Jeloul
30/01/2014, 03h02
A peine arrivé, déjà raillé. Le samedi 25 janvier, Hery Rajaonarimampianina, le nouveau président de Madagascar, prononçait son discours d’investiture dans un stade d’Antananarivo, la capitale de la « Grande Ile ». Son élection devait sortir Madagascar de cinq ans de crise politique, après le renversement du pouvoir en place en 2009.
M. Rajaonarimampianina a donc souhaité mettre en avant la nécessité de réconciliation nationale : « Je demande à mes amis qui m'ont accompagné jusqu'ici de me laisser libre, libre d'aller vers les autres, vers celui qui n'a jamais été mon ami, qui n'a jamais appartenu à notre camp, à notre famille politique, qui parfois nous a combattus. Parce que lorsqu'il s'agit de Madagascar, il n'y a plus de camp. »
Sauf qu’à un mot près, celui du nom de son pays, tout cela avait déjà été prononcé ailleurs, à un autre moment, par quelqu’un d’autre : Nicolas Sarkozy, lors de la campagne présidentielle de 2007, rapporte Le Parisien.
M. Rajaonarimampianina a donc souhaité mettre en avant la nécessité de réconciliation nationale : « Je demande à mes amis qui m'ont accompagné jusqu'ici de me laisser libre, libre d'aller vers les autres, vers celui qui n'a jamais été mon ami, qui n'a jamais appartenu à notre camp, à notre famille politique, qui parfois nous a combattus. Parce que lorsqu'il s'agit de Madagascar, il n'y a plus de camp. »
Sauf qu’à un mot près, celui du nom de son pays, tout cela avait déjà été prononcé ailleurs, à un autre moment, par quelqu’un d’autre : Nicolas Sarkozy, lors de la campagne présidentielle de 2007, rapporte Le Parisien.