enzo
03/05/2014, 12h48
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Honneur a lui, la libertè de la presse est indispensable pour une grande democratie :D
Le président Abdelaziz Bouteflika a adressé ce vendredi un message aux professionnels de l’information, à l’occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse.
« J'ai veillé et je continuerai à veiller à ce que l'exercice de la liberté d'expression et de presse se fasse loin de toute pression, en dehors de toute tutelle et de toute restriction, si ce n'est celle de la conscience professionnelle, ou celle expressément prévue par la loi », a indiqué le chef de l’Etat, en faisant l’impasse sur les multiples atteintes à la liberté de la presse en Algérie.
Nul besoin de de revenir aux années passées. Les atteintes à la liberté d’expression son légion en 2014 où plusieurs journalistes ont été interpellés et brutalisés par les forces de sécurité, lors des manifestations organisées par des activistes opposés à la candidature de Bouteflika pour un 4eme mandat.
La chaîne privée Atlas TV a été fermée et son matériel saisi, pour des raisons liées à ses positions quant à la candidature du président sortant. Le journal Algérie news a été privé de la publicité publique (Anep) parce que sa ligne éditoriale ne cautionne pas les choix du pouvoir concernant l’élection présidentiel.
Le caricaturiste, Djamel Ghanem, a été poursuivi en justice pour « outrage au président de la République » alors que la caricature incriminée n’a jamais été publiée.
Les journalistes des médias publics sont empêchés d’exercer leur métier objectivement et sont obligés, dans certains cas, à faire l’éloge des responsables de l’Etat.
Autant d’atteintes, très récentes, n’ont pas empêché le président Bouteflika de déclarer dans sa lettre adressée aux professionnels de l’information que « L’avenir de la démocratie dans notre pays repose sur une presse libre, compétente, soucieuse de l'intérêt national et imbue du sens des responsabilités »
Honneur a lui, la libertè de la presse est indispensable pour une grande democratie :D
Le président Abdelaziz Bouteflika a adressé ce vendredi un message aux professionnels de l’information, à l’occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse.
« J'ai veillé et je continuerai à veiller à ce que l'exercice de la liberté d'expression et de presse se fasse loin de toute pression, en dehors de toute tutelle et de toute restriction, si ce n'est celle de la conscience professionnelle, ou celle expressément prévue par la loi », a indiqué le chef de l’Etat, en faisant l’impasse sur les multiples atteintes à la liberté de la presse en Algérie.
Nul besoin de de revenir aux années passées. Les atteintes à la liberté d’expression son légion en 2014 où plusieurs journalistes ont été interpellés et brutalisés par les forces de sécurité, lors des manifestations organisées par des activistes opposés à la candidature de Bouteflika pour un 4eme mandat.
La chaîne privée Atlas TV a été fermée et son matériel saisi, pour des raisons liées à ses positions quant à la candidature du président sortant. Le journal Algérie news a été privé de la publicité publique (Anep) parce que sa ligne éditoriale ne cautionne pas les choix du pouvoir concernant l’élection présidentiel.
Le caricaturiste, Djamel Ghanem, a été poursuivi en justice pour « outrage au président de la République » alors que la caricature incriminée n’a jamais été publiée.
Les journalistes des médias publics sont empêchés d’exercer leur métier objectivement et sont obligés, dans certains cas, à faire l’éloge des responsables de l’Etat.
Autant d’atteintes, très récentes, n’ont pas empêché le président Bouteflika de déclarer dans sa lettre adressée aux professionnels de l’information que « L’avenir de la démocratie dans notre pays repose sur une presse libre, compétente, soucieuse de l'intérêt national et imbue du sens des responsabilités »