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harroudiroi
13/12/2013, 12h59
Autant d'avions en même temps, est ce que c'est normal????

Rafik15
13/12/2013, 13h07
pourquoi seulement pour sind ?

enzo
13/12/2013, 13h41
Oui c'est normal pour l'europe

sindbad001
13/12/2013, 15h32
il ya des jours ou c est plus que ca les jours de fetes , les vacances si tu px voir sur l image il y a une forte concentration d aeronefs sur les grands aeroports d europe . mais si tu prends les usa c est plus .

1/ SINGAPOUR CHANGI AIRPORT
73 étoiles

L'aéroport l (http://www.changiairport.com/)e plus récompensé au monde (420 prix depuis 1981) a accueilli l'an passé 51,2 millions de passagers. La construction d'un quatrième terminal vient d'être lancée pour viser 82 millions de passagers. Constamment rénové et modernisé, son slogan résume ses standards: «Le sentiment d'être toujours en première classe». La preuve par 25 000 employés, 120 restaurants, 330 boutiques, 550 postes Internet, 60 agents munis d'iPad pour guider les égarés, 5 jardins (une serre à papillons au T3), un bassin pour carpes koi géantes (T3) et une piscine en plein ciel (T1, 8,50 €). Ajoutons des kilomètres de moquette anti-bruits, la lumière naturelle et la végétation privilégiées partout pour ajouter à la sérénité. Noter que Changi est le seul aéroport où le scan des bagages cabine est décentralisé à chaque porte d'embarquement. Enfin, les valises arrivent en moins de 15 minutes et le taxi est déjà là. Un rêve. ANNE-MARIE GRUÉ (À SINGAPOUR)
2/ DUBAÏ INTERNATIONAL AIRPORT
55 étoiles

http://www.lefigaro.fr/medias/2013/03/13/202f4aae-8b0c-11e2-94ad-808b1722523f-150x150.jpg
Ses concepteurs le clament: l'aéroport (50 millions de passagers aujourd'hui) deviendra vite le premier du monde. Il est le seul en tout cas qui dispose d'une aérogare dédiée aux A380 (http://bourse.lefigaro.fr/indices-actions/actu-conseils/airbus-les-aeroports-de-dubai-ouvrent-le-terminal-de-l-a380-361345). Et comme son développement ignore les soucis financiers… Actuellement, il ressemble surtout à un immense centre commercial éclairé de néons qui effacent le jour comme la nuit. La vie ne s'arrête jamais. Propreté méticuleuse assurée par une armée de Philippins, Pakistanais ou Sri-Lankais, des centaines de boutiques à tarifs irrésistibles (bijoux en particulier), des loteries pour gagner des bolides, parfait confort des zones communes, fluidité des filtres, restauration variée et sentiment d'être au carrefour du monde, là où l'Afrique et l'Asie retrouvent l'Europe. Impressionnant. Des regrets quand même: la longueur des allées à parcourir en cas de correspondance, l'absence d'infos en français et l'ambiance impersonnelle, high-tech et glacée, qui règne partout. JEAN-PIERRE CHANIAL
3/ LONDRES HEATHROW
52 étoiles

http://www.lefigaro.fr/medias/2013/03/13/d7152ac6-8b26-11e2-94ad-808b1722523f-150x150.jpg
Avec quatre terminaux et 70 millions de passagers annuels, le premier aéroport européen est à saturation (http://www.lefigaro.fr/international/2012/05/03/01003-20120503ARTFIG00614-chaos-aux-postes-frontieres-de-l-aeroport-de-heathrow.php). La moindre perturbation peut faire dérailler la machine. Malgré un bon niveau d'équipements et de services (restauration, salons, boutiques, desserte ferroviaire), la plate-forme souffre d'engorgement. Avec 471 341 vols l'an dernier, elle flirte avec son niveau maximal autorisé de 480 000 sur deux pistes seulement. Un débat récurrent est consacré à la construction d'une troisième piste, solution pour laquelle militent ses dirigeants et les entreprises de la capitale, inquiets de la perte de compétitivité de Londres par rapport aux hubs de Paris, Francfort ou Amsterdam. Mais riverains et politiques s'y opposent et plaident pour la création ex-nihilo d'un nouvel aéroport dans l'estuaire de la Tamise. Du coup, la moindre perturbation, notamment météorologique, peut entraîner retards et annulations en cascade, attentes interminables à l'immigration et de longues files d'attente à l'enregistrement sont fréquentes. FLORENTIN COLLOMP (À LONDRES)
4/ JOHANNESBURG O.R. TAMBO
51 étoiles

