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faremania
01/12/2012, 10h20
François Hollande remettra les clés d’Alger à Abdelaziz Bo^^^^^ika


François Hollande effectuera une visite officielle en Algérie les 19 et 20 décembre avec dans ses bagages un cadeau symbolique et historique. Le président français devrait en effet remettre les clés de la ville d’Alger à son homologue algérien Abdelaziz Bo^^^^^ika lors de ce voyage officiel, rapporte ce vendredi le site latribunedelart.com. Ces clés d’honneur d’Alger furent remises par le dey Hussein à l’armée française après la capitulation de la ville le 5 juillet 1830.

« Le ministère des Affaires Étrangères, qui semble considérer nos musées comme un réservoir de cadeaux diplomatiques, a décidé unilatéralement, sans d’ailleurs que l’Algérie ne fasse à ce propos aucune demande, que le président de la République française, François Hollande, devait offrir ces clés à l’Algérie » lors de son voyage officiel dans ce pays, écrit La Tribune de l’Art.

L’ex‑président français Jacques Chirac, lors d’une visite officielle en Algérie, avait offert le sceau du dey Hussein à Abdelaziz Bo^^^^^ika.

fekri92
01/12/2012, 19h36
merci mon frere de l 'info il n 'a pas une en plus pour un F4 pour mes gosses.

Rafik15
28/04/2013, 12h24
Etat de santé de Bouteflika : une transparence officielle qui suscite des interrogations
Abdelaziz Bouteflika a été hospitalisé samedi soir à l’hôpital militaire parisien du Val-de-Grâce, a annoncé l’agence APS. « Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a été transféré samedi en fin d'après-midi à Paris, pour y effectuer des examens complémentaires, sur recommandation de ses médecins traitants », a indiqué dans la soirée l’agence officielle APS, citant une source médicale.


Auparavant, peu avant 20 heures, la même agence annonçait l’accident ischémique transitoire sans séquelles dont a été victime le chef de l’Etat vers 12h30. Selon le professeur Rachid Bougherbal, cité par APS, « les premières investigations ont été déjà entamées et Son Excellence le président de la République doit observer un repos pour poursuivre ses examens ». Le même médecin a assuré que son état de santé « n’occasionne aucune inquiétude ».
Depuis sa première hospitalisation au Val-de-Grâce à la fin 2005, le président Bouteflika a souvent eu des problèmes de santé. Parfois, ils l’ont éloigné pour de longues périodes du pays, pour des soins ou des périodes de convalescence, notamment en Suisse.
En revanche, c’est la première fois que la communication officielle sur l’état de santé du président de la République est aussi « transparente » et rapide. Une transparence qui appelle quelques interrogations.
Doit-on croire la version officielle d’un accident ischémique transitoire sans séquelles ? A priori, oui. Mais alors, pourquoi communiquer de manière aussi officielle et rapide sur un accident de santé que tous les médecins qualifient de banal ?
Sachant que le Président allait être transféré dans la soirée au Val-de-Grâce, la Présidence a probablement cherché à éviter le scénario de 2005, quand, en l’absence de communication officielle algérienne, les médias français et certains hommes politiques s’étaient emparés du sujet. La communication sur la maladie du Président avait alors échappé aux Algériens, les obligeant à d’étonnantes acrobaties, comme la visite à l’hôpital du chanteur Cheb Mami ! D’ailleurs, hier soir, la radio RTL a annoncé presque en direct l’arrivée du président Bouteflika à Paris. Il est de plus en plus difficile de cacher ce type d’informations.
En communicant officiellement sur le sujet, la Présidence cherche aussi à réduire fortement la part de la rumeur dans un contexte politique difficile, marqué par une bataille au sommet de l’Etat dans la perspective d’un quatrième mandat de Bouteflika en 2014. Reste à savoir si cette communication sur sa maladie va profiter au président sortant ou, au contraire, l’affaiblir davantage face à ses adversaires.

http://www.tsa-algerie.com/media/k2/items/cache/78a38d90a5f5af5857b8e93fa4dd5a84_L.jpg (http://www.tsa-algerie.com/media/k2/items/cache/78a38d90a5f5af5857b8e93fa4dd5a84_XL.jpg)

lfar
20/05/2013, 13h03
salam a tous d'apres bfm tv le president serait dans le coma nous lui souhaitons un promt retablissement inchallah

kabyliano5900
20/05/2013, 13h58
salam a tous d'apres bfm tv le president serait dans le coma nous lui souhaitons un promt retablissement inchallah

Algérie : censure sur l'état de santé de Bouteflika - Libération (http://www.liberation.fr/monde/2013/05/19/algerie-censure-sur-l-etat-de-sante-de-bouteflika_904056)

soltan009
21/05/2013, 15h12
le président Bouteflika toujours à Paris, dans un état grave

http://l2.yimg.com/bt/api/res/1.2/ZfKW_Zl4HkMnLt3WQNEwDA--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9MzM1O2NyPTE7Y3c9NTEyO2R4PTA7ZH k9MDtmaT11bGNyb3A7aD0zMzU7cT04NTt3PTUxMg--/http://media.zenfs.com/fr_FR/News/LeParisien/2819013_photo-1369060292096-1-0.jpg

