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Voir la version complète : « La mort m'a oublié », dit l'homme de 179 ans (Inde)



soltan009
28/04/2014, 18h28
http://www.leral.net/photo/art/default/6552194-9882347.jpg?v=1398341018

Mes petits-enfants sont morts il y a des années. En quelque sorte, la mort m'a oublié". El Indio cordonnier Mahashta Mûrasi dit qu'il est né en janvier 1835, il est non seulement l'homme le plus vieux du monde mais aussi qu'il est l'homme qui a vécu le plus d'années à travers l'histoire humaine, selon le Guinness World Records.

Les responsables indiens disent que l'homme est né dans une maison à Bangalore le 6 janvier 1835. De 1903, il a vécu à Varanasi, où il a travaillé jusqu'en 1957, jusqu'à sa retraite à 122 ans.

« Je vis aussi longtemps que les enfants de mes petits-enfants qui sont morts il y a quelques années", a déclaré Mûrasi.

"D'une certaine façon, la mort m'oublié. Et maintenant, nous n'avons aucun espoir".

"En regardant les statistiques, on ne meurt pas à plus de 150 ans et encore moins à 170. A ce stade, je pense que je suis immortel ou quelque chose", a-t-il dit.

Selon WorldNewsDailyReport.com, tous les documents permettant d'identifier l'homme soutiennent sa version. Mais, à ce jour, aucun examen médical n'a confirmé la véracité de ses allégations.

Le professionnel ultime qui a visité Mûrasi est mort en 1971, il y a donc peu d'informations sur ses antécédents médicaux.

harroudiroi
28/04/2014, 19h16
Je ne pense pas qu'il soit si,vieux que ça, sinon il détiendrait le record du monde de longévité, et il sera étudié sous toutes les coutures pour expliquer ce phénomène, susceptible de résoudre bon nombres de questions,

tamerelenet
29/04/2014, 13h46
difficile à croire quand même.

harroudiroi
29/04/2014, 17h33
Actualité Sciences
Le sang d'une supercentenaire révèle les limites de la vie humaine

La Hollandaise Hendrikje van Andel-Schipper est morte en 2005 à l'âge de 115 ans. En étudiant les raisons de sa longévité, des chercheurs ont fait de surprenantes découvertes.


A la fin de sa vie, elle était la doyenne de l'humanité. Le cas de Hendrikje Van Andel-Schipper, morte en 2005 à l'âge de 115 ans, continue d'intéresser la communauté scientifique. Et dans son sang se trouveraient de nombreuses réponses à nos questions sur la vie et la mort. C'est ce que montrent des chercheurs dans une étude publiée ce mois d'avril dans la revue Genome Research.




En analysant le sang de la supercentenaire, les scientifiques ont d'abord découvert environ 450 mutations génétiques dans des cellules qui ne se reproduisaient pas. Contrairement à celles qu'on observe dans le cas de maladie comme la leucémie, ces mutations ne comportent aucun risque pour l'individu.


Deux cellules qui changent tout
Les chercheurs ont cherché à comprendre d'où venaient ces mutations. C'est là qu'ils ont découvert qu'elles ne provenaient que de deux cellules souches sanguines. Ces deux petites cellules souches étaient à l'origine des deux-tiers des globules blancs de Hendrikje Van Andel-Schipper. Alors qu'en temps normal, environ 1000 cellules de ce type sont actives pour renouveler le sang d'un être humain.


Deuxième trouvaille: les télomères (extrémité des chromosomes) étaient 173 fois plus courts dans les globules blancs qu'à l'intérieur de cellules nerveuses du cerveau de la patiente. Pour les chercheurs, cela signifie que plus une cellule se reproduit, plus la taille de ses télomères diminue.


L'immortalité n'est pas pour tout de suite
A partir de ces deux découvertes, les chercheurs émettent une hypothèse: nos cellules souches ne pourraient pas se diviser à l'infini. Il s'agirait d'une sorte "d'épuisement cellulaire". Théorie qui expliquerait pourquoi deux cellules sur mille peuvent produire les deux tiers des globules blancs de la vieille dame: les autres seraient tout simplement trop "fatiguées".


Ce phénomène poserait, de fait, une limite à notre vie puisque nos cellules doivent régulièrement se renouveler. Henne Holstege, qui a dirigé ces travaux, voit tout de même des opportunités pour la médecine dans ses découvertes. "Si je prends un échantillon de mes cellules souches et que je me le redonne quand je suis vieille, j'aurais de nouveau de longs télomères", explique-t-elle, citée par le site NewsScientist.com.


Inutile de s'emballer trop vite: "Cela pourrait n'être possible qu'avec le sang et pas avec d'autres tissus", nuance-t-elle. Le secret de la vie éternelle est encore loin.

soltan009
29/04/2014, 17h50
C'est même plus que bidon, c'est en fait un canular

Pourquoi c’est totalement « bidon »

Au delà du simple mystère qui nous envahie quant au niveau de crédulité des internautes (l’article a été partagé au total et sous toutes ses formes plus de 2 millions de fois ces derniers jours), deux points viennent se joindre à l’évidence pour confirmer ce qui ne fait pourtant aucun doute: Cette histoire est un canular.

Le Guiness Book… pas au courant

Joins par un journal anglais , le plus célèbre des livres des records n’est évidement au courant de rien, contrairement à ce qu’affirme l’article. Et en attendant qu’un envoyé spécial du Guiness Book en inde transmette des preuves originales permettant de confirmer ses informations, la plus vielle personnes vivant actuellement sur la planète est à ce jour une chinoise de 116 ans. Qui n’aura sans doute pas frémis un orteil à l’annonce falsifiée de son découronnement.