sindbad001
13/01/2014, 19h44
http://www.liberte-algerie.com/images/resized/images/images_editions/6509/9%20sabra-victimes%20dr%20_200_150.jpgDe Barack Obama à François Hollande en passant par Ban Ki-moon, les hommages au général sanguinaire Ariel Sharon se sont multipliés, alors que l’histoire ne retient de lui que les assassinats et les massacres perpétrés contre les peuples arabes de la région de 1953 à 2006, date de son accident vasculaire cérébrale, qui l’a rendu enfin inoffensif.
Comment peut-on trouver des qualités humaines, comme cela est souligné dans les messages de condoléances des dirigeants occidentaux notamment, à un homme qui s’est particulièrement rendu célèbre par le nombre effroyable de ses victimes ? Les assassinats ciblés et les massacres à grande échelle qu’Ariel Sharon a commis tout au long de sa carrière militaire et politique avaient à chaque fois défrayé la chronique.
Choquée, la communauté internationale se limitait à des condamnations à peine audibles de ces actes inhumains. C’est à croire que le Palestinien n’est pas un être humain ouvrant droit à la protection, que lui assurent la déclaration universelle des droits de l’homme et les conventions des Nations unies. Maintenant qu’Ariel Sharon est mort, les médias occidentaux ne jugent pas utile de rappeler tous ses crimes. Et Dieu seul sait qu’il y en a eu beaucoup. De l’opération contre le village de Qibya en 1953, qui a coûté la vie à 70 civils palestiniens, au raid contre le sud Liban de décembre 2005 à janvier 2006, en passant par les 3500 morts dans les camps de Sabra et Chatilla en 1982, le général Ariel Sharon a passé sa vie à massacrer tout ce qui était palestinien ou arabe. Il est même considéré comme responsable de la disparition du leader de la cause palestinienne Yasser Arafat. Ariel Sharon ne distinguait point entre les résistants palestiniens et les civils désarmés, qu’étaient les vieillards, les femmes et les enfants. Ils étaient les cibles privilégiées de ses raids militaires. Les médias occidentaux ont la mémoire courte, tel que l’indique leur acharnement à louer les mérites qu’ils arrivent à trouver au boucher de Sabra et Chatilla, alors que la situation aurait voulu que l’on fasse preuve de décence par respect à la mémoire de ses nombreuses victimes, particulièrement palestiniennes et libanaises. Cela n’émeut guère les médias et les dirigeants occidentaux, qui s’enflamment par contre pour le moindre événement touchant à Israël, comme c’est le cas actuellement avec l’humoriste français Dieudonné Mbala Mbala. Et là on trompe l’opinion publique en laissant croire que le comédien s’attaque aux juifs et non à la doctrine sioniste, défendue bec et ongles par le sinistre Ariel Sharon de son vivant. En tout état de cause, l’on se fait un devoir de faire croire que c’est le juif qui est visé, lorsque les Palestiniens se défendent contre les agissements sanglants de l’Etat sioniste, qu’est Israël. Mais il suffit de prendre connaissance des commentaires indignés des internautes sur la toile, dénonçant cette campagne scandaleuse et rappelant les crimes de l’Etat sioniste et s’assurer que le mensonge ne passe plus.
Comment peut-on trouver des qualités humaines, comme cela est souligné dans les messages de condoléances des dirigeants occidentaux notamment, à un homme qui s’est particulièrement rendu célèbre par le nombre effroyable de ses victimes ? Les assassinats ciblés et les massacres à grande échelle qu’Ariel Sharon a commis tout au long de sa carrière militaire et politique avaient à chaque fois défrayé la chronique.
Choquée, la communauté internationale se limitait à des condamnations à peine audibles de ces actes inhumains. C’est à croire que le Palestinien n’est pas un être humain ouvrant droit à la protection, que lui assurent la déclaration universelle des droits de l’homme et les conventions des Nations unies. Maintenant qu’Ariel Sharon est mort, les médias occidentaux ne jugent pas utile de rappeler tous ses crimes. Et Dieu seul sait qu’il y en a eu beaucoup. De l’opération contre le village de Qibya en 1953, qui a coûté la vie à 70 civils palestiniens, au raid contre le sud Liban de décembre 2005 à janvier 2006, en passant par les 3500 morts dans les camps de Sabra et Chatilla en 1982, le général Ariel Sharon a passé sa vie à massacrer tout ce qui était palestinien ou arabe. Il est même considéré comme responsable de la disparition du leader de la cause palestinienne Yasser Arafat. Ariel Sharon ne distinguait point entre les résistants palestiniens et les civils désarmés, qu’étaient les vieillards, les femmes et les enfants. Ils étaient les cibles privilégiées de ses raids militaires. Les médias occidentaux ont la mémoire courte, tel que l’indique leur acharnement à louer les mérites qu’ils arrivent à trouver au boucher de Sabra et Chatilla, alors que la situation aurait voulu que l’on fasse preuve de décence par respect à la mémoire de ses nombreuses victimes, particulièrement palestiniennes et libanaises. Cela n’émeut guère les médias et les dirigeants occidentaux, qui s’enflamment par contre pour le moindre événement touchant à Israël, comme c’est le cas actuellement avec l’humoriste français Dieudonné Mbala Mbala. Et là on trompe l’opinion publique en laissant croire que le comédien s’attaque aux juifs et non à la doctrine sioniste, défendue bec et ongles par le sinistre Ariel Sharon de son vivant. En tout état de cause, l’on se fait un devoir de faire croire que c’est le juif qui est visé, lorsque les Palestiniens se défendent contre les agissements sanglants de l’Etat sioniste, qu’est Israël. Mais il suffit de prendre connaissance des commentaires indignés des internautes sur la toile, dénonçant cette campagne scandaleuse et rappelant les crimes de l’Etat sioniste et s’assurer que le mensonge ne passe plus.