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SIDALI55
28/12/2012, 11h12
Inde: Une adolescente victime d'un viol collectif se suicide
http://cache.20minutes.fr/img/photos/jdn/2012-12/2012-12-27/article_photo_1356633615298-1-HD.jpgUne manifestation à Bombay le 27 décembre 2012 après le viol d'une étudiante PUNIT PARANJPE AFP.COM
DRAME - Elle n'a pas supporté son entrevue avec la police...
Une adolescente indienne, victime d'un viol collectif, s'est suicidée après qu'un policier eut tenté de la convaincre de retirer sa plainte et d'épouser un de ses violeurs, a-t-on appris jeudi auprès de la police et de ses proches.
La jeune fille, âgée de 17 ans, a avalé du poison et a été retrouvée morte mercredi soir. Son suicide (http://www.20minutes.fr/thematique/suicide) intervient après un autre viol collectif d'une étudiante dans un autobus à New Delhi le 16 décembre, qui a provoqué une vague d'indignation en Inde. L'état de santé de la victime est extrêmement grave.
Un policier suspendu
L'adolescente qui s'est suicidée avait subi un viol en bande le 13 novembre pendant un festival (http://www.20minutes.fr/thematique/festival) à Diwali dans la région de Patiala, dans l'Etat du Pendjab (nord). Un policier a été licencié et un autre suspendu de ses fonctions pour leur traitement de ce cas, selon des responsables locaux.
La jeune fille «a tout essayé pour faire enregistrer sa plainte» (http://www.20minutes.fr/ledirect/1070469/inde-victime-viol-collectif-transferee-a-singapour-etat-tres-critique) mais les policiers n'ont pas ouvert d'enquête officielle, a déclaré à l'AFP l'inspecteur général Paramjit Singh Gill, chef de la police régionale.
«L'un des officiers de police a tenté de la convaincre de retirer sa plainte», a-t-il ajouté. La soeur de la victime a déclaré à la chaîne de télévision indienne NDTV que les policiers locaux étaient allés plus loin. «La police a commencé à exercer des pressions sur elle pour qu'elle accepte ou bien un arrangement financier avec ses violeurs, ou bien d'épouser l'un d'entre eux», a dit la soeur.
Aucun interpellé
Avant son suicide (http://www.20minutes.fr/thematique/suicide), personne n'avait été arrêté dans cette affaire. Jeudi, trois personnes ont été interpellées, ses deux violeurs présumés et une femme soupçonnée d'avoir été leur complice.
Jeudi également, l'agence de presse indienne PTI a rapporté qu'un policier avait été suspendu de ses fonctions dans l'Etat de Chhattisgar (nord) après avoir lui aussi refusé d'enregistrer une plainte pour viol.
Ces différentes affaires illustrent la manière dont la police indienne traite souvent les cas de violences sexuelles subies par des femmes. Plus de 90% des crimes violents enregistrés en 2011 avaient une ou des femmes pour victime(s), soit 228.650 sur 256.329, selon les données officielles, mais les chiffres réels devraient être encore plus élevés car beaucoup de femmes hésitent à porter plainte auprès de la police.
Dans une intervention télévisée, le Premier ministre indien Manmohan Singh a déclaré jeudi que les lois «sur la sécurité des femmes seraient revues» et a annoncé la création d'une commission d'enquête.
© 2012 AFP
Créé le 27/12/2012 à 19h43 -- Mis à jour le 28/12/2012 à 10h03 20mn.fr
yazidnic
05/01/2013, 10h37
Mis à jour le 05.01.13 à 09h47
L'affaire des auteurs présumés du viol collectif d'une étudiante à New Delhi devait être transférée samedi à un tribunal doté de pouvoirs permettant une procédure accélérée. La jeune femme de 23 ans est morte le 29 décembre dans un hôpital de Singapour après avoir lutté treize jours pour survivre aux terribles blessures qui lui avaient été infligées.
Six suspects ont été arrêtés et la police a formellement inculpé cinq hommes, âgés de 19 à 35 ans, d'enlèvement, viol et meurtre lors d'une première audience jeudi devant le tribunal du district de Saket, dans le sud de la capitale. Un sixième auteur présumé a subi des examens osseux pour vérifier qu'il est bien âgé de 17 ans, avant de le faire juger devant un tribunal pour enfants.
