soltan009
15/12/2012, 06h26
Intervenant après la tuerie qui a lieu dans une école primaire de Newtown, dans le Connecticut, le président Barack Obama a donné l'ordre vendredi de mettre les drapeaux en berne sur tous les édifices publics américains pendant quatre jours en hommage aux victimes. 'Nous avons subi trop de tragédies', a-t-il déclaré lors de cette allocution, tout en appelant à des 'actions significatives' pour éviter de tels massacre.
Auparavant, Jay Carney, le porte-parole du président américain Barack Obama avait estimé que ce n'était 'pas le jour' pour discuter politique. 'Je pense qu'il est important, dans un tel jour, [...] de ressentir une énorme empathie pour ceux qui ont été touchés', a-t-il estimé.
Pourtant, cette tragédie a immédiatement relancé le débat sur le contrôle des armes à feu aux Etats-Unis. Sur son blog hébergé par le New Yorker, Alex Koppelman contredit le porte-parole de la Maison blanche en titrant son billet : 'Le bon jour pour parler des armes'. 'La réponse de Carney était prévisible. C'est ainsi que l'on réagit à de tels événements aux Etats-Unis. On en prend acte, pendant un court moment ils nous choquent. Ensuite on estime qu'il est déplacé d'évoquer les conséquences qu'il faudrait en tirer et d'en débattre. A un moment il faudra cesser de [...] prétendre que c'est la façon appropriée et respectueuse [de réagir à cela].'
L'élu démocrate Jerrold Nadler a immédiatement répondu à l'instar de nombreux Américains sur Twitter: 'Si ce n'est pas le moment d'avoir une discussion sérieuse sur le contrôle des armes, je ne sais pas quand cela arrivera'. 'Encore une personne instable qui a eu accès à des armes à feu et commis un crime horrible contre des enfants innocents', ajoute-t-il. 'Je mets le président Obama, le Congrès et le public américain au défi d'agir au-delà du choc, et d'enfin faire quelque chose'.
Auparavant, Jay Carney, le porte-parole du président américain Barack Obama avait estimé que ce n'était 'pas le jour' pour discuter politique. 'Je pense qu'il est important, dans un tel jour, [...] de ressentir une énorme empathie pour ceux qui ont été touchés', a-t-il estimé.
Pourtant, cette tragédie a immédiatement relancé le débat sur le contrôle des armes à feu aux Etats-Unis. Sur son blog hébergé par le New Yorker, Alex Koppelman contredit le porte-parole de la Maison blanche en titrant son billet : 'Le bon jour pour parler des armes'. 'La réponse de Carney était prévisible. C'est ainsi que l'on réagit à de tels événements aux Etats-Unis. On en prend acte, pendant un court moment ils nous choquent. Ensuite on estime qu'il est déplacé d'évoquer les conséquences qu'il faudrait en tirer et d'en débattre. A un moment il faudra cesser de [...] prétendre que c'est la façon appropriée et respectueuse [de réagir à cela].'
L'élu démocrate Jerrold Nadler a immédiatement répondu à l'instar de nombreux Américains sur Twitter: 'Si ce n'est pas le moment d'avoir une discussion sérieuse sur le contrôle des armes, je ne sais pas quand cela arrivera'. 'Encore une personne instable qui a eu accès à des armes à feu et commis un crime horrible contre des enfants innocents', ajoute-t-il. 'Je mets le président Obama, le Congrès et le public américain au défi d'agir au-delà du choc, et d'enfin faire quelque chose'.