darvador2002
06/03/2014, 15h21
http://img.radins.net/breve/b8dd669b/1ae9049e/3101e504cfa86911.jpeg?1394101590 ©twitter.com Même si a priori, tweeter n'a rien de criminel, déposer un message sur le réseau social de Jack Dorsey, peut coûter très cher en justice.
Sur Twitter, tout n'est pas permis Les messages déposés sur une page de Twitter n'échappent pas tous à la loi. En effet, plusieurs internautes auraient subi des condamnations en justice pour avoir rédigé des messages diffamatoires, calomnieux, violents, illégaux ou simplement malencontreux.
Ainsi, pour un message contrariant; l'internaute rédacteur, peut écoper d'une amende s'avérant parfois très lourde ou d'une peine de prison.
Un tweet à 76 000 euros Un simple tweet, peut donc valoir une amende pouvant aller jusqu'à 76 000 euros. Tout dépend de la gravité du message.
En effet, Andrew Farley en est la preuve édifiante. Il paiera 76 366 euros d'amendes à Christine Mickle. Cette dernière, professeur au lycée de Nouvelle-Galles du Sud aurait subi sur Twitter des propos diffamatoires du jeune Farley.
Pour la petite histoire, Christine ayant remplacé le père du jeune homme à la tête du département artistique du lycée, aurait suscité ce comportement inopportun. Mais, selon la justice, rien ne justifie la diffamation portée à l'encontre de Christine Mickle.
Il faut reconnaître que les réseaux sociaux ont beau être des lieux de liberté relationnelle, ils sont loin de devenir des zones de non droit.
Sur Twitter, tout n'est pas permis Les messages déposés sur une page de Twitter n'échappent pas tous à la loi. En effet, plusieurs internautes auraient subi des condamnations en justice pour avoir rédigé des messages diffamatoires, calomnieux, violents, illégaux ou simplement malencontreux.
Ainsi, pour un message contrariant; l'internaute rédacteur, peut écoper d'une amende s'avérant parfois très lourde ou d'une peine de prison.
Un tweet à 76 000 euros Un simple tweet, peut donc valoir une amende pouvant aller jusqu'à 76 000 euros. Tout dépend de la gravité du message.
En effet, Andrew Farley en est la preuve édifiante. Il paiera 76 366 euros d'amendes à Christine Mickle. Cette dernière, professeur au lycée de Nouvelle-Galles du Sud aurait subi sur Twitter des propos diffamatoires du jeune Farley.
Pour la petite histoire, Christine ayant remplacé le père du jeune homme à la tête du département artistique du lycée, aurait suscité ce comportement inopportun. Mais, selon la justice, rien ne justifie la diffamation portée à l'encontre de Christine Mickle.
Il faut reconnaître que les réseaux sociaux ont beau être des lieux de liberté relationnelle, ils sont loin de devenir des zones de non droit.