Violences faites aux femmes : l’Europe dont la France épinglée (http://www.ajib.fr/2014/03/violences-faites-aux-femmes-leurope-dont-la-france-epinglee/)Pendant que Manuel Valls semble participer au concours républicain du plus grand nombre d’inepties débitées à la minute, et semble tellement soucieux des droits des femmes musulmanes qu’il nous en mettrait presque la larme à l’œil, en France ce sont 44% des femmes qui déclarent avoir déjà subi des violences physiques ou sexuelles au cours […]
AJIB.FR (http://www.ajib.fr/) | PUBLIÉ LE 10 MARS 2014 PAR LILA
http://www.ajib.fr/wp-content/uploads/2014/03/decombe-vivien_dollans-thomas.jpg (http://www.ajib.fr/wp-content/uploads/2014/03/decombe-vivien_dollans-thomas.jpg)
Pendant que Manuel Valls semble participer au concours républicain du plus grand nombre d’inepties débitées à la minute, et semble tellement soucieux des droits des femmes musulmanes (http://www.ajib.fr/2013/02/manuel-valls-hijab-2/) qu’il nous en mettrait presque la larme à l’œil, en France ce sont 44% des femmes qui déclarent avoir déjà subi des violences physiques ou sexuelles au cours de leur vie.
Un rapport accablant de plusCes chiffres ont été publiés le 5 mars dernier, soit trois jours avant la « Journée internationale de la femme », par l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA). Ce serait environ 13 millions de femmes européennes qui auraient été victimes de violence physique au cours de l’année 2013, allant de la gifle ou du coup de poing à la tentative de meurtre. L’alcool serait aussi un facteur récurent dans ces faits.
La FRA estime qu’une femme sur 20 (soit 5%) a été violée depuis l’âge de 15ans ; et que 6% déclarent qu’un individu a déjà tenter de les forcer à avoir une relation sexuelle non consentie. Le rapport parle aussi des violences psychologiques (humiliations, séquestration) et du harcèlement où les chiffres restent accablants.
Seul un tiers des victimes de violences conjugales et un quart des victimes de violences non conjugales ont pu contacter la police ou une association, trouvant souvent l’aide proposée trop peu adaptée ou trop lente.
Pire… En France, tous les trois jours, une femme meurt sous les coups de son conjoint. Et l’État en est aussi responsable ! En multipliant les projecteurs sur la condition fantasmée de la citoyenne musulmane depuis des années, la femme « lambda » restée dans l’ombre quant à elle subit ce fléau sans que personne, ni aucune chaîne de télévision ne s’en émeuve.
« Partout dans le monde, des femmes subissent des actes ou des menaces de violence. C’est une épreuve partagée, au-delà des frontières, de la fortune, de la race ou de la culture. A la maison et dans le milieu où elles vivent, en temps de guerre comme en temps de paix, des femmes sont battues, violées, mutilées en toute impunité » déclarait Amnesty International en 2004.
Un statut privilégié pour la femme musulmanePlus de 1000 ans en arrière, Allah révélait dans le Livre Saint l’importance de laisser la vie sauve aux petites filles qui étaient, avant l’avènement de l’Islam, souvent enterrées vivantes : « et qu’on demandera à la fille enterrée vivante, pour quel péché elle a été tuée. » (Sourate 81/8-9)
Le Prophète (salallahu aleihi wa salam) disait : « Les meilleurs d’entre vous sont les meilleurs avec leurs femmes, et je suis d’entre vous le meilleur avec les miennes » (rapporté par At-Tirmidhi, authentifié par al Albani).
Le gouvernement français, en 2014, ferait donc mieux de s’attaquer urgemment à cette problématique et nous enjoignons l’ensemble de la Oumma à prendre soin des femmes qui représentent la moitié de l’humanité et éduquent l’autre moitié.
« Et parmi Ses signes, Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis entre vous de l’affection et de la bonté. Il y a en cela des preuves pour des gens qui réfléchissent. » (Sourate 30/21).
Crédit Photo (http://sounboul.blogspot.fr/2010/07/generation-pub-2010-violences.html)
Violences faites aux femmes : l’Europe dont la France épinglée (http://www.ajib.fr/2014/03/violences-faites-aux-femmes-leurope-dont-la-france-epinglee/)
chenoui70
16/12/2015, 12h06
"Cher papa, je ne suis pas encore née mais j'ai une faveur à te demander"_16/12/15 - 13h54
http://static1.7sur7.be/static/photo/2015/0/6/11/20151216133100/media_xll_8245601.png
Pour dénoncer les violences faites aux femmes, une ONG norvégienne s'adresse ausx futurs pères.
Il y a une dizaine de jours, la branche norvégienne de l'association CARE a publié une vidéo très touchante sur les violences sexistes et la culture du viol, lit-on sur le site de Terrafemina. Les images sont commentées par une femme qui n'est pas encore née. Elle s'adresse à son père.
"Cher papa, Je voulais juste te remercier de t'être si bien occupé de moi, même si je ne suis pas encore née. Je sais que tu fais déjà plus d'efforts que Superman, tu ne laisses même pas maman manger des sushis! Mais je dois te demander une faveur. Attention: ça concerne les garçons."
