xeres
29/01/2014, 16h34
Un faux pas pour la pin-up hollywoodienne (http://www.leparisien.fr/laparisienne/actu-people/apres-newsweek-scarlett-johansson-tacle-les-francais-10-01-2014-3481339.php). Embarquée dans une vive polémique, sur fond de conflit israélo-palestinien, Scarlett Johansson (http://actualites.leparisien.fr/scarlett+johansson.html) a dû réagir dans une tribune au Huffington Post. (http://www.huffingtonpost.com/2014/01/24/scarlett-johansson-sodastream-statement_n_4661945.html) Depuis qu'elle est l'ambassadrice internationale de la marque israélienne «SodaStream», spécialiste des machines à soda pour les particuliers, dont les usines sont installées en Cisjordanie, les critiques pleuvent sur l'actrice de 29 ans.
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Aux prises avec différents contrats publicitaires contradictoires.
«Je n'ai jamais voulu être la figure d'un quelconque mouvement social ou politique dans le cadre de mon contrat avec SodaStream» se défend la comédienne dont la mère est issue d'une famille juive polonaise. Mais la gagnante de quatre Golden Globes (http://www.leparisien.fr/laparisienne/diaporama/en-images-les-femmes-les-plus-sexy-selon-le-magazine-esquire-07-10-2013-3204431.php) soutient l'enseigne israélienne. «Je suis partisane d'une coopération économique et sociale entre Israéliens et Palestiniens. SodaStream est une entreprise engagée pour l'environnement. Elle construit un pont pour la paix entre Israël et la Palestine en employant des salariés des deux pays, qui ont les mêmes salaires (http://actualites.leparisien.fr/salaires.html) et les mêmes droits. C'est ce qui se passe tous les jours dans leur usine de Ma'ale Adumim».
Ce n'est pas l'avis de l'ONG britannique Oxfam. L'organisation de lutte contre la pauvreté, reproche à la marque d'être implantée dans une colonie en Cisjordanie. Or, détail fâcheux, Scarlett Johansson est également l'ambassadrice d'Oxfam depuis le tsunami de 2004. Dans un communiqué, l'association a fait savoir qu'elle «respecte l'indépendance de ses ambassadrices et ambassadeurs», mais qu'elle s'oppose à toute forme de commerce avec les colonies israéliennes, lesquelles sont illégales au regard du droit international». Oxfam remet en cause sa coopération avec l'actrice en «examinant les conséquences sur le rôle de Mme Johansson en tant qu'ambassadrice mondiale d'Oxfam».
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Aux prises avec différents contrats publicitaires contradictoires.
«Je n'ai jamais voulu être la figure d'un quelconque mouvement social ou politique dans le cadre de mon contrat avec SodaStream» se défend la comédienne dont la mère est issue d'une famille juive polonaise. Mais la gagnante de quatre Golden Globes (http://www.leparisien.fr/laparisienne/diaporama/en-images-les-femmes-les-plus-sexy-selon-le-magazine-esquire-07-10-2013-3204431.php) soutient l'enseigne israélienne. «Je suis partisane d'une coopération économique et sociale entre Israéliens et Palestiniens. SodaStream est une entreprise engagée pour l'environnement. Elle construit un pont pour la paix entre Israël et la Palestine en employant des salariés des deux pays, qui ont les mêmes salaires (http://actualites.leparisien.fr/salaires.html) et les mêmes droits. C'est ce qui se passe tous les jours dans leur usine de Ma'ale Adumim».
Ce n'est pas l'avis de l'ONG britannique Oxfam. L'organisation de lutte contre la pauvreté, reproche à la marque d'être implantée dans une colonie en Cisjordanie. Or, détail fâcheux, Scarlett Johansson est également l'ambassadrice d'Oxfam depuis le tsunami de 2004. Dans un communiqué, l'association a fait savoir qu'elle «respecte l'indépendance de ses ambassadrices et ambassadeurs», mais qu'elle s'oppose à toute forme de commerce avec les colonies israéliennes, lesquelles sont illégales au regard du droit international». Oxfam remet en cause sa coopération avec l'actrice en «examinant les conséquences sur le rôle de Mme Johansson en tant qu'ambassadrice mondiale d'Oxfam».
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