Alors que les autorités algériennes appliquent un black-out sur la santé du président Abdelaziz Bouteflika, admis le 27 avril dernier à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris, selon nos informations, confirmées par deux sources dont une militaire, le président algérien est toujours soigné dans l'établissement parisien et se trouve «dans un état grave».
Hospitalisé voilà près d'un mois pour une récidive d'un cancer de l'estomac pour lequel il avait déjà été traité en 2006, Abdelaziz Bouteflika aurait vu son état s'aggraver et serait désormais, selon ces mêmes sources, en soins intensifs.
Un peu plus tard dans la soirée de lundi, le gouvernement algérien est sorti très brièvement de son silence. Dans une déclaration rendue publique par l'agence APS, le Premier ministre Abelmalek Sellal affirme que le président Bouteflika doit observer «un strict repos» mais que son pronostic vital n'a «jamais» été engagé. Et, précise le texte, sa santé «s'améliore de jour en jour». M. Sellal s'en est par ailleurs pris «à certains médias étrangers» qui, en diffusant selon lui «de fausses informations concernant le président» et «les institutions républicaines», visent en fait l'Algérie «dans ses fondements républicains, son développement et sa sécurité».
Pour leur part, les autorités françaises ne laissent filtrer aucune information, Paris considérant qu'il appartient à l'Algérie de communiquer sur la santé de son président.
La question de la santé de Bouteflika relance de plus belle les conjectures dans la perspective de l'élection présidentielle prévue dans moins d'un an. Ces derniers jours, les appels se sont multipliés dans la presse en vue de l'application de l'article 88 de la Constitution sur une procédure d'empêchement du président.
Deux journaux saisis à Alger pour avoir voulu publier un dossier alarmant
Dimanche, deux journaux qui voulaient publier un dossier alarmant sur la santé du président (...)Lire la suite sur LeParisien.fr (http://logp7.xiti.com/go.click?xts=40086&s2=25&p=Flux-Yahoo::lien-lirelasuite&clic=S&type=click&url=http://www.leparisien.fr/international/algerie-le-president-bouteflika-toujours-a-paris-dans-un-etat-grave-20-05-2013-2819185.php)

västerås
21/05/2013, 17h14
prompt retablissement au président .toute cette pagaille et rumeur autour de son état de santé,alors qu'il est toujours président de la république!

xeres
16/07/2013, 17h04
URGENT : Abdelaziz Bouteflika de retour en Algérie

http://www.lepoint.fr/images/2013/07/16/alger-algerie-bouteflika-1710287-jpg_1578646.JPG

Près de quatre mois après son arrivée à Paris pour des problèmes de santé, le président algérien, Abdelaziz Bouteflika (http://www.lepoint.fr/tags/abdelaziz-bouteflika), est en route pour Alger. Selon nos informations, l'avion officiel de la présidence de la République algérienne - un avion médicalisé - a fait l'aller-retour dans la journée pour rapatrier Bouteflika. L'appareil s'est posé peu après 16 heures à l'aéroport Houari-Boumediene.

Les pires rumeurs avaient circulé sur l'état de santé d'Abdelaziz Bouteflika (http://www.lepoint.fr/monde/abdelaziz-bouteflika-est-il-deja-mort-10-06-2013-1679241_24.php), certaines le donnaient même pour mort. Une mise en scène télévisée où on voyait le président discuter avec son Premier ministre dans un salon de la résidence médicalisée des Invalides avait tenté de rassurer l'opinion algérienne. Filmée sans le son, cette séquence a, au contraire, accrédité un état de santé défaillant : on le dit aphasique et hémiplégique.

Des sources médicales affirment que certaines de ses fonctions vitales sont très atteintes, remettant en cause la version selon laquelle l'ancien ministre des Affaires étrangères de Houari Boumediene avait été hospitalisé pour un AVC mineur. Abdelaziz Bouteflika quitte donc Paris, mais dans quel état ?

safir97
16/07/2013, 17h20
wa salam

quand l'heure arrive, personne ne peut l'avancer ou la reculer

västerås
17/07/2013, 12h53
salam

il est temps qu'íl remette le tablier,l'Algérie est mature et assez forte pour être gouvernée par plus de santé et jeunesse.
Allah idjib chifa,et bon retour au bled.

jawed31
17/07/2013, 15h57
salam

il est temps qu'íl remette le tablier,l'Algérie est mature et assez forte pour être gouvernée par plus de santé et jeunesse.
Allah idjib chifa,et bon retour au bled.



SALAM,

Chose que nos gouvernants n'ont pas encore compris et ne comprendront jamais tant qu'ils seront au pouvoir.J'espère qu'on aura pas un scénario à la cubaine.

Bonne continuation et saha f'tourkoum.

