gilaitalia
21/04/2014, 20h55
Révoltant ! Voici la preuve des exactions bestiales de policiers algériens perpétrées sur de jeunes Kabyles lors de la manifestation pacifique du 20 avril à Tizi-Ouzou pour la double commémoration du printemps berbère (amazigh) de 1980 et du printemps noir de 2001.
http://www.lematindz.net/thumbnail.php?file=2014/04/Tizi_920391025.jpg&size=article_mediumDes policiers qui s'acharnent sur un jeune manifestant par terre et sans doute inanimé.
Dans cette vidéo tournée ce dimanche 20 avril 2014 vers 17h30 (GMT+0), une dizaine de jeunes manifestants kabyles dont le seul tort est de manifester pacifiquement pour rendre hommage aux martyrs des printemps kabyles, se font tabasser, matraquer, gifler et passer à tabac par des groupes de policiers algériens dont la rage et le zèle ne peuvent expliquer à eux-seuls un comportement aussi passible de tribunaux.L'on reconnait bien là la tactique des forces de répression algériennes : chaque manifestant est rapidement interpellé par au moins trois policiers. Bouaziz Ait Chebib, cadre au MAK, a été blessé à la jambe par ces mêmes policiers qui l'ont ciblé lors des émeutes qui ont éclaté suite à l'interdiction de la marche de Tizi-Ouzou.
Excités et particulièrement remontés des policiers anti-émeutes en tenue réglementaire des forces de sécurité algériennes et d'autres en civil (cf ci-dessous le policier en chemise à carreaux et celui en blouson noir tirant la victime), distribuent des coups à satiété aux Kabyles, dont Jugurtha, un militant du MAK, gisant sur la route, torse nu, immobile, évanoui pour ce qu'il paraît à moins qu'il ne soit déjà tué, sans pitié, un policier en uniforme lui assène un violent coup de pied dans le ventre, avant que deux policiers en civil ne le traînent à bout de bras, sa tête raclant le bitume... pour certainement le cacher des regards et le faire disparaître dans leur engin garé non loin de là.Ce lynchage s'est déroulé à Tizi-Ouzou, à la cité Boudiaf - 2000 logements, devant le laboratoire de radiologie "Yaker" dont on distingue bien la façade à 22 secondes du début de la vidéo, on y voit notamment l'espace "parking" à droite et le commissariat de police est tout proche de cet endroit.Par cette violence à l'occasion d'une date phare de l'existence du peuple kabyle manifestant pacifiquement depuis 34 ans pour rendre hommage aux siens qui s'étaient sacrifié pour la liberté, la démocratie et la laïcité et la survie de sa langue et de sa culture, le clan de Bouteflika ont mis à exécution leur menace pour punir les Kabyles pour les avoir chassés de Kabylie lors de la campagne présidentielle et boycotté les urnes le jour du vote. Amara Benyounes, le plus honni des préposés à l’animationAvec Siwel
http://www.lematindz.net/thumbnail.php?file=2014/04/Tizi_920391025.jpg&size=article_mediumDes policiers qui s'acharnent sur un jeune manifestant par terre et sans doute inanimé.
Dans cette vidéo tournée ce dimanche 20 avril 2014 vers 17h30 (GMT+0), une dizaine de jeunes manifestants kabyles dont le seul tort est de manifester pacifiquement pour rendre hommage aux martyrs des printemps kabyles, se font tabasser, matraquer, gifler et passer à tabac par des groupes de policiers algériens dont la rage et le zèle ne peuvent expliquer à eux-seuls un comportement aussi passible de tribunaux.L'on reconnait bien là la tactique des forces de répression algériennes : chaque manifestant est rapidement interpellé par au moins trois policiers. Bouaziz Ait Chebib, cadre au MAK, a été blessé à la jambe par ces mêmes policiers qui l'ont ciblé lors des émeutes qui ont éclaté suite à l'interdiction de la marche de Tizi-Ouzou.
Excités et particulièrement remontés des policiers anti-émeutes en tenue réglementaire des forces de sécurité algériennes et d'autres en civil (cf ci-dessous le policier en chemise à carreaux et celui en blouson noir tirant la victime), distribuent des coups à satiété aux Kabyles, dont Jugurtha, un militant du MAK, gisant sur la route, torse nu, immobile, évanoui pour ce qu'il paraît à moins qu'il ne soit déjà tué, sans pitié, un policier en uniforme lui assène un violent coup de pied dans le ventre, avant que deux policiers en civil ne le traînent à bout de bras, sa tête raclant le bitume... pour certainement le cacher des regards et le faire disparaître dans leur engin garé non loin de là.Ce lynchage s'est déroulé à Tizi-Ouzou, à la cité Boudiaf - 2000 logements, devant le laboratoire de radiologie "Yaker" dont on distingue bien la façade à 22 secondes du début de la vidéo, on y voit notamment l'espace "parking" à droite et le commissariat de police est tout proche de cet endroit.Par cette violence à l'occasion d'une date phare de l'existence du peuple kabyle manifestant pacifiquement depuis 34 ans pour rendre hommage aux siens qui s'étaient sacrifié pour la liberté, la démocratie et la laïcité et la survie de sa langue et de sa culture, le clan de Bouteflika ont mis à exécution leur menace pour punir les Kabyles pour les avoir chassés de Kabylie lors de la campagne présidentielle et boycotté les urnes le jour du vote. Amara Benyounes, le plus honni des préposés à l’animationAvec Siwel