sindbad001
06/02/2014, 17h31
http://www.dzsat.org/forum/attachment.php?attachmentid=37017&d=1391705333
«Ce ne sont pas les équipes fortes qui gagnent mais ce sont les équipes qui gagnent qui sont fortes.» Franz Beckenbauer
Le commentateur vedette de l'ex-Al Jazeera Sport, actuel BeIn Sport, Hafid Derradji, vient de battre l'autre commentateur star de la même chaîne, le Tunisien Issam Chouali dans un sondage réservé par une chaîne arabe. En effet, l'ancien chef du service des sports de l'Entv a été élu meilleur commentateur arabe dans un sondage organisé par le programme «Sada El malaeeb», présenté par le Syrien Mustapha Agha sur la chaîne saoudienne MBC. Hafid Derradji a obtenu 66,3% des voix loin derrière le Tunisien Issam Chouali qui n'a obtenu que 10,9% des votes, un peu plus que le troisième, Farès Awad qui a obtenu 8,69% de votes.
Ce résultat démontre la popularité du commentateur algérien dans le Monde arabe. Cela démontre aussi que Hafid Derradji est plus suivi par les téléspectateurs arabes que son collègue tunisien. Contrairement à son compère Chouali, Hafid Derradji, ne tombe pas dans la métaphore ou l'excès comme le fait souvent le commentateur tunisien qui passe son temps à inventer des qualificatifs loufoques, pensant que c'est cela qui fait la force d'un commentaire sportif. En réalité, c'est la passion qui anime le commentateur qui fait son succès et non pas le contenu de ses propos. Pour d'autres, c'est la force de la voix du commentateur qui fait son succès et sa notoriété surtout lors de l'inscription du but. Si dans le Monde arabe Hafid Derradji est apprécié, en Algérie, il est adulé. Seule la Télévision nationale évite de le nommer suite à son implication dans le conflit entre Al Jazeera et l'Entv. Les rapports entre la télévision publique et le journaliste algérien n'ont jamais été aussi mauvais, lui qui a été pourtant à un moment de sa vie le n° 2 de l'entreprise de télévision publique.
Dans un reportage diffusé par la A3, le journaliste a zappé totalement le nom et le prix décroché par le commentateur algérien. Le reportage s'est concentré sur le Prix du meilleur joueur arabe obtenu par Sofiane Feghouli et celui de meilleur entraîneur arabe décroché par l'ancien sélectionneur de l'E.N, Abdelhak Benchikha. Une omission qui a sensiblement marqué le commentateur algérien qui regrette la censure de son nom du reportage de la télé qui l'a fait connaître. Dans ce sondage organisé par la chaîne MBC, le joueur algérien, Sofiane Feghouli a obtenu 43,4% des votes devançant le joueur irakien, Ali Adnan, qui a obtenu 41,8% des voix, alors qu'un troisième joueur irakien, Younis Mahmoud a obtenu la troisième place avec 5,94% des votes. L'Algérie est sortie vainqueur dans toutes les catégories de ce vote d'une télévision arabe puisqu'elle a obtenu le Prix du meilleur commentateur, meilleur entraîneur et meilleur joueur arabe. Elle a obtenu en revanche la seconde place dans la catégorie meilleur arbitre arabe en 2013 avec Djamel Hamoudi avec 27,7% des voix. Le referee algérien a été devancé par l'arbitre jordanien, Adham Mkhadma, qui a obtenu 67,6%.
«Ce ne sont pas les équipes fortes qui gagnent mais ce sont les équipes qui gagnent qui sont fortes.» Franz Beckenbauer
Le commentateur vedette de l'ex-Al Jazeera Sport, actuel BeIn Sport, Hafid Derradji, vient de battre l'autre commentateur star de la même chaîne, le Tunisien Issam Chouali dans un sondage réservé par une chaîne arabe. En effet, l'ancien chef du service des sports de l'Entv a été élu meilleur commentateur arabe dans un sondage organisé par le programme «Sada El malaeeb», présenté par le Syrien Mustapha Agha sur la chaîne saoudienne MBC. Hafid Derradji a obtenu 66,3% des voix loin derrière le Tunisien Issam Chouali qui n'a obtenu que 10,9% des votes, un peu plus que le troisième, Farès Awad qui a obtenu 8,69% de votes.
Ce résultat démontre la popularité du commentateur algérien dans le Monde arabe. Cela démontre aussi que Hafid Derradji est plus suivi par les téléspectateurs arabes que son collègue tunisien. Contrairement à son compère Chouali, Hafid Derradji, ne tombe pas dans la métaphore ou l'excès comme le fait souvent le commentateur tunisien qui passe son temps à inventer des qualificatifs loufoques, pensant que c'est cela qui fait la force d'un commentaire sportif. En réalité, c'est la passion qui anime le commentateur qui fait son succès et non pas le contenu de ses propos. Pour d'autres, c'est la force de la voix du commentateur qui fait son succès et sa notoriété surtout lors de l'inscription du but. Si dans le Monde arabe Hafid Derradji est apprécié, en Algérie, il est adulé. Seule la Télévision nationale évite de le nommer suite à son implication dans le conflit entre Al Jazeera et l'Entv. Les rapports entre la télévision publique et le journaliste algérien n'ont jamais été aussi mauvais, lui qui a été pourtant à un moment de sa vie le n° 2 de l'entreprise de télévision publique.
Dans un reportage diffusé par la A3, le journaliste a zappé totalement le nom et le prix décroché par le commentateur algérien. Le reportage s'est concentré sur le Prix du meilleur joueur arabe obtenu par Sofiane Feghouli et celui de meilleur entraîneur arabe décroché par l'ancien sélectionneur de l'E.N, Abdelhak Benchikha. Une omission qui a sensiblement marqué le commentateur algérien qui regrette la censure de son nom du reportage de la télé qui l'a fait connaître. Dans ce sondage organisé par la chaîne MBC, le joueur algérien, Sofiane Feghouli a obtenu 43,4% des votes devançant le joueur irakien, Ali Adnan, qui a obtenu 41,8% des voix, alors qu'un troisième joueur irakien, Younis Mahmoud a obtenu la troisième place avec 5,94% des votes. L'Algérie est sortie vainqueur dans toutes les catégories de ce vote d'une télévision arabe puisqu'elle a obtenu le Prix du meilleur commentateur, meilleur entraîneur et meilleur joueur arabe. Elle a obtenu en revanche la seconde place dans la catégorie meilleur arbitre arabe en 2013 avec Djamel Hamoudi avec 27,7% des voix. Le referee algérien a été devancé par l'arbitre jordanien, Adham Mkhadma, qui a obtenu 67,6%.