Django
17/07/2013, 16h01
Salut jawed :)
tu peux developer cette idée ?, ça a l'air intressant !
SALAM,

.J'espère qu'on aura pas un scénario à la cubaine.

Bonne continuation et saha f'tourkoum.

merci et Saha Ftorkoum

xeres
11/09/2013, 17h09
Algérie : Bouteflika procède à un important remaniement ministériel

Le président (http://actualites.leparisien.fr/president.html) algérien, Abdelaziz Bouteflika (http://actualites.leparisien.fr/abdelaziz+bouteflika.html), a procédé mercredi à un important remaniement (http://actualites.leparisien.fr/remaniement.html) ministériel, a annoncé la présidence dans un communiqué. Si le gouvernement est toujours dirigé par Abdelmalek Sellal, ce remaniement concerne plusieurs ministères de souveraineté comme l'Intérieur, la Défense, les Affaires étrangères et la Justice. Ainsi Tayeb Belaïz, président du Conseil constitutionnel, a été nommé ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, tandis que Ahmed Gaid Salah, a été désigné vice-ministre de la Défense nationale tout en gardant son poste de chef d'état-major de l'armée algérienne (ANP).



Un diplomate, Ramtane Lamamra, a été lui désigné ministre des Affaires étrangères tandis que Tayeb Louh, ancien ministre du Travail, a été nommé ministre de la Justice. «Par ailleurs, Monsieur le président de la République a nommé Monsieur Ahmed Noui ministre secrétaire général du gouvernement», poursuit le communiqué présidentiel, cité par l'agence de presse algérienne APS.

«Le grand ménage»

Abdelaziz Bouteflika, affaibli, avait regagné l'Algérie le 16 juillet (http://www.leparisien.fr/international/le-president-bouteflika-a-regagne-l-algerie-16-07-2013-2986163.php)après après un séjour de quelque 80 jours en France où il avait été hospitalisé à la suite d'un AVC. La presse algérienne s'était alors interrogée sur ses capacités à gouverner (http://www.leparisien.fr/international/retour-de-bouteflika-la-presse-algerienne-se-montre-sceptique-17-07-2013-2988305.php).

Pour le site Algeriefocus.com (http://www.algerie-focus.com/blog/2013/09/gouvernement-bouteflika-fait-le-menage-et-vire-dix-ministres/), après «un immobilisme qui a duré pendant presque une année», «ce n’est plus un petit lifting. C’est bel et bien le grand ménage». «Dix ministres qu'on disait proches du président» ont été débarqués, notamment cinq «qui sont issus du FLN, le parti historique au cœur des scandales de fraude et de corruption», poursuit le site.

Selon «Tout sur l'Algérie» (http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/1890-drs-gouvernement-administration-quand-le-president-bouteflika-verrouille-a-tous-les-etages-hayet-zitouni), qui publie la liste officielle (http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/1888-nouveau-gouvernement-la-liste-officielle), le président algérien a placé «aux postes clés de l’Intérieur et de la Justice, deux ministères qui seront au cœur de l’organisation du scrutin (présidentiel d'avril, Ndlr) 2014, des hommes de confiance. Dans quelques jours, il annoncera un mouvement dans les corps des walis (qui dirigent des collectivités publiques territoriales appelées wilayas, Ndlr), des magistrats et des ambassadeurs. En fait, le chef de l’Etat verrouille à son profit toutes les institutions du pays et règle ses comptes avec ceux qui lui ont manqué. De quoi pour l’avenir, refroidir bien des ambitions...»
AFP _ Le Parisien

västerås
11/09/2013, 18h15
salam

ce n'est pas des ministres,mais plutot des vrais sinistres....toujours presque les memes pantoufles...

s'il vous plait,j'ai plus de 50 ans,donnez moi le poste de ministre...:)

Mimiche
13/09/2013, 17h24
Salam

Ca y est , il est en forme & nous revient en force mdrr :)

safir97
14/09/2013, 08h45
wa salam

Etant donné qu'il s'est fait soigner en France (80 jours environ), il devrait plutôt lancer une réforme des hôpitaux pour acheter du matériel médical de haute technologie et que tous les algériens profitent de de ce que lui a profité.

ne se souvient t'il pas que Yasser Araraf, s'est fait empoisonner en France.

