harroudiroi
24/11/2013, 12h09
Cela fait maintenant de nombreuses années que Google n’est plus uniquement le géant de la recherche sur Internet. Ses activités se sont aujourd’hui grandement diversifiées et la firme de Mountain View travaille par exemple sur ses voitures autonomes. Et si Google était en train de mettre au point une voiture volante ?
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SFGate a découvert un brevet pour le moins intéressant, un « aéronef personnel », déposé par l’entreprise Zee.Aero, une « société écran » selon SFGate, située à Moutain View, quartier général de Google. Et il semblerait bien que ce dernier soit directement impliqué dans les travaux de Zee.Aero, sans toutefois en savoir davantage.
Cet étrange véhicule serait alimenté par une batterie et embarquerait pas moins de huit rotors et deux hélices, permettant un décollage vertical et un vol comme les avions. Si le dessin ci-dessous semble vraiment étrange, il convient de garder à l’esprit qu’il ne s’agit là que d’un concept.
Toujours est-il que Zee.Aero compte actuellement 52 employés (selon LinkedIn), dont essentiellement des profils techniques, et que pas moins de 11 postes, notamment en ingénierie mécanique et aéronautique, seraient à pourvoir, preuve que l’entreprise travaille bien sur quelque chose.
Info ou intox ? L’avenir nous le dira !
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SFGate a découvert un brevet pour le moins intéressant, un « aéronef personnel », déposé par l’entreprise Zee.Aero, une « société écran » selon SFGate, située à Moutain View, quartier général de Google. Et il semblerait bien que ce dernier soit directement impliqué dans les travaux de Zee.Aero, sans toutefois en savoir davantage.
Cet étrange véhicule serait alimenté par une batterie et embarquerait pas moins de huit rotors et deux hélices, permettant un décollage vertical et un vol comme les avions. Si le dessin ci-dessous semble vraiment étrange, il convient de garder à l’esprit qu’il ne s’agit là que d’un concept.
Toujours est-il que Zee.Aero compte actuellement 52 employés (selon LinkedIn), dont essentiellement des profils techniques, et que pas moins de 11 postes, notamment en ingénierie mécanique et aéronautique, seraient à pourvoir, preuve que l’entreprise travaille bien sur quelque chose.
Info ou intox ? L’avenir nous le dira !