Avec plus de 18 millions de passagers par an, l'aéroport international de Johannesburg est le plus grand d'Afrique. Situé à plus de 1 700 mètres d'altitude, il a été baptisé en 2006 Aéroport Oliver Reginald Tambo (http://www.acsa.co.za/home.asp?pid=228) (du nom d'un ancien président national du Congrès national africain), le parti au pouvoir depuis 1994. En 2010, une dernière rénovation l'a placé en tête de tous ses voisins, tant au niveau des infrastructures que des services aux passagers ou de ses agréments. Une navette ferroviaire relie désormais l'aéroport à Pretoria. Et le fameux «Gautrain», l'un des plus prestigieux projets de la nouvelle Afrique du Sud, mène aux quartiers d'affaire de Johannesburg en moins de 15 minutes. Une bénédiction dans une capitale économique de plus en plus paralysée par ses embouteillages… CAROLINE DUMAY (À JOHANNESBURG)
http://www.lefigaro.fr/medias/2013/03/13/fea23842-8b0b-11e2-94ad-808b1722523f-150x150.jpg
5/ MADRID BARAJAS
50 étoiles

L'unique aéroport de la capitale espagnole (http://www.aena-aeropuertos.es/csee/Satellite/Aeropuerto-Madrid-Barajas/es/)reçoit quelque 45 millions de passagers chaque année. L'agrément du voyageur varie beaucoup selon le terminal emprunté. Les T1 (easyJet, Ryanair…) et T2 (Air France…) ont pris un coup de vieux à côté de l'énorme et rutilant T4 (Iberia, Vueling…), inauguré en 2006. Les infrastructures sont globalement bien pensées et entretenues, et les installations extrêmement propres. Aucun problème pour trouver son chemin, ni pour rejoindre le centre-ville, en bus, métro ou train. Les chauffeurs de taxi font la queue, les passagers beaucoup moins. Attention: pas d'annonce sonore, il faut donc observer les panneaux. Côté boutiques et restaurants, mieux vaut être au T4, où les grandes marques espagnoles (Zara, Mango…) se donnent rendez-vous. Les galeries du Corte Inglés ont toutefois ouvert une succursale au T1. La qualité et la diversité gastronomiques aux T1 et T2 pourraient être largement améliorées et les techno-dépendants regretteront de devoir payer pour se connecter, mais apprécieront les points de recharge électrique récemment installés. MATHIEU DE TAILLAC (À MADRID)
6/ ROME FIUMICINO LEONARDO DA VINCI
50 étoiles, un éclair

http://www.lefigaro.fr/medias/2013/03/13/4809ccfa-8b27-11e2-94ad-808b1722523f-150x150.jpg
Avec 37 millions de passagers en 2012, Léonardo da Vinci (35 km de Rome) est le premier aéroport d'Italie. La qualité de ses services s'est grandement améliorée (http://www.lefigaro.fr/international/2010/02/05/01003-20100205ARTFIG00590-le-premier-aeroport-d-italie-sans-mesure-de-securite-la-nuit-.php)ces dernières années. Sa grande faiblesse reste la livraison des bagages (une vingtaine de minutes, souvent le double) avec des écrans indiquant les tapis assez fréquemment erronés. Deux autres points noirs: les toilettes à l'arrivée, trop peu nombreuses et pas toujours avenantes ; ainsi que la sortie de l'aéroport avec des taxis en nombre (tarif unique de 48 euros pour le centre-ville), mais trop de «pirates» à l'intérieur de l'aérogare. Autobus avantageux (9 euros) pour la gare de Rome, mais très mal signalés, et trains pour le centre (13 euros) trop irréguliers. Dans l'ensemble toutefois, l'aéroport fonctionne bien. Il est spacieux et correctement aménagé avec ses quatre terminaux, 86 portes d'embarquement et 355 comptoirs d'enregistrement. Bravo pour la restauration et pour les boutiques des griffes italiennes. Les salons VIP sont engageants. Quelque 2,5 milliards d'euros d'investissements sont prévus pour en faire le premier hub méditerranéen en 2020 avec 43 millions de passagers. RICHARD HEUZÉ (À ROME)
7/ BERLIN TEGEL
40 étoiles