jim63
14/02/2014, 10h45
salam

Le chef de l’Etat Abdelaziz Bouteflika n’a pas tardé à s’impliquer dans le conflit larvé qui l’oppose aux services de renseignements et aux derniers espaces où ils entretiennent encore des relations dans l’armée. Selon le quotidien arabophone el Khabar, il a décidé, ce mercredi, de mettre à la retraite immédiate le général Toufik, responsable des services de sécurité depuis près d’un quart de siècle ainsi qu’une centaine d’officiers de l’armée, de la gendarmerie et du DRS. Seul son fidèle allié le général Gaid Salah qu’il a installé comme chef d'Etat major et vice-ministre de la défense échappe à ce qu’il faut bien appeler une purge. Cette intervention est une première dans l’histoire de l’Algérie ; l’armée ayant jusque là pris les devants et imposé ses choix politiques et stratégiques aux politiques. Cette décision a été probablement précipitée par les réactions enclenchées par le DRS qui a mobilisé ses relais dans la presse, décidé de déposer plainte contre le secrétaire général du FLN, un proche de Bouteflika, et actionné les partis satellites qu’il contrôle encore pour organiser la riposte contre le clan présidentiel. Sauf réaction violente et immédiate, la neutralisation des oppositions militaires potentielles au chef de l’Etat signe la défaite définitive des services de renseignements qui ont régné sans partage depuis 1957 sur la vie politique algérienne. Les prochains jours voire les prochaines heures devraient être suivies avec attention car l’Algérie vient de basculer, du fait d’une simple signature - et sans préjuger de la nature du pouvoir à venir - dans un ordre politique qui échappe pour la première fois depuis l’indépendance à l’emprise de l’armée.

Rafik15
14/02/2014, 12h21
ça c'est une décision !

jawed23
14/02/2014, 13h13
rabi youster, j'espère que le scénario syrien ne vient pas planer sur le ciel algérien, avec cette paix si fragile allah youster.

Mimiche
14/02/2014, 13h57
il vient de se rendre compte mais en retard ALLAH YESTOUR

Lako
14/02/2014, 13h57
Oui,une décision qu'il aurait dus prendre,il y a une dizaine d'années;maintenant la question est tout autre,reglement de compte ?rancune tenace ? ou bien genent t-ils aux entournures ?dans tous les cas ce n'est qu'une guerre de clan au service de la mafia politico-financière.

Rafik15
14/02/2014, 18h19
lako j'ai peur de parler lol , c'est notre CIA ;)

au fait, c'est quoi la source de cette info ?

Lako
14/02/2014, 18h25
Le canal officiel de notre drabki nationale "el khabar".

rachidbeo55
14/02/2014, 19h10
ça sent mauvais.

aissdz
14/02/2014, 19h21
esperons que sa ne finisse pas en bain de sang

enzo
14/02/2014, 19h49
ça sent mauvais.

Je craints pour mes amis algerien, j'espere que le peuple et asser mur pour donner sa reponse par les urnes, vu les imminentes elections

Rafik15
14/02/2014, 21h01
ça se passe entre eux en haut, pourquoi vous dites "ça craint" ou "j'ai peur" , c'est la mafia politique qui se déchaine
alors laissez le peuple en dehors de ça , il en a assez des soucis du quotidien

malouki
14/02/2014, 21h13
C est très dangereux d enlever un morceau de viande a un lion
Que dieu nous aide de cette desition prise par boutef

enzo
15/02/2014, 07h55
ça se passe entre eux en haut, pourquoi vous dites "ça craint" ou "j'ai peur" , c'est la mafia politique qui se déchaine
alors laissez le peuple en dehors de ça , il en a assez des soucis du quotidien

Et tu croit que cette guerre de pouvoir n'auras aucune repercussion sur l'homme de la rue?
Puisse tu avoir raison

safir97
15/02/2014, 09h21
15/02/2014 à 05:00 Mis à jour il y a environ 2 heures

ALGÉRIE - LA HIÉRARCHIE DE L’ARMÉE SE DÉCHIRE EN VUE DES PRÉSIDENTIELLESSUCCESSION DE BOUTEFLIKA : GUERRE DES CLANS

http://s-www.estrepublicain.fr/images/1FE329B0-A6B3-4720-A77F-1DB371142FC4/LER_15/a-75-ans-de-sante-precaire-le-president-bouteflika-est-il-l-homme-dont-a-besoin-l-algerie-de-demain-photo-afp.jpg
À 75 ans, de santé précaire, le président Bouteflika est-il l’homme dont a besoin l’Algérie de demain ? Photo AFP

À deux mois de l’élection présidentielle algérienne prévue le 17 avril, généraux de l’armée et dirigeants du puissant département de renseignement et de sécurité (DRS) s’opposent dans une lutte fratricide. Les avis sont partagés à propos d’un quatrième mandat du président Abdelaziz Bouteflika, 75 ans, très diminué.

Escarmouches au sommet

La guerre de l’ombre est devenue publique le 3 février lorsque Amar Saïdani, secrétaire général du Front de libération national (FLN), le parti au pouvoir, a critiqué très brutalement le général Mohamed Médiene, dit Toufik, le chef des services secrets (DRS). « Nous, au FLN, on veut que le général Toufik cesse de s’immiscer dans les affaires du parti. Il n’est pas en position de dire oui ou non à la candidature du président Bouteflika », a déclaré Amar Saïdani à un journal en ligne, se positionnant clairement pour un nouveau mandat de Bouteflika, contre l’avis du général Toufik.