La vidéo montre ensuite la vie d'une femme, de l'adolescence à l'âge adulte. Dès l'âge de 14 ans, elle se fera traiter de "pute, de salope, de connasse et de plein d'autres choses" par des garçons. À 21 ans, elle subira un viol, commis par l'une de ses connaissances. Elle va rencontrer le grand amour, un homme "parfait" qui finira par la frapper.
La violence envers les femmes est un problème hélas encore trop répandu, qui nous concerne tous. Selon CARE, la prévention passe par l'éducation des garçons. "Cher papa, ne laisse pas mon frère traiter les filles de putes, car elles ne le sont pas. Et un jour, un petit garçon pensera que c'est vrai. N'accepte pas des blagues insultantes de la part de mecs bizarres ou même de tes amis, car derrière chaque blague se cache toujours un peu de vérité", conclut la campagne #DearDaddy.
https://youtu.be/dP7OXDWof30
Quel homme digne de ce nom peut il frapper une femme?
Dans quel pays au nom de quel dieu???
Hommes et femmes nous sommes tous égaux.
Je dirai même mieux les femmes sont supérieures à nous.
Combien de génocides n'auraient pas eu lieu si elles avaient pris le pouvoir délégués aux hommes?
Nous sommes faits pour faire l'amour pour renouveler la race des hommes.
En aimant nos enfants nous aimons aussi notre femme sans qui il serait impossible d'en avoir et aussi de prendre leur avis pour partager la vie de tous les jours.
Elle m'est bien utile ma petite femme quand abusé par le feu d'herbes vertes que mon voisin fait bruler avec de l'huile de vidange me dit.
Laisse tomber bientôt il aura tout brulé.
A deux doigts d'appeler les flics car impossible d'aérer la maison je l'ai écouté.
Merci à toutes nos femmes sans qui nous deviendrons des loups
Espagne
5 hommes écroués pour viol collectif
Mis à jour le 09/07/2016 à 19:42
Publié le 09/07/2016 à 18:98
Cinq auteurs présumés d'un viol collectif filmé en marge des fêtes de
la San Fermin à Pampelune (nord de l'Espagne) ont été placés
aujourd'hui en détention provisoire par un juge, a annoncé le tribunal
local. Âgés de 25 à 28 ans, les cinq hommes avaient été arrêtés jeudi
après la plainte d'une femme de 18 ans pour agression sexuelle. Selon
le tribunal, ils s'étaient filmés en train d'abuser de la jeune femme, dans
la nuit du 6 au 7 juillet, permettant au juge de constater leur "participation
collective".Leur incarcération a été notamment motivée par "la gravité
extrême des faits" et la nécessité de protéger la victime précise le tribunal
de Navarre dans un communiqué. Originaires de Séville (sud), les agresseurs
présumés, qui avaient également volé le téléphone portable de la jeune
femme, ont été mis en examen pour agression sexuelle et vol avec violence,
précise le communiqué du tribunal.Le viol est répertorié dans le Code pénal
espagnol comme "agression sexuelle", et est puni de peines de 6 à 12 ans
de prison, jusqu'à 15 en cas de circonstances aggravantes. Les fêtes
traditionnelles de la San Fermin attirent chaque année des centaines de
milliers de touristes espagnols et étrangers pour leurs courses de taureaux
et leurs nuits de fête. Cette année, la mairie de Pampelune avait développé
toute une campagne pour promouvoir des "fêtes sûres pour les femmes",
"sans agressions sexistes". "Ni l'usage ni l'abus d'alcool et de drogues ne
peuvent justifier une agression", avait-elle souligné.
Violences sexuelles en Allemagne
25046
Plus de 1200 femmes agressées le soir du Nouvel an
MIS À JOUR 11-07-2016 21:04
CRÉÉ 11-07-2016 18:34
ENQUÊTE - Selon un rapport de la police fédérale allemande qui a fuité
dans la presse outre-Rhin, l'ampleur des agressions sexuelles le 31 décembre
dernier a été sous-estimé. Rien qu'à Cologne, les autorités estiment qu'il y
aurait eu plus de 600 cas de violences sexuelles ce soir-là.
L'ampleur des violences sexuelles envers les femmes le soir du Nouvel an dans
les grandes villes allemandes a-t-elle été sous-estimée ? Selon un rapport de la
police fédérale allemande, le nombre d'agressions sexuelles ce soir-là est
en tout cas à revoir à la hausse.
650 agressions à Cologne, 400 à Hambourg
Du document qui a fuité dimanche 10 juillet dans la Süddeutsche Zeitung,
on apprend ainsi qu'au moins 1.200 femmes auraient été victimes d’agressions
sexuelles le soir du 31 décembre, dont environ 650 à Cologne et 400 à Hambourg,
ainsi qu'à Düsseldorf et Stuttgart. Le nombre d'agresseurs est lui estimé à 2.000,
plusieurs hommes ayant parfois agressé une seule femme.
