SIDALI55
11/12/2012, 00h58
Le portefeuille des brevets de Kodak réveille les appétits. Apple et Google ont fait une offre commune de 500 millions de dollars.http://www.01net.com/images/article/200.726747.jpg
http://www.01net.com/imgv6/structure/dot.gif
http://www.01net.com/imgv6/structure/ico_loupe.gifagrandir la photo (http://www.01net.com/images/article/726747.jpg)
Depuis cet été, Kodak a mis aux enchères son portefeuille de brevets pour récupérer de quoi solder ses dettes, d’un montant de 750 millions de dollars. Après de longues semaines d’attentisme (http://www.01net.com/editorial/568053/les-brevets-de-kodak-nattirent-pas-les-foules-ce-qui-menace-sa-survie/), deux repreneurs auraient fait une proposition commune. Selon une information de Bloomberg (http://www.bloomberg.com/news/2012-12-08/apple-joins-google-in-500-million-plus-bid-for-kodak-patents.html), il s'agit d'Apple et de Google, qui auraient fait une offre de 500 millions de dollars.
Cette alliance est une surprise. En effet, au mois d’août dernier, le Wall Street Journal révélaitun partenariat plus important (http://www.01net.com/editorial/571405/brevets-kodak-apple-google-et-samsung-meilleurs-amis-du-monde/) constitué d’Apple, de Google, de Samsung, de HTC, de LG et de RPX, un cabinet spécialisé dans le rachat de technologies. Le but affiché à l’époque était de ne pas les faire tomber entre des mains inconnues.
Fin de l'alliance américano-asiatiqueVisiblement, ce rapprochement américano-asiatique n’a pas fait long feu. Difficile de ne pas y voir l’impact des relations sensibles avec Apple. D’autant qu’il serait délicat de faire une alliance sur des brevets en plein redémarrage du procès contre Samsung. En revanche, la surprise repose sur le retrait de RIM et de Microsoft, qui semblaient intéressés.
Ainsi, Kodak peut voir son avenir de manière plus optimiste. Depuis l’offre de rachat de ses 1 100 brevets, qui représentent 10 % du portefeuille de la société de Rochester, peu d’offres lui ont été faites.
Celle d’Apple et de Google, si elle se confirme, va lui permettre d’éviter d’aggraver la situation puisque, rappelons-le, Kodak a été placée sous le régime du Chapitre 11 de la loi sur les faillites qui impose aux sociétés concernées de se réorganiser pour redresser leur situation.
01net
le 10/12/12 à 11h08
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Depuis cet été, Kodak a mis aux enchères son portefeuille de brevets pour récupérer de quoi solder ses dettes, d’un montant de 750 millions de dollars. Après de longues semaines d’attentisme (http://www.01net.com/editorial/568053/les-brevets-de-kodak-nattirent-pas-les-foules-ce-qui-menace-sa-survie/), deux repreneurs auraient fait une proposition commune. Selon une information de Bloomberg (http://www.bloomberg.com/news/2012-12-08/apple-joins-google-in-500-million-plus-bid-for-kodak-patents.html), il s'agit d'Apple et de Google, qui auraient fait une offre de 500 millions de dollars.
Cette alliance est une surprise. En effet, au mois d’août dernier, le Wall Street Journal révélaitun partenariat plus important (http://www.01net.com/editorial/571405/brevets-kodak-apple-google-et-samsung-meilleurs-amis-du-monde/) constitué d’Apple, de Google, de Samsung, de HTC, de LG et de RPX, un cabinet spécialisé dans le rachat de technologies. Le but affiché à l’époque était de ne pas les faire tomber entre des mains inconnues.
Fin de l'alliance américano-asiatiqueVisiblement, ce rapprochement américano-asiatique n’a pas fait long feu. Difficile de ne pas y voir l’impact des relations sensibles avec Apple. D’autant qu’il serait délicat de faire une alliance sur des brevets en plein redémarrage du procès contre Samsung. En revanche, la surprise repose sur le retrait de RIM et de Microsoft, qui semblaient intéressés.
Ainsi, Kodak peut voir son avenir de manière plus optimiste. Depuis l’offre de rachat de ses 1 100 brevets, qui représentent 10 % du portefeuille de la société de Rochester, peu d’offres lui ont été faites.
Celle d’Apple et de Google, si elle se confirme, va lui permettre d’éviter d’aggraver la situation puisque, rappelons-le, Kodak a été placée sous le régime du Chapitre 11 de la loi sur les faillites qui impose aux sociétés concernées de se réorganiser pour redresser leur situation.
01net
le 10/12/12 à 11h08