Les forces en présence

À la faveur du crépuscule du président Bouteflika, il est clair que l’armée souhaite renforcer encore son pouvoir, face à la DRS, devenue extrêmement puissante depuis la fin de l’ère Boumedienne, président de 1965 à 1978. Les espions du général Toufik sont partout, passés maîtres dans le contrôle, la manipulation et la gestion occulte de la société algérienne. Les enjeux sont aussi économiques, l’Algérie étant immensément riche de son pétrole et de son gaz. Le conflit, latent, s’accélère avec la dégradation de l’état de santé de Bouteflika. L’opération pourrait être coordonnée par le frère du président, Saïd Bouteflika, qui fut au coeur d’une affaire de corruption dénoncée par la DRS.

Le pouvoir de Bouteflika

Le président Bouteflika et surtout ceux qui le conseillent pourraient être tentés de limoger le général Toufik avant les élections. Le président de la République, qui détient aussi le portefeuille de la Défense, a déjà procédé à des changements à la tête de la DRS et mis à la retraite un proche de Toufik.

Quel avenir pour l’Algérie ?

Au-delà des luttes intestines à la tête de l’État, le climat actuel renvoie l’image d’un pouvoir qui vacille. Dans un pays miné par le chômage, la corruption et la misère d’une large partie de la population, il y a danger. L’Algérie est l’un des seuls grands pays arabes à avoir échappé à ce printemps qui a soufflé de Tunis à Damas en passant par Tripoli et Le Caire. Alors que l’Algérie a besoin d’un gouvernement à même de mener d’urgentes réformes et le redressement du pays, les querelles se cristallisent autour d‘un pouvoir déclinant. Un mauvais signe.
Ludovic BASSAND

France - Monde | Succession de Bouteflika : guerre des clans (http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/02/15/succession-de-bouteflika-guerre-des-clans)

Lako
15/02/2014, 09h31
ça se passe entre eux en haut, pourquoi vous dites "ça craint" ou "j'ai peur" , c'est la mafia politique qui se déchaine
les retombés collaterales de lutte intestinale finissent toujours par toucher le peuple.
Et tu croit que cette guerre de pouvoir n'auras aucune repercussion sur l'homme de la rue?
Fatalement d'uen manière ou d'une autre.
Le président Bouteflika et surtout ceux qui le conseillent pourraient être tentés de limoger le général Toufik avant les élections. Le président de la République, qui détient aussi le portefeuille de la Défense, a déjà procédé à des changements à la tête de la DRS et mis à la retraite un proche de Toufik.
reste a savoir si l'information concernant son limogeage sera confirmé ou il s'agit simplement d'une sonde destinée a mesurer la réaction qui pourrait y avoir.

soltan009
15/02/2014, 09h49
Salut A cette instant aucune confirmation de son limogeage.
ça reste que des rumeurs, mais vous me direz qu'il n'y a pas de fumer sans feux.
"C'est le couvercle qui sait ce qu'il y a dans la marmite."

malouki
15/02/2014, 11h35
je peu vous dire que le général TOUFIK sa fait plus de 1 ans qu il était sur le siégé éjectable

safir97
15/02/2014, 15h00
Salut A cette instant aucune confirmation de son limogeage.
ça reste que des rumeurs, mais vous me direz qu'il n'y a pas de fumer sans feux.
"C'est le couvercle qui sait ce qu'il y a dans la marmite."

salam Soltan

quand il s'agit de pouvoir

les amis d'hier sont les ennemis de demain

geant2500
15/02/2014, 15h30
selem au moins notre drs nous protege du Mossad et de toutes les mauvaises choses qui vont avec!! j'espere que tous ceci n'est pas commenditer par les occidentaux.

rhabi yesterna nous les musulmans tous confondus,ma patrie l'algerie et tous les algériens,algeriennes

Lako
15/02/2014, 15h49
Inflation de candidats a la course a la présidence,plus de 100 déclarés.

https://fbexternal-a.akamaihd.net/safe_image.php?d=AQBLLqFkScYUqHts&w=398&h=208&url=https%3A%2F%2Ffbcdn-sphotos-b-a.akamaihd.net%2Fhphotos-ak-ash3%2Ft1%2F1620945_10152594346303835_135257541_n. png&cfs=1&sx=0&sy=0&sw=560&sh=293

enzo
15/02/2014, 17h01
j'espere que tous ceci n'est pas commenditer par les occidentaux.

Je me demandais quant cela arriverait :D

harroudiroi
15/02/2014, 18h19
Je me demandais quant cela arriverait :D
Moi aussi, c'est pour cela que j'ai attendu , lol, et oui rino, toujours l'occident et Satan dans mon monde, lol

Lako
15/02/2014, 18h22
La main de l'étranger est déja sur place avec une derbouka.

safir97
15/02/2014, 19h04
salam

ça vire à la paranoïa...:)

malouki
15/02/2014, 19h20
Inflation de candidats a la course a la présidence,plus de 100 déclarés.

https://fbexternal-a.akamaihd.net/safe_image.php?d=AQBLLqFkScYUqHts&w=398&h=208&url=https%3A%2F%2Ffbcdn-sphotos-b-a.akamaihd.net%2Fhphotos-ak-ash3%2Ft1%2F1620945_10152594346303835_135257541_n. png&cfs=1&sx=0&sy=0&sw=560&sh=293