En revanche, le nombre de suspect reste toujours bas. Dans tout le pays, la police
n'a identifié que 120 personnes, quatre seulement ont été jugées, dont un Irakien
pour des faits commis sur deux femmes à Cologne, et des procès sont en cours.
Au total, plus de 600 plaintes ont été déposées.
Durcissement de la législation contre le viol
"Nous devons nous attendre à ce que de nombreux crimes ne puissent jamais faire
l’objet d’une enquête", a en revanche estimé Holger Münch, le président de la police fédérale allemande. Il confirme ainsi que la plupart des auteurs de ces violences ne pourront pas être poursuivis.La police avait d'ailleurs été très critiquée pour avoir
tardé a réagir et avoir sous-estimé les agressions commises le soir du 31 décembre
2015. Depuis, le législateur a récemment adopté une nouvelle définition du viol, uniquement sur la base du consentement. La loi doit encore être votée
à la chambre haute à la rentrée.
Le parquet fait appel après le non-lieu
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Viol présumé au 36, quai des Orfèvres
publié le 20/07/2016 à 12:56
mis à jour à 18:16
Après plus de deux ans d'enquête, un non-lieu général a été prononcé
dans l'affaire des accusations de viol au 36, quai des Orfèvres à Paris,
rapporte une source judiciaire, mercredi 20 juillet. Des agents de la Brigade
de recherche et d'intervention (BRI) étaient visés par la plainte d'une touriste
canadienne, qui affirmait avoir été violée dans les locaux de la police en
avril 2014. Deux d'entre eux avaient été mis en examen pour viol en réunion
et un troisième placé sous statut de témoin assisté.Cette décision, également
révélée par Europe 1, intervient alors que le parquet de Paris avait requis le
renvoi des deux policiers aux assises.L'avocate de la touriste, Sophie Obadia,
ainsi que le parquet ont indiqué qu'ils feraient appel de cette ordonnance de
non-lieu. "Cette ordonnance est ahurissante", a-t-elle dit. "Elle est très différente
de ce que le parquet a écrit, et elle met sciemment de côté les expertises
psychiatriques, qui disent que ma cliente est crédible, et en état de stress post-traumatique", a-t-elle ajouté.
Des traces ADN
Le 22 avril 2014, dans un pub irlandais situé face au siège de la PJ, des policiers
de la BRI s'étaient liés avec la femme, alors âgée de 34 ans, lors d'une soirée très alcoolisée. En pleine nuit, les fonctionnaires, qui n'étaient pas en service, lui avaient
fait visiter les locaux du "36". Un peu plus tard, elle en était ressortie en larmes, extrêmement choquée. Elle avait porté plainte pour viol.Après avoir démenti lors de
sa première audition de garde à vue, le policier le plus âgé avait évoqué une relation sexuelle "consentie" avec la jeune femme. L'autre a réfuté avec constance avoir eu
un rapport sexuel, même s'il avait fini par reconnaître des "attouchements réciproques", selon une source proche du dossier.
Mais aux yeux du parquet, les traces ADN le confondent.
Expertises psychologiques contradictoires
"L'absence de consentement de ma cliente et le comportement totalement abusif
des policiers ont été parfaitement analysés par le parquet dans un réquisitoire très
détaillé", avait relevé Sophie Obadia, l'avocate de la jeune femme. "Mon client
réaffirme avec force son innocence et attend maintenant avec confiance la décision
des juges d'instruction", a réagi de son côté Sébastien Schapira, l'avocat d'un des
deux policiers. S'agissant de la victime présumée, les expertises psychologiques se
sont révélées contradictoires. L'une d'elles relevait qu'elle ne présentait pas "de
tendance à la mythomanie ou à la fabulation", tandis qu'une autre estimait que sa "personnalité", "son état d'alcoolisation" cette nuit-là et "son discours sur les faits
allégués" soulevaient "une forte réserve quant à la possibilité de s'appuyer
sur son seul témoignage".
Il tue sa femme à coups de marteau puis met le feu à la maison
Publié le 27/07/2016 à 15h36
Un homme de 59 ans a tué mardi matin sa compagne à coups de marteau
dans leur maison dans l'Essonne avant d'y mettre le feu.
25340
Une dispute conjugale tourne au drame dans l'Essonne. Mardi matin, peu après
09h00, les pompiers sont appelés pour un incendie dans une zone pavillonnaire
de Courcouronnes. Lors de leur intervention, ils découvrent une femme
«en arrêt cardio-respiratoire, présentant des plaies à la tête», selon une source
policière. «Un marteau ensanglanté» est retrouvé à proximité, a précisé
une source judiciaire. La victime, une mère de famille de 53 ans, est décédée sur
place après l'arrivée des secours. Son concubin, est également retrouvé inanimé
mais vivant. Il a été hospitalisé et placé en garde à vue. «Il a reconnu avoir porté
les coups après une dispute, puis avoir voulu en finir en mettant le feu»,
a expliqué une source judiciaire à l'AFP.