Tout le monde est d'accord: l'aéroport de Tegel (http://www.lefigaro.fr/international/2013/01/07/01003-20130107ARTFIG00573--berlin-le-chantier-de-l-aeroport-vire-au-fiasco.php), le plus important de Berlin, est indigne d'une capitale. Construit par les alliés en 1948, il aurait dû fermer en juin 2012. Mais l'ouverture de la nouvelle plateforme Willy Brandt décidée après la réunification et le transfert de la capitale à Berlin ont de nouveau été retardés. Alors, Tegel continue. Situé à 15 minutes du centre, il est facile d'accès. Ni bus, ni métro pour relier ses cinq terminaux. Entourés par les pistes, ils sont concentrés dans un espace réduit évitant les transferts interminables. Et au retour, les bagages sont livrés en quelques minutes. Une file de taxis aimables attend les passagers. Mais Tegel est à bout de souffle, saturé par la forte augmentation du trafic, passé de 14 à 18 millions de passagers ces trois dernières années. Résultats: l'exiguïté des lieux bloque ceux qui tentent de contourner les files d'attente des comptoirs d'enregistrement, pour traverser les aérogares. Lufthansa a supprimé plusieurs liaisons en raison de «problèmes massifs» de transfert de bagages sur les vols en correspondance. L'offre de restauration, de shopping ou d'espaces affaires est quasi inexistante. Les sanitaires sont propres mais en nombre insuffisant. Heureusement, Tegel et son charme désuet un rien provincial contribue à rendre sympathique la capitale de la première puissance économique européenne. PATRICK SAINT-PAUL (À BERLIN)
8/ TOKYO NARITA
38 étoiles

Avec 30 millions de passagers par an, Narita (http://www.narita-airport.jp/) est la porte aérienne du Japon. Il pâtit de services médiocres, d'infrastructures vieillissantes et de l'éloignement de Tokyo (90 minutes en train). On y trouve les qualités et les défauts du Japon: propreté irréprochable, politesse et courtoisie, mais aucun effort d'adaptation dans ce lieu gris où les fast-foods s'alignent tristement. Pas de librairie internationale d'envergure non plus, ni de table gastronomique, alors que le pays en regorge. Pour le novice, ce premier contact est glacial. Il doit donner ses empreintes digitales à la douane, et parfois même se soumettre à un humiliant contrôle d'identité policier dans l'aéroport! Pour les Japonais, Narita est le dernier effort avant la maison. Pour les visiteurs, ce n'est qu'un lieu vite oublié. Le Japon se demande pourquoi il n'est que le 39e pays touristique du monde. Il devrait peut-être donner un coup de peinture à sa porte d'entrée… RÉGIS ARNAUD (À TOKYO)
9/ PARIS ROISSY-CHARLES-DE-GAULLE
38 étoiles et un éclair

Premier en France, deuxième en Europe après Londres, septième dans le monde, l'aéroport parisien accueille plus de 60 millions de passagers par an. Tous peuvent hélas lui attribuer un premier éclair pour l'absence de liaison rapide par transports en commun depuis le centre de Paris (23 km). Et un second pour l'accueil des taxis de l'aérogare. Indigne. Entre les deux, ils ont le loisir d'apprécier les hauts, la qualité des boutiques hors taxe (vins, tabacs, parfums), la clarté des annonces, la signalétique, les toilettes ou l'accès gratuit aux chariots. Et les bas, sachant que l'aérogare 2 (où Air France opère) est bien plus agréable que le 1. Le passage des filtres, au départ comme au retour, peut varier de 5 à 30 minutes selon le nombre de fonctionnaires en poste et celui des avions à l'atterrissage. De même, le contrôle des bagages passagers va de l'extrême fluidité au total engorgement. La durée de livraison des valises, entre 15 et 45 minutes, semble elle aussi dépendre de bien mystérieux cheminements. Sans parler du mal français, les grèves, capables de paralyser tous les services aéroportuaires. J.-P. C.
10/ BANGKOK SUVARNABHUMI
38 étoiles, 3 éclairs