Je vais me présenter pour avoir ma part de gâteau comme tous les autres et embêté qui je veux avec la corruption et rachwa
Car dans notre pays c est devenu normale

Lako
15/02/2014, 19h31
Désole mon cher,les critères ne te sont pas favorables pour déposer ta candidature.
né avant 1942.
né quelques part du coté de l'....
avoir séjourné pendant la guerre de libération de l'autre coté des frontières
ne pas avoir suivi un cursus universitaire ou etre analphabete bilingue,trilingue recommandé
savoir manier la langue de bois
savoir dire non quand il faut et oui quand il faut pas
avoir une fratrie nombreuse
se faire parrainer par 3000 personnes de chaque wilayas
rouler en carosse
avoir beaucoup de sachet noir

malouki
15/02/2014, 19h35
Alors la !!
LAKO tu mérite une médaille d'or pour ce message

Lako
16/02/2014, 05h12
Vaut mieux en rire, que de se prendre la tête, parler politique c'est avoir mauvaise haleine par les temps qui courent.

Lako
16/02/2014, 08h32
Je n'ai pas pu resister à la lecture de cet edito de mon ami Kamel Daoud:

Saïdanisme patronal : Le FCE devient une Kasma !
par Kamel Daoud

Laissons de côté Gaïd avec Louiza, et parlons d'un autre cercle : les patrons. Ceux du FCE (Forum des Chefs d'Entreprise). Deux voix s'y prononcent déjà : celle qui parle d'indécentes pressions et de détournement de vocation d'une organisation et de menaces pures et celle qui appelle à un quatrième mandat. Pour cette dernière, le jeu est en grosse ficèle : en appelant à une AG extraordinaire une seconde fois après l'échec de la première, on rend caduque la condition du quorum et donc on peut «voter» sans les autres pour l'un des deux Bouteflika qui, aujourd'hui, mène ce pays par téléphone. Manœuvre aux temps des manœuvres. «La question est : existe-t-il des patrons en Algérie ?», dira un ami homme d'affaires au chroniqueur : «le seul secteur porteur est celui de la subvention : si vous travaillez dans le lait, le sucre, le pain, l'huile ou les prestations publiquesetc., vous êtes abonné au Système qui vous entretien par la subvention qu'il assure à ces produits de grande consommation ou au secteurs stratégiques. Le reste, c'est du virtuel. En gros, tous le monde est employé en Algérie : patrons et employés. Le régime paye en double ou en triple vos prestations ou vos importations nécessaires et vous assure l'amortissement des coûts et donc personne n'ira ouvrir la bouche pour dire du mal de la vache et de son maître.

Il n'y a pas de tissu industriel presque. Il n'y a que des chèques de l'Etat et les bons de commande. Tout le monde sait qu'il paye bien». Et surtout le silence. «Le pire est qu'avec cette entente sur la subvention ou la surfacturation, on ne gagne rien. D'abord on perd un pays et, ensuite, ce que vous gagner chez le régime, vous le distribuez plus tard pour le régime, pots-de-vin et commissions». Patrons clientélisés, rackettés, menacés ou «imposés» ou dans la course de «l'abus d'obéissance».

Aujourd'hui donc, c'est le tour du FCE de voter avant le vote. Par pressions, intimidations ou manœuvre à la FLN. Et c'est dommage pour cette organisation qui aurait pu jouer à la transcendance et garder la main haute, loin des urnes et des saidanismes, pour aider à diriger un pays au lieu d'embrasser une main monarchiste. Un patron crée de la richesse, pas des Kasma. En principe.

Résultat ? Le jeu est bien ficelé avant l'annonce de la candidature la plus surréaliste du siècle : de l'ANSEJ national pour cliéntéliser les coupeurs de routes, chômeurs, émeutiers, gisements ruraux d'électeurs et élites addictives de la gratuité ; de l'autre ANSEJ international avec la vente au rabais des licences de tabac, des gisements miniers, des grands contrats stratégiques. Restait l'ANSEJ patronal. Sous forme de paiement de subventions, marges, projets publics et obligations de lobbyistes ou menaces. Le tout sous la coupe de fidèles militaires et du FLN de Saïdani.

Du beau jeu en main. Grandiose technique mais qui ne repose sur rien et qui vend du vent. Car dans ce jeu, on sauvera une famille, pas ses entreprises et pas un pays. Des liens de sang, pas des liens de nation. Les Bouteflika sont-ils la stabilité ? Que non ! Juste du temps gagné sur le vieillissement, la maladie ou le procès de l'Histoire pour monarchisation d'une république. La clientélisation n'est pas l'économie et la prolongation n'est pas la relance et un homme malade n'est pas la stabilité. On aura plus de Saïdani, encore plus de coupeurs de routes, d'émeutiers, encore plus de kasma à la place du FCE et des patrons et plus de tuteurs occidentaux en positions de force et de colons. Et c'est tout.