Une famille sans problème
Dans le quartier où habitait le couple avec ses trois enfants c'est la consternation.
«C’était un couple adorable, d’une grande gentillesse», affirme une voisine au
«Parisien». «Elle était toujours souriante, ouverte d’esprit et lui, chauffeur de taxi. Ensemble, ils ont eu trois enfants, c’était une famille sans problème», a-t-elle
continué avant d'ajouter qu'il devait s'agir «d'un coup de folie».
L'enquête ouverte pour homicide volontaire a été confiée à la brigade de sûreté
urbaine du commissariat d'Évry.
Khadija, la jeune femme violée qui s'est immolée à Benguerir, est décédée
04/08/2016 17h42
Mis à jour il y a 2 heures
La jeune femme qui s'est immolée le 2 août à Benguerir est décédée des
suites de ses blessures à l'hôpital Ibn Tofail à Marrakech, indique au
HuffPost Maroc Omar Arbib, membre de l'Association marocaine des
droits de l'Homme (AMDH), section de Marrakech.
Khadija S., née en 1999, avait été violée à la fin de l'année dernière par
huit hommes qui avaient filmé la scène. Originaire du village de Skhour Rhamna,
situé près de Benguerir, elle vivait dans une petite chambre qu'elle louait dans
un quartier populaire de la ville.
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Huit violeurs
Le nombre de suspects serait de huit et non de six comme nous l'annoncions ce
matin. La plupart d'entre eux baignant dans le trafic de drogues, ils auraient enlevé
Khadija et l'auraient violée dans un village à mi-chemin entre Benguerir et Marrakech,
nous confie Omar Arbib. La gendarmerie a procédé à l'interpellation de sept des agresseurs de la jeune femme. Le dernier n'a été interpellé que deux mois plus tard,
alors qu'il était en train d'abuser d'un garçon mineur.
Elle était enceinte
Suite à leur procès, ils ont été relâchés et placés en liberté conditionnelle.
"D'après mes informations, des personnes influentes sont intervenues en leur faveur", raconte Omar Arbib. Les huit hommes auraient alors fait pression sur Khadija pour
qu'elle abandonne les poursuites judiciaires en la menaçant de diffuser la vidéo qu'ils
ont filmée lorsqu'ils l'ont violée. C'est face à ce chantage que la jeune fille est passée
à l'acte le 2 août en s'aspergeant de produit inflammable avant de se mettre le feu sur
une des avenues de Benguerir. Rapidement transportée à l'hôpital Ibn Tofail de
Marrakech avec des brûlures au troisième degré, elle n'a pas survécu.
L'autopsie pratiquée à la suite de son décès a révélé qu'elle était enceinte.
salam
histoire sordide ,la femme musulmane est déconsidérée quelque soit son pays !
les instances religieuses se taisent,alors qu elles devraient se positionner sur le droit de la femme dans l islam !
Le Canada ouvre enfin une enquête sur les disparitions
et les meurtres de 1 200 femmes autochtones
publié le Août 4, 2016
Le gouvernement canadien a lancé ce mercredi une enquête, attendue
de longue date, sur de nombreuses disparitions et meurtres de femmes
autochtones. Les autorités ont aussi promis près de 12 millions de dollars
afin de fournir aux familles « les informations qu'elles cherchent à propos
de la perte de leur être cher ».Plus de 1 200 femmes et jeunes filles
autochtones ont été assassinées ou ont disparu à travers le pays depuis 1980
bien que les avocats aient signalé que ce nombre pourrait être plus élevé, de
l'ordre de 4 000. Les représentants du gouvernement ont promis mercredi matin
que l'enquête se concentrera sur les causes systémiques de la violence à l'égard
de ces femmes et de ces jeunes filles qui ont six fois plus de chances d'être
victimes de meurtre que les femmes non autochtones et sur la manière de prévenir
cette violence. Les 12 millions de dollars promis vont permettre de financer des
unités de liaison de la police afin d'aider les familles, qui peinent à obtenir des
informations de la part des inspecteurs concernant leur proche morte ou disparue.
Les services de police estiment de leur côté qu'ils ont besoin de garder sous silence
des informations importantes pour pouvoir résoudre ces affaires. Partager ces
informations avec les familles risque d'être particulièrement compliqué puisque,
dans certains cas, des membres de la famille sont eux-mêmes des suspects.
Alors qu'elle faisait cette annonce pendant une conférence de presse pleine
d'émotion, la ministre de la Justice, Jody Wilson-Raybould, avait la gorge nouée.
« Dans les sessions de pré-enquête qui se sont tenues à travers le pays, certaines
des familles nous ont dit qu'elles voulaient en savoir plus sur ce qui est arrivé à
leur être cher », a expliqué Wilson-Raybould. « Elles trouvaient cela compliqué
d'obtenir des informations. Donc, pour les aider, le ministère de la Justice
augmentera immédiatement l'aide financière aux provinces et aux territoires.
