Rafik15
28/11/2013, 09h54
Impliqué dans quatre des cinq buts mancuniens à Leverkusen (5-0), Wayne Rooney a livré un match énorme pour assurer la qualification de son équipe en huitième de finale de Ligue des champions. L'international anglais est au sommet de son art.
http://l2.yimg.com/bt/api/res/1.2/sIZ_AwWI8ksfc_qpriGQnQ--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9MzYwO2NyPTE7Y3c9NjQwO2R4PTA7ZH k9MDtmaT11bGNyb3A7aD0zNTU7cT04NTt3PTYzMA--/http://media.zenfs.com/fr_FR/Sports/Eurosport/1140993-17941422-640-360.jpg
S’il n’a marqué aucun des cinq buts mancuniens lors de la démonstration des Red Devils à Leverkusen (5-0), Wayne Rooney a fait mieux que contribuer à la victoire. Il l’a tout simplement construite de bout en bout, avec un match exceptionnel de consistance. Au plus fort de la démonstration du Bayer, c’est lui qui, d’un amour de centre, a permis à Valencia et aux siens d’ouvrir le score (22e). C’est encore lui, d’un coup franc parfaitement distillé, qui a provoqué le but contre son camp de Spahic (30e). Le but d’Evans ? Un tir de Rooney détourné par Leno dans les pieds du défenseur (65e). Celui de Smalling ? Un nouveau caviar de l’international anglais (88e).
De cette manita en règle, seule la réalisation de Nani (88e) ne doit rien à ce Rooney plus que retrouvé. Et pour cause, il avait quitté la pelouse huit minutes plus tôt. Comprenez, sur les 80 minutes qu’il a passées sur la pelouse de la BayArena, l’attaquant a été dans tous les bons coups. Et encore, ses quatre gestes décisifs (seuls deux devraient être comptabilisés en passes décisives) ne sont que la partie émergée de l’iceberg. Car il a été tout aussi impressionnant dans le cœur du jeu, bonifiant par ses remises et ses décalages ses partenaires, Shenji Kagawa en tête.
Van Persie qui ?
Habitué au banc cette saison, le Japonais, placé en soutien du héros du jour, a également réalisé une performance de grande classe, et cette association extrêmement prometteuse a sans doute donné des idées à David Moyes. Auteur de huit buts et huit passes décisives toutes compétitions confondues avant la rencontre, Rooney se montre donc aussi à l’aise en pointe que derrière le buteur. Grâce à lui, l’absence de Robin van Persie (blessé), est passée totalement inaperçue contre une équipe de Leverkusen qui n’avait jamais perdu à domicile (8 victoires, 1 nul), ce qui était loin d’être gagné d’avance. Good job.
http://l2.yimg.com/bt/api/res/1.2/sIZ_AwWI8ksfc_qpriGQnQ--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9MzYwO2NyPTE7Y3c9NjQwO2R4PTA7ZH k9MDtmaT11bGNyb3A7aD0zNTU7cT04NTt3PTYzMA--/http://media.zenfs.com/fr_FR/Sports/Eurosport/1140993-17941422-640-360.jpg
S’il n’a marqué aucun des cinq buts mancuniens lors de la démonstration des Red Devils à Leverkusen (5-0), Wayne Rooney a fait mieux que contribuer à la victoire. Il l’a tout simplement construite de bout en bout, avec un match exceptionnel de consistance. Au plus fort de la démonstration du Bayer, c’est lui qui, d’un amour de centre, a permis à Valencia et aux siens d’ouvrir le score (22e). C’est encore lui, d’un coup franc parfaitement distillé, qui a provoqué le but contre son camp de Spahic (30e). Le but d’Evans ? Un tir de Rooney détourné par Leno dans les pieds du défenseur (65e). Celui de Smalling ? Un nouveau caviar de l’international anglais (88e).
De cette manita en règle, seule la réalisation de Nani (88e) ne doit rien à ce Rooney plus que retrouvé. Et pour cause, il avait quitté la pelouse huit minutes plus tôt. Comprenez, sur les 80 minutes qu’il a passées sur la pelouse de la BayArena, l’attaquant a été dans tous les bons coups. Et encore, ses quatre gestes décisifs (seuls deux devraient être comptabilisés en passes décisives) ne sont que la partie émergée de l’iceberg. Car il a été tout aussi impressionnant dans le cœur du jeu, bonifiant par ses remises et ses décalages ses partenaires, Shenji Kagawa en tête.
Van Persie qui ?
Habitué au banc cette saison, le Japonais, placé en soutien du héros du jour, a également réalisé une performance de grande classe, et cette association extrêmement prometteuse a sans doute donné des idées à David Moyes. Auteur de huit buts et huit passes décisives toutes compétitions confondues avant la rencontre, Rooney se montre donc aussi à l’aise en pointe que derrière le buteur. Grâce à lui, l’absence de Robin van Persie (blessé), est passée totalement inaperçue contre une équipe de Leverkusen qui n’avait jamais perdu à domicile (8 victoires, 1 nul), ce qui était loin d’être gagné d’avance. Good job.