Même après deux ou trois décennies, le patronat algérien reste otage. De lui-même, de ses stratégies «individuelles» ou régionalistes, de ses cupidités, de ses positions de clients et de ses divisions de basse Kasma malgré le brillant de certains de ses membres. Dans le tas des sigles de ce métier, seul le FCE a donné un peu espoir de voir émerger une troisième force médiane entre le baril et le FLN, avant de sombrer, aujourd'hui, dans le redressement et le saïdanisme. Et c'est dommage. Rien ne semble arrêter la machine du téléphone que Dieu ou un grand soulèvement. Et les deux existent.

http://www.chezmaya.com/gifs/personnages/PERSO4.gif

Lako
18/02/2014, 14h45
Je n'ai pas pu resisté au plaisir de vous montrer cette de notre "DRABKI" c'était en 1977 lors de la visite de Feu le président Houari Boumedienne a Biskra ( Saidani et le groupe tamazoul a l’arrivée du Président Boumedienne dans sa DS Noire
https://fbcdn-sphotos-e-a.akamaihd.net/hphotos-ak-ash3/t1/p261x260/1536668_10202270096668311_862545039_n.jpg
(https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10202270096668311&set=a.1432410584755.54970.1667617550&type=1)


صاحبهم في استقبال الراحل بومدين في ولاية بسكرة
Une des rares photo de Saidani Secrétaire Général du F.L.N. prise en 1977 lors de la visite de Feu président Houari Boumedienne a Biskra ( Saidani et le groupe tamazoul )a l’arrivée du Président Boumedienne dans sa DS noire N

PHOTO ENVOYÉE PAR UN AMI QUI TRAVAILLE AUX ARCHIVES DE LA WILAYA DE BISKRA

edenmartine
19/02/2014, 06h34
Algérie : Bouteflika dénonce les tentatives de déstabilisation de la présidence et de l'arméeLe Monde.fr avec AFP | 19.02.2014 à 00h20 • Mis à jour le 19.02.2014 à 00h22

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Le chef d'Etat algérien Abdelaziz Bouteflika a dénoncé, mardi 18 février, des tentatives de déstabilisation visant la présidence, l'armée (http://www.lemonde.fr/armee/) et les services (http://www.lemonde.fr/services/) de renseignement qui font croire (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/croire) que l'institution militaire est en proie à des luttes intestines.Cette déclaration intervient alors que l'arm (http://www.lemonde.fr/arm/)ée, qui joue un rôle majeur en Algérie (http://www.lemonde.fr/algerie/), se déchire par médias (http://www.lemonde.fr/actualite-medias/) interposés sur un soutien à un quatrième mandat de M. Bouteflika. « Les conflits fictifs (...) entre les structures de l'Armée nationale populaire (ANP) relèvent d'un processus de déstabilisation bien élaboré par tous ceux que le poids de l'Algérie et son rôle dans la région dérangent », a affirmé M. Bouteflika, cité par l'agence de presse APS.
Pour le chef de l'Etat « ce processus peut, malheureusement, être (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/auxiliaire/%C3%AAtre) favorisé par le comportement irresponsable des uns et le manque de maturité des autres, sous l'influence des différents volets de la guerre médiatique menée présentement contre l'Algérie, la présidence de la République, l'ANP et le département du renseignement de la sécurité » (DRS, qui dépend de l'armée).
M. Bouteflika, 76 ans, n'a toujours pas annoncé s'il se présentait à la présidentielle du 17 avril, mais le patron du Front de libération nationale (FLN, majoritaire à l'Assemblée), Amar Saïdani, répète que le président est le candidat de son parti. M. Saïdani a, en outre, accusé le patron du renseignement militaire, le tout puissant général Mohamed Médiene dit Toufik, de vouloir (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/vouloir) empêcher (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/emp%C3%AAcher) M. Bouteflika de briguer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/briguer) un quatrième quinquennat.
Lire aussi : En Algérie, la présidentielle aura lieu le 17 avril (http://www.lemonde.fr/afrique/article/2014/01/17/bouteflika-fixe-la-presidentielle-algerienne-au-17-avril_4350028_3212.html)
« L'HEURE N'EST PLUS À L'INSULTE »
Mais M. Bouteflika est monté au créneau mardi pour défendre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/d%C3%A9fendre) le DRS, battant en brèche la thèse selon laquelle un conflit oppose le général Toufik et le chef d'Etat major de l'armée, le général Ahmed Gaid Salah, autour de son maintien aupouvoir (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/pouvoir).
« Le DRS, en tant que partie intégrante de l'Armée nationale populaire, doitcontinuer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/continuer) à exécuter (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/ex%C3%A9cuter) ses (http://www.lemonde.fr/bourse/nyse-euronext-paris-equities/ses/) missions et attributions », a-t-il indiqué à l'occasion de la commémoration de la journée nationale du chahid (martyr). « Nul n'est en droit, quelles que soient ses responsabilités, de se placer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/placer) au dessus des dispositions de la Constitution et des lois de la République », a ajouté le président Bouteflika.
« Nul n'est en droit de régler (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/r%C3%A9gler) ses comptes personnels avec les autres au détriment des intérêts suprêmes de la nation tant à l'intérieur qu'à l'extérieur », a-t-il ajouté. « L'heure n'est plus à l'insulte et aux invectives », selon le président.
« Ces quelques rappels ont pour objectif de réaffirmer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/r%C3%A9affirmer) clairement que, contrairement aux allégations et aux spéculations rapportées par voie de presse au préjudice de la stabilité de l'Etat et de l'Armée nationale populaire, le DRS reste pleinement mobilisé pour la bonne exécution des missions qui lui incombent, à l'instar des autres composantes de l'ANP », a-t-il encore dit.