Le ministère fournira spécifiquement 11,67 millions de dollars sur trois ans pour
aider les provinces et les territoires à créer de nouvelles unités de liaison
d'informations avec les familles. » Ces unités de liaison travailleront directement
avec les familles et les gouvernements provinciaux et territoriaux « pour aider
les familles à trouver les informations qu'elles cherchent concernant leur proche
disparue », a-t-elle déclaré. « Ces unités aideront aussi les familles à faire face
au traumatisme représenté par leur perte et les aideront à entrer en contact avec
les ressources dont elles ont besoin. » La Native Women's Association of Canada
(NWAC) l'Association des femmes autochtones du Canada attendait cette enquête
depuis plus de 11 ans, a déclaré l'organisation dans un communiqué publié ce
mercredi. Si l'association se réjouit de la décision du gouvernement, elle regrette
que les autorités n'aient pas inclus de procédure séparée et indépendante pour
réexaminer et rouvrir des dossiers, « quand il y a des preuves que l'affaire
nécessite un second examen ».
« Ceci semble avoir été complètement ignoré », indique le communiqué.
La NWAC avait aussi appelé le gouvernement à inclure les provinces et les territoires
dans le processus. « Le rôle des provinces et des territoires n'est pas mentionné »,
déclare le communiqué de la NWAC. « La manière dont les provinces et les territoires seront capables de contribuer n'est pas claire. Ceci est pourtant essentiel étant donné
que beaucoup des problèmes systémiques qui ont besoin d'être résolus dépendent de
la juridiction provinciale, comme la protection des enfants, les services de santé et la plupart des services de police. » Avant l'annonce, un document détaillant le mandat
de l'enquête avait fuité et avait suscité un vif débat car il ne mentionnait pas le rôle de
la police dans les morts et les disparitions. Pendant la phase de pré-enquête,
les familles souhaitaient que le rôle de la police soit examiné de près, parce qu'elles estiment que la police n'en fait pas suffisamment pour protéger les femmes autochtones
et enquêter sur leurs cas quand elles disparaissent.Cependant, la ministre des Affaires autochtones et du Nord canadien Carolyn Bennett a essayé d'enterrer ces critiques.
« Nous comprenons bien que les systèmes de police et de protection des enfants ont besoin d'être examinés », a déclaré Bennett. Cependant, elle n'a pas promis directement que la commission examinerait le rôle de la police.Plusieurs juges et avocats
autochtones, principalement des femmes, seront à la tête de cette enquête.
Marion Buller, une juge de la cour provinciale de Colombie Britannique, a été nommée commissaire en chef. Les quatre autres commissaires sont Michele Audette, l'ancienne présidente de l'Association des femmes autochtones du Québec, Qajaq Robinson, une avocate née dans la ville d'Iqaluit qui parle couramment inuktitut, Marilyn Poitras, professeure adjointe en droit à l'Université de la Saskatchewan, et Brian Eyolfson,
avocat et directeur adjoint du ministère des Affaires autochtones.L'enquête se
focalisera sur les femmes et non sur les hommes autochtones.Pourtant, selon certains groupes de défense des droits des autochtones, les hommes autochtones ont trois fois plus de chances d'être assassinés que leurs homologues féminines.
Reshma Qureshi, défigurée par une attaque à l'acide,
défilera à la Fashion Week de New York
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01 SEP 2016
Mise à jour 01.09.2016 à 10:27
Le 8 septembre 2016,l’Indienne Reshma Qureshi défilera
à l’occasionde la Fashion Week de New York.
Sa particularité elle a été défigurée par une attaque à l’acide, une violence
de genre encore très présente dans certains pays.Un crime d’honneur qui
laisse une femmes vitriolée,c'est à dire attaquée à l'acide, comme le sont
quatre à cinq Indiennes par semaine.L’objectif de cet acte de torture est de
défigurer la victime. Sa peau brûle, ce qui entraîne nécrose, mortification
tissulaire et cicatrisation très visible. Parfois, les os des victimes se
dissolvent et elles perdent un ou deux yeux. Souvent, ces victimes sont
des femmes (dans 85% des cas). A chaque fois, la douleur est atroce.
L’effet de ce crime passionnel est la "privation pour les victimes d’une
série de droits fondamentaux : le bien-être social et économique, la
participation politique, l’épanouissement personnel et l’estime de soi.