http://www.lefigaro.fr/medias/2013/03/13/49442b06-8b27-11e2-94ad-808b1722523f-150x150.jpg
De l'avis des Bangkokiens, cet aéroport est un cobra, vorace et gigantesque. Construit sur des marécages colonisés par les serpents, Suvarnabhumi (http://www.lefigaro.fr/international/2007/02/06/01003-20070206ARTWWW90427-scandale_autour_du_nouvel_aeroport_de_bangkok.php) (prononcez Souvanapoum) avale 156 000 passagers chaque jour. Une architecture réussie avec des arcades en verre au-dessus des portes d'embarquement, donnant une impression de légèreté et de luminosité. Mais la forme en H de l'aérogare fait que l'on ne cesse de marcher le long de couloirs interminables. Comme l'espace d'accueil a été sacrifié aux boutiques, il se résume à une galerie marchande à prix exorbitants. Suvarnabhumi doit remédier à un engorgement chronique, engendrant des retards à l'atterrissage comme au décollage, de longues files d'attente au passage de l'immigration et des trajets inconfortables en bus pour rejoindre un avion stationné au bout du tarmac pour beaucoup de vols régionaux. FLORENCE COMPAIN (À BANGKOK)
33 étoiles
Vu du ciel, il ressemble à un dragon en plein vol. De près, quand la pollution le permet, on voit saillir ses écailles des toits du Terminal 3. Œuvre superbe du britannique Norman Foster, il a été inauguré en mars 2008, peu avant les Jeux Olympiques. Il a reçu 80 millions de passagers en 2012, ce qui le hisse en deuxième position mondiale (http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/03/15/97002-20110315FILWWW00664-pekin-devient-le-2e-aeroport-au-monde.php)derrière Atlanta. Si son immensité impressionne (98 ha, le plus grand terminal au monde), elle pénalise parfois le voyageur. Les temps d'accès aux avions peuvent être longs. Surtout, ce qui est peu acceptable pour un aéroport moderne, le recours aux bus pour débarquer des appareils est très fréquent. En fait, le nouveau bâtiment est déjà saturé, et la construction d'un nouvel aéroport a été approuvée en janvier, à l'horizon 2018. L'ambiance y est zen, parce qu'il est beau et vaste, et sans doute aussi parce qu'il a été construit selon les principes de l'harmonie feng shui. Sa propreté est remarquable mais on regrette le côté froid, un trait courant des réalisations chinoises. Ainsi que le manque de diversité côté boutiques et restaurants, en nombre trop limités. La qualité de service a de fortes marges de progression. L'accès à Internet est compliqué par les impératifs de censure. Mais le cauchemar des voyageurs reste les retards incessants des compagnies chinoises, imputable à la lourdeur du contrôle aérien. ARNAUD DE LA GRANGE ( À PÉKIN)
33 étoiles et 2 éclairs
Contrairement à une idée largement répandue, JFK n'est pas un géant. Avec environ 50 millions de passages par an, il est presque deux fois moins prisé qu'Atlanta. Autre image vite écornée, la superbe organisation américaine… Avec un temps d'attente qui peut atteindre l'heure au filtre douanier de l'arrivée, l'amabilité très relative (regards invariablement suspicieux) du personnel qui gère les différents contrôles, les chariots payants, des boutiques ainsi qu'une restauration sans intérêt et des annonces rarement claires pour des étrangers, JFK n'a vraiment rien de magique. Il se rattrape avec la fluidité des enregistrements gérés directement par les compagnies, des salons épatants pour qui voyage en Affaires et la facilité d'accès aux taxis ainsi que le tarif fixe pour Manhattan. Voilà qui compense le mutisme du chauffeur. Paradoxe, malgré tous ses travers, JFK reste un aéroport phare de la planète, la porte de la conquête. J.-P. C.
32 étoiles et 2 éclairs
39.5 millions de passagers passent chaque année dans le 12ème aéroport américain. Depuis 2012, il sert de cadre à une émission de télé réalité Airport 24/7 Miami (http://www.travelchannel.com/airport247) . Son problème est que, bien qu'il soit l'un des aéroports les plus mal organisés des USA, il est le hub obligé des vols à destination de l'Amérique centrale et du sud. Dommage, car c'est l'un des pires en termes de retards. Et tandis qu'on attend un vol, presque immanquablement ajourné, on dépense son argent à se connecter sur Internet payant. Sa réussite esthétique ne masque pas ses failles: mauvaise signalétique, marathons interminables entre les aérogares, personnel sans la moindre amabilité, nécessité de repasser par la sécurité et ses queues démesurées lorsqu'on arrive d'une destination internationale, obligation de réenregistrer ses bagages quand on est en correspondance. Un agrément quand même: les salons affaire sont spacieux, confortables et proposent une bonne qualité de restauration. ARMELLE VINCENT (À MIAMI)
31 étoiles
