soltan009
07/12/2013, 11h29
LIÈGE - Un Liégeois de 35 ans a été condamné jeudi par le tribunal correctionnel de Liège à une peine de 3 ans de prison pour avoir commis des viols et des attentats à la pudeur sur ses deux filles âgées de 3 et 5 ans. Ces faits avaient été commis lorsque les deux fillettes étaient placées sous sa garde.
Les faits avaient été révélés lorsque les fillettes avaient adopté des comportements hyper sexualisés. Certaines de leurs paroles ou de leurs comportements avaient permis de constater qu’elles avaient été mises en contact avec des pratiques d’adultes dont il leur arrivait de mimer les gestes.
L’enquête avait révélé que le père des deux fillettes les soumettait à des visionnages de scènes pornographiques et qu’il leur imposait de reproduire une partie de ces scènes. Le dossier évoquait notamment des faits de fellations, dont certains détails évoqués par la suite ont éveillé la méfiance de psychologues.
Ce père niait les faits et prétendait que ses filles avaient visionné à son insu des films réservés aux adultes. Un expert avait cependant relevé que les victimes avaient été exposées à un vécu sexuel clair.
Le prévenu était également poursuivi pour des faits de menaces envers la mère des enfants et une psychologue. Il avait menacé de les tuer s’il devait aller en prison pour ces faits. Déjà condamné à 2 ans de prison avec sursis en 2000 pour des faits de coups sur une de ses filles à laquelle il avait occasionné une fracture du crâne, le prévenu n’avait plus droit au sursis. Il a écopé d’une peine de 3 ans de prison ferme.
source :.lavenir.net/article/ (http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=dmf20131205_00399401)
Les faits avaient été révélés lorsque les fillettes avaient adopté des comportements hyper sexualisés. Certaines de leurs paroles ou de leurs comportements avaient permis de constater qu’elles avaient été mises en contact avec des pratiques d’adultes dont il leur arrivait de mimer les gestes.
L’enquête avait révélé que le père des deux fillettes les soumettait à des visionnages de scènes pornographiques et qu’il leur imposait de reproduire une partie de ces scènes. Le dossier évoquait notamment des faits de fellations, dont certains détails évoqués par la suite ont éveillé la méfiance de psychologues.
Ce père niait les faits et prétendait que ses filles avaient visionné à son insu des films réservés aux adultes. Un expert avait cependant relevé que les victimes avaient été exposées à un vécu sexuel clair.
Le prévenu était également poursuivi pour des faits de menaces envers la mère des enfants et une psychologue. Il avait menacé de les tuer s’il devait aller en prison pour ces faits. Déjà condamné à 2 ans de prison avec sursis en 2000 pour des faits de coups sur une de ses filles à laquelle il avait occasionné une fracture du crâne, le prévenu n’avait plus droit au sursis. Il a écopé d’une peine de 3 ans de prison ferme.
source :.lavenir.net/article/ (http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=dmf20131205_00399401)