Par ailleurs, des troubles de stress post-traumatique, de l’alimentation,
du sommeil ainsi que la peur, l’anxiété et la fatigue sont parmi les
conséquences effroyables, sur le plan psychologique, de la violence à
l’acide" L’histoire de Reshma Qureshi aurait pu s’arrêter là, mais elle en
a décidé autrement.Après l’agression, moralement, psychologiquement
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et physiquement traumatisée, elle voulait mourir. « Je détestais toute
présence humaine autour de moi. J’ai essayé de me suicider à plusieurs
reprises. Je ne supportais pas de me voir dans un miroir » explique t-elle
au site l’Hindustantimes.Puis son chemin croise celui de l’ONG
Make love Not Scars (Faites l’amour, pas des cicatrices) qui apporte à sa
famille un soutien financier. Elle découvre alors qu’elle est loin d’être la
seule à avoir subi une attaque à l’acide, et la honte fait place au courage
et au militantisme. Elle raconte : « Je me couvrais sans cesse le visage.
Les gens me fixaient. Mais j’ai appris que ceux qui devaient avoir honte
étaient les agresseurs, pas moi. Je n’ai plus rien à cacher. Je suis une
survivante, pas une victime ».C’est alors qu’elle se lance dans la campagne #EndAcidSale, pour le strict encadrement de la vente d’acide en Inde.
Ce liquide est utilisé dans les batteries des voitures, le raffinage des
hydrocarbures ou encore le décapage de métaux et est disponible en
grande surface à bas prix.Dans des tutoriels de maquillage diffusés sur
YouTube, elle délivre des conseils beauté avant d’exposer son message
« Vous trouverez du rouge à lèvre très facilement au supermarché,…
Comme de l’acide concentré. C’est la raison pour laquelle une fille est
victime d’attaque à l’acide tous les jours ». Ou encore « Vous trouverez
de l’eyeliner partout pour 100 roupies. Mais savez vous que vous pouvez
obtenir de l’acide concentré pour seulement 30 roupies ? ». Elle invite les
internautes à signer la pétition de l’association. Un rêve pour l’Indienne
"fan" de mode qui n’a encore jamais quitté son pays. Et un message
d’espoir pour toutes les femmes qui ont été victimes de vitriolage.
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Désolé pour les images (zadhand)
Trois algériens violent une jeune femme au coeur de Paris
France-18 septembre 2016 à 14:13
Une jeune fille a été victime d’un viol collectif le week-end dernier
dans le parc du Champ-de-Mars. Deux jours plus tôt, un garçon
rencontré sur Facebook lui avait donné rendez-vous à Paris.
Une jeune femme de 18 ans, originaire de Savigny-le-Temple, a été
violée par quatre hommes dans la nuit de dimanche à lundi vers
cinq heures du matin, en plein Champ–de-Mars à Paris, dans le VIIe arrondissement. En rupture avec sa famille, chassée de son domicile
en Seine-et-Marne, elle aurait pris rendez-vous, via Facebook, avec
un homme à Barbès, avant d’aller en soirée au Champ-de-Mars, près
de la Tour Eiffel. Selon Le Parisien, qui révèle l’affaire, c’est là que
l’homme et trois autres individus l’auraient violée, mais également
frappée, bâillonnée et menacée de mort.C’est un couple de passants canadiens qui, entendant des cris, serait intervenus mettant fin au
calvaire de la jeune fille. Suspectés d’avoir tendu un piège à la jeune
femme afin de l’agresser sexuellement, les quatre jeunes hommes
âgés d’une vingtaine d’années et de nationalité algérienne ont été
placés en détention provisoire. Le quatuor logeait dans un hôtel du
XVIIIe arrondissement de Paris et était sur le point de rejoindre leur
domicile situé en Allemagne. D’après les premiers éléments de
l’enquête, les agresseurs avaient prémédité leur acte en installant
des couvertures dans le bosquet. Les enquêteurs sont en possession
de photos, d’adresses Web, d’images de la vidéo surveillance et
surtout de traces ADN.
Accusations de harcèlement sexuel
Baupin sera confronté à Attard
Mercredi 30 Novembre 2016 18h39
Selon nos informations, l'élu écologiste doit être confronté d'ici
à la fin de l'année à la députée Isabelle Attard,l'une des
quatre femmes qui ont porté plainte contre lui.
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L’enquête autour des accusations d’agression et de harcèlement sexuels visant
l’écologiste Denis Baupin n’en finit pas. Après la convocation de quelque 70 témoins
et l’audition cet été du parlementaire, le dossier semblait sur le point d’être clos,
laissant au procureur de la République de Paris le choix des suites à donner.
Denis Baupin "Je ne suis pas le DSK des Verts"
Mais coup de théâtre selon nos informations, une confrontation entre Isabelle Attard
et Denis Baupin est programmée d’ici à la fin de l’année dans les locaux de l’Office
central pour la Répression des Violences aux Personnes (OCRVP).Tous les deux députés
encore en exercice, les deux élus écologistes se retrouveront face à face pour des
explications sans doute décisives pour le sort judiciaire du dossier.
Les faits dénoncés par Isabelle Attard sont en effet les seuls qui ne tomberaient pas sous
le coup de la prescription.