Le deuxième aéroport de la capitale et ses six terminaux accueillent la plupart des vols Air France. Il fait l'objet de gros travaux d'agrandissement et de rénovation depuis 2005. Pour un voyageur russe accoutumé au peu d'égards réservés aux citoyens lambda dans les lieux publics, l'aéroport passe pour correct. Mais pour un Occidental habitué aux standards de confort et de fluidité internationaux, il reste beaucoup à faire même si des progrès ont été réalisés, en particulier dans les formalités douanières. La conception très soviétique de l'accueil reste de mise: surtout ne pas déranger les hôtesses d'information, elles ont manifestement autre chose à faire que de renseigner. La restauration est chère et de médiocre qualité. Les boutiques ont à ce point envahi les terminaux au détriment des fauteuils et des sanitaires qu'il faut parfois attendre son avion debout et renoncer à fréquenter les toilettes. Bref, si l'emballage s'améliore à force de travaux, le fond ne change pas vraiment. Ces remarques sont également valables, parfois en pire, pour Domodedovo, le premier aéroport de Moscou et de la Russie. PIERRE PRIER (À MOSCOU)
29 étoiles
Construit il y a 35 ans sur l'Ilha do Governador, une presqu'île située à 20 km du centre de Rio, l'aéroport accueille tous les vols internationaux et une bonne partie des vols nationaux. Plus de 12 millions de personnes transitent chaque année par ses deux terminaux totalement saturés. Promise pour la Coupe du Monde de juin 2014, sa modernisation tarde. C'est pourtant une urgence. Certes, la propreté et la légendaire cordialité des Brésiliens sont au rendez-vous, mais ne suffisent pas à rendre acceptables les coupures d'électricité, ni les longues files d'attente à la police, un peu moins pénibles pour les Brésiliens, qui ont des comptoirs à part. La durée de livraison des bagages est aléatoire, même si elle s'est améliorée, d'autant plus compliquée que les Brésiliens reviennent très chargés de leurs voyages. A l'embarquement, les salons sont rares et minuscules, les restaurants réduits à leur plus simple expression car tous ont cessé d'investir en attendant la rénovation de l'aérogare. Quitter les lieux n'est pas simple non plus. Une nuée de personnes interpellent l'arrivant pour lui proposer des taxis spéciaux, bien plus coûteux, jouant sur la paranoïa de la sécurité. Quant aux partants, il faut leur conseiller de calculer large: l'aéroport se trouve sur la «ligne rouge», une voie express souvent embouteillée, en particulier les jours de pluie. LAMIA OUALALOU (À RIO)
17 étoiles et 6 éclairs
Le sixième aéroport du monde enregistre plus de 600 mouvements quotidiens. Il dessert 91 villes américaines et 58 étrangères. Trop exiguë pour pareil trafic, il détient le record des accidents au sol. Ici, tout est question de chance, selon le jour et l'aérogare (il y en a 8) de départ ou d'arrivée. Si toutefois on y arrive à temps, après avoir été coincé dans les embouteillages liés à son architecture en U. Les contrôles de sécurité et le passage de la douane peuvent durer du simple au double. Trop souvent, le personnel se montre impatient. Refuser par exemple le scanner corporel (on a le droit d'opter pour une palpation) revient à rendre l'attente interminable en ayant l'impression d'être puni pour indiscipline. Autres désagréments: restauration et boutiques hors taxes bien médiocres, informations et assistance inexistantes, wifi et chariots payants, carrousels à bagages régulièrement en panne et taxis, jamais à leur borne. Bonne nouvelle toutefois, l'aérogare internationale Tom Bradley, où arrivent la plupart des voyageurs étrangers, est en train de subir une rénovation de 1,5 milliard de dollars. ARMELLE VINCENT (À LOS ANGELES)
Les critères retenus
Pour attribuer une note à chaque aéroport, 15 points de passage ont été imposés à nos contributeurs. À charge pour eux d'attribuer à chacun entre un éclair (à revoir totalement) et de une à cinq étoiles selon la qualité de la prestation. Ces critères sont: accès ; signalétique ; propreté des sanitaires ; personnel d'information et d'assistance ; accessibilité des comptoirs et fluidité d'enregistrement ; passage des filtres de douane et contrôle des passagers avant embarquement (cordialité et durée) ; confort, animations et services (Wi-Fi, en particulier) des zones d'attente ; salons affaires ; restauration ; boutiques (diversité et tarifs) ; clarté des annonces et facilité d'embarquement ; filtre douanier à l'arrivée ; livraison des bagages ; disponibilité des chariots ; accès aux taxis et accueil des chauffeurs.

parceque je prend l avion au moins 300 fois par jour lolll

harroudiroi
13/12/2013, 15h45
pourquoi seulement pour sind ?
Très cher RAF, je me permet de te poser une devinette, parfois quand tu es au ciel ( faut pas avoir des idees et des mauvaises pensées ), il y'a Sind qui oriente la chose qui " t'a envoyé en l'air " alors dis moi reconnais - tu Sind Job's, pas Steeve Job's, mais Sind Travail, lol