fekri92
19/12/2012, 09h07
Le nouveau SoC mobile de Nvidia, le Tegra 4, devrait faire sa première apparition publique le mois prochain, au CES de Las Vegas. En attendant, les informations commencent à fuiter au compte-goutte…
En début de mois, nous faisions le point sur les quelques informations disponibles sur le Tegra 4. La nouvelle puce de Nvidia devrait ainsi utiliser 4 cœurs ARM Cortex A15 à 1,8 GHz et utiliser une finesse de gravure de 28 nm contre 40 nm sur le Tegra 3. Le niveau de performance devrait donc logiquement croître assez fortement et l'empreinte énergétique ne devrait pas exploser et même peut être baisser.
Nous en apprenons aujourd'hui un peu plus sur le reste des caractéristiques techniques de Wayne, le nom de code du Tegra 4 qui prend donc la relève de Kal-El, le Tegra 3 – les super-héros ont visiblement la cote.
Nvidia tegra 4 wayne
Selon un document dévoilé par Chiphell, la partie graphique (GPU, qui s'apparente à la carte graphique des ordinateurs) ne compterait pas moins de 72 unités de calcul. Le GPU du Tegra 3 en comptant 12, Nvidia aurait donc, au minimum, multiplié par six la puissance graphique de son SoC.
Une puissance qui sera la bienvenue sur les smartphones dont la définition full-HD semble être le nouveau standard haut de gamme et pour les tablettes, haut de gamme également, ou le 2560 x 1600 pixels pourrait rencontrer un certain succès. On reste néanmoins très loin du monde PC où une GeForce GTX 680 intègre 1536 unités de calcul et où une simple GeForce GTX 650 Ti en compte 768, pour une consommation électrique sans commune mesure. Au passage, on se souviendra que Jen-Hsun Huang avait annoncé, en mars 2012, que l'architecture Kepler (utilisée par ces cartes) serait portée sur les "superphones".
Le document nous apprend également que le SoC serait en mesure d'effectuer du décodage et de l'encodage de vidéos en 2560 x 1440 pixels et qu'il prendrait en charge les affichages en 2560 x 1440 pixels à 60 Hz, le full-HD en 120 Hz et l'UHD (3840 x 2160 pixels) à une fréquence non précisée. Enfin, l'USB 3.0 serait également de la partie, ce qui pourrait s'avérer pratique pour échanger rapidement de gros volumes de données entre un ordinateur et le périphérique mobile (vidéos, musique).
En début de mois, nous faisions le point sur les quelques informations disponibles sur le Tegra 4. La nouvelle puce de Nvidia devrait ainsi utiliser 4 cœurs ARM Cortex A15 à 1,8 GHz et utiliser une finesse de gravure de 28 nm contre 40 nm sur le Tegra 3. Le niveau de performance devrait donc logiquement croître assez fortement et l'empreinte énergétique ne devrait pas exploser et même peut être baisser.
Nous en apprenons aujourd'hui un peu plus sur le reste des caractéristiques techniques de Wayne, le nom de code du Tegra 4 qui prend donc la relève de Kal-El, le Tegra 3 – les super-héros ont visiblement la cote.
Nvidia tegra 4 wayne
Selon un document dévoilé par Chiphell, la partie graphique (GPU, qui s'apparente à la carte graphique des ordinateurs) ne compterait pas moins de 72 unités de calcul. Le GPU du Tegra 3 en comptant 12, Nvidia aurait donc, au minimum, multiplié par six la puissance graphique de son SoC.
Une puissance qui sera la bienvenue sur les smartphones dont la définition full-HD semble être le nouveau standard haut de gamme et pour les tablettes, haut de gamme également, ou le 2560 x 1600 pixels pourrait rencontrer un certain succès. On reste néanmoins très loin du monde PC où une GeForce GTX 680 intègre 1536 unités de calcul et où une simple GeForce GTX 650 Ti en compte 768, pour une consommation électrique sans commune mesure. Au passage, on se souviendra que Jen-Hsun Huang avait annoncé, en mars 2012, que l'architecture Kepler (utilisée par ces cartes) serait portée sur les "superphones".
Le document nous apprend également que le SoC serait en mesure d'effectuer du décodage et de l'encodage de vidéos en 2560 x 1440 pixels et qu'il prendrait en charge les affichages en 2560 x 1440 pixels à 60 Hz, le full-HD en 120 Hz et l'UHD (3840 x 2160 pixels) à une fréquence non précisée. Enfin, l'USB 3.0 serait également de la partie, ce qui pourrait s'avérer pratique pour échanger rapidement de gros volumes de données entre un ordinateur et le périphérique mobile (vidéos, musique).