Isabelle Attard, la justicière qui veut "hacker" l'Assemblée
Denis Baupin, de son côté, en conteste même l’existence. Les enquêteurs ont en leur
possession les SMS expédiés par l’élu à sa collègue. Si lui parle de "jeu", elle estime pour
sa part qu’il s’agit de harcèlement répété. Au total, quatre femmes ont formellement
déposé plainte contre Denis Baupin.
Colombie hausse de la violence sexuelle contre les femmes en 2016
Mise à jour 26.12.2016 à 23:00
La Colombie a enregistré une hausse de 7,5% de la violence sexuelle
contre les femmes durant les dix premiers mois de 2016, par rapport
à la même période l'année précédente, avec plus de 15.000 cas
déclarés, a annoncé lundi l'Institut de médecine légale.
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Au total 15.082 cas de violence sexuelle envers les femmes ont été enregistrés entre janvier et octobre, contre 14.021 cas répertoriés durant la même période en 2015 et 12.614 en 2014, selon le dernier rapport de l'institut, intitulé "Violence de genre en Colombie"."Les chiffres concernant la violence sexuelle contre les femmes sont en augmentation ces trois dernières années", souligne ce bulletin publié par l'organisme public.Cette hausse touche plusieurs classes d'âge, mais est "assez significative" parmi les filles âgées de 10 à 14 ans, avec 574 cas de plus qu'en 2015.Les membres de la famille sont les principaux coupables de cette violence envers les filles, précise le rapport.Le domicile de la victime est le lieu le plus fréquent de ces violences et Bogota, ainsi que les départements d'Antioquia (nord-ouest) et du Valle del Cauca (ouest) enregistrent le plus grand nombre de cas.Durant la même période de 2016, 731 femmes ont été assassinées, soit 2,4 par jour en moyenne, contre 670 en 2015 (2,2/jour) et 810 en 2014 (2,6).Les célibataires sont les plus nombreuses et la majorité des cas surviennent en fin de semaine, en particulier le dimanche.
La plupart des homicides sont commis sur la voie publique ou au domicile de la victime, dans 60% des cas avec une arme à feu. Le Valle del Cauca, Bogota et Antioquia présentent aussi le plus fort taux d'homicides.
Les violences contre les femmes au sein de la famille ont aussi augmenté, avec 49.712 cas, contre 40.483 en 2015 et 44.228 en 2014.
Etats-Unis
un «serial-aspergeur» attaquait des femmes avec
des seringues remplies de sperme
3 janv. 2017, 23:10
Un homme suspecté d’avoir attaqué plusieurs femmes dans l’Ohio avec
des seringues pleines de sa propre semence a été arrêté.
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Selon l'auteur, un homme nommé Timothy Blake, ses étranges méfaits
lui auraient été inspiré «par internet».Un nouveau type de criminel aux
Etats-Unis ? Après deux mois d’enquête, la police a mis les mains sur
Timothy Blake le 30 décembre. Le jeune homme de 28 ans était
soupçonné d’avoir attaqué plusieurs femmes à proximité de centre
commerciaux de la ville de Marietta dans l’Ohio. L’arme du crime vaut
le détour. L’agresseur se masturbait avant de remplir des seringues avec
son sperme. Il suivait ensuite ses victimes avant de les asperger avec sa
semence. Il a avoué une douzaine d’attaques.«Le premier incident nous
a été rapporté il y a deux mois. Une femme qui avait été aspergée par
derrière est allée se nettoyer dans les toilettes. Une fois sortie dehors,
elle a trouvé son agresseur la regardant fixement», a raconté le shérif
Larry Mincks au Parkersburg News and Sentinel. Avant d’ajouter
«Elle nous a expliqué l’avoir ensuite suivi jusqu’à ce qu’il rejoigne son
camion et qu’il quitte les lieux.» Arrêté devant sa femme .Il a fallu
environ huit semaines à la police pour localiser Timothy Blake grâce
aux descriptions faites par ses victimes ainsi qu’à un logo affiché sur
l’aile de son camion. Il s’est avéré que l’insigne en question était celui
qu’une compagnie pétrolière pour laquelle l’agresseur travaillait.Détail
particulièrement gênant pour l’auteur des faits il a été arrêté alors qu’il
était en route pour aller dîner en compagnie... de sa femme…
«Ce n’est pas quelque chose que nous avions rencontré auparavant», a
souligné Larry Mincks au Parkersburg News and Sentinel. «Après
l’arrestation de Blake, nous lui avons posé des questions au sujet de ses
actes. Il nous a dit qu’il avait découvert cela sur internet et qu’il avait
décidé d’essayer lui-même», a-t-il ajouté. La police cherche encore
d’éventuelles victimes. Quant à l’auteur des agressions, il est
actuellement en détention en attendant sa comparution devant la justice.
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