edenmartine
22/02/2014, 19h15
Algérie : Bouteflika sera candidat pour un quatrième mandat présidentielLe Monde.fr avec AFP et Reuters | 22.02.2014 à 14h55 • Mis à jour le 22.02.2014 à 19h04








http://s1.lemde.fr/image/2013/09/29/534x267/3486841_3_0a6c_ill-3486841-2065-043145_acd428c80d124d4ef7279b7e3648f5f6.jpgLe premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, a annoncé, samedi 22 février, la candidature du président sortant, Abdelaziz Bouteflika, à l'élection présidentielle prévue le 17 avril, a rapporté la télévision nationale.

« Bouteflika sera candidat, a affirmé Sellal en déplacement dans la ville d'Oran. La décision de Bouteflika de se porter (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/porter) candidat a été prise sur l'insistance du peuple et à l'issue d'une profonde réflexion. »
Agé de 76 ans, au pouvoir (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/pouvoir) depuis 1999, le président algérien été victime d'un accident vasculaire cérébral en avril dernier et n'a pu reprendre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/reprendre) ses (http://www.lemonde.fr/bourse/nyse-euronext-paris-equities/ses/) fonctions qu'à l'issue d'une longue hospitalisation en France (http://www.lemonde.fr/europeennes-france/). Il a poursuivi sa convalescence enAlgérie (http://www.lemonde.fr/algerie/) et n'est que rarement apparu en public depuis, sans prendre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/prendre) la parole.Plus de 80 personnes, parmi lesquelles de vieux routiers de la vie politique (http://www.lemonde.fr/politique/), ont annoncé leur intention de se porter (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/porter) candidat au scrutin et les candidats ont jusqu'au 4 mars à minuit pour déposer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/d%C3%A9poser) leur candidature, qui doit recueillir (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/recueillir) le parrainage d'au moins 60 000 électeurs ou de 600 élus dans au moins 25 wilayas (préfectures). Le Conseil constitutionnel aura alors dix jours pour annoncer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/annoncer) la liste des candidats retenus, et la campagne officielle s'ouvrira le 23 mars.
Mais plusieurs mouvements de l'opposition ont d'ores et déjà annoncé un boycott du scrutin. A commencer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/commencer) par le principal parti islamiste algérien, le Mouvement de la société pour la paix (MSP), intégré à l'alliance présidentielle jusqu'en 2012, quidénonce « l'absence de véritable opportunité pour une réforme politique » et un manque de transparence.
Le Rassemblement pour la culture (http://www.lemonde.fr/culture/) et la démocratie (RCD), un parti d'opposition laïc kabyle, a également appelé au boycottage.
Lire (édition abonnés) : Les partis islamistes boycottent la présidentielle algérienne (http://www.lemonde.fr/afrique/article/2014/02/20/les-partis-islamistes-boycottent-la-presidentielle-algerienne_4369984_3212.html)
Cette annonce met un terme aux interrogations, sur fond de tensions au sommet de l'Etat, sur les intentions réelles du président algérien.
Ces dernières semaines, l'armée (http://www.lemonde.fr/armee/) s'est déchirée par médias (http://www.lemonde.fr/actualite-medias/) interposés sur un soutien à un quatrième mandat de M. Bouteflika. Le patron du Front de libération nationale (FLN, majoritaire à l'Assemblée), Amar Saïdani, qui répétait depuis des semaines que le président était le candidat de son parti, a ainsi accusé le patron du renseignement, le tout-puissant général Mohamed Médiene dit Toufik, d'y 'être (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/auxiliaire/%C3%AAtre)hostile.

ZDJALI
22/02/2014, 20h04
présidentiel


NOTRE PAYE EST MALADE DEPUIS LONGTEMPS OU VA LALGERIE DE 2014!????????????





http://s1.lemde.fr/image/2013/09/29/534x267/3486841_3_0a6c_ill-3486841-2065-043145_acd428c80d124d4ef7279b7e3648f5f6.jpgLe premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, a annoncé, samedi 22 février, la candidature du président sortant, Abdelaziz Bouteflika, à l'élection présidentielle prévue le 17 avril, a rapporté la télévision nationale.

« Bouteflika sera candidat, a affirmé Sellal en déplacement dans la ville d'Oran. La décision de Bouteflika de se porter (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