sa succession est le sujet du moment.
prétendants qui manquent », confie son ami Christophe Dugarry.
Si son frère d’armes est sceptique sur la perspective de le voir prendre les rênes de Bordeaux, d’autres sont plus nuancés. « Les Girondins font partie de ses choix possibles. Mais je pense que, pour le moment, ce n’est pas sa destination numéro 1 », assure un proche de l’adjoint du Real qui tient à rester anonyme. Zidane a fait savoir qu’il voulait des garanties en termes de recrutement et d’effectif pour viser le haut de tableau. L’idée de travailler dans le club qui l’a révélé, la perspective du nouveau stade en mai 2015 et une exigence de résultats moins forte que dans un club plus huppé peuvent l’attirer. En termes d’images et de retombées médiatiques, Bordeaux et son actionnaire majoritaire, M 6, seraient gagnants grâce à la très forte notoriété de l’homme qui s’est marié au château du Haillan. « La porte lui est ouverte », confiait cet hiver Jean-Louis Triaud, qui n’a pas changé d’avis depuis.
Aux Girondins, on croise les doigts tout en étudiant d’autres pistes. Celle menant à Christian Gourcuff se referme. Malgré une offre des Girondins, le druide breton deviendra probablement le sélectionneur algérien à l’issue de la Coupe du monde. Jean-Louis Triaud a aussi contacté Mauricio Pochettino. Mais le salaire de l’ancien joueur parisien, actuellement sur le banc de Souhampton, est jugé trop élevé.
Avec un nom, écrit en lettres d’or au panthéon du
football (http://actualites.leparisien.fr/football.html) français, celui de Zinedine Zidane (http://actualites.leparisien.fr/zinedine+zidane.html) (qui a évolué à Bordeaux de 1992 à 1996).
Bordeaux rêve de refaire le coup d’un autre champion du monde, Laurent Blanc, qui avait débuté sa carrière d’entraîneur en Gironde en 2007 (avec un titre de champion, une Coupe de la ligue et deux trophées des champions). Entre les deux parties, des discussions sont en cours en toute discrétion, car le sujet est sensible. Totalement concentré sur la fin de saison du Real, Zidane refuse d’évoquer une destination possible. « Je sais juste qu’il est déterminé à entraîner. Il a fait le tour du rôle de numéro 2. Mais il ne veut pas se tromper et il n’ira pas n’importe où. Zinedine sait qu’il sera très attendu. Et quand on s’appelle Zidane, ce ne sont pas les prétendants qui manquent », confie son ami Christophe Dugarry.
Si son frère d’armes est sceptique sur la perspective de le voir prendre les rênes de Bordeaux, d’autres sont plus nuancés. « Les Girondins font partie de ses choix possibles. Mais je pense que, pour le moment, ce n’est pas sa destination numéro 1 », assure un proche de l’adjoint du Real qui tient à rester anonyme. Zidane a fait savoir qu’il voulait des garanties en termes de recrutement et d’effectif pour viser le haut de tableau. L’idée de travailler dans le club qui l’a révélé, la perspective du nouveau stade en mai 2015 et une exigence de résultats moins forte que dans un club plus huppé peuvent l’attirer. En termes d’images et de retombées médiatiques, Bordeaux et son actionnaire majoritaire, M 6, seraient gagnants grâce à la très forte notoriété de l’homme qui s’est marié au château du Haillan. « La porte lui est ouverte », confiait cet hiver Jean-Louis Triaud, qui n’a pas changé d’avis depuis.
Aux Girondins, on croise les doigts tout en étudiant d’autres pistes. Celle menant à Christian Gourcuff se referme. Malgré une offre des Girondins, le druide breton deviendra probablement le sélectionneur algérien à l’issue de la Coupe du monde. Jean-Louis Triaud a aussi contacté Mauricio Pochettino. Mais le salaire de l’ancien joueur parisien, actuellement sur le banc de Souhampton, est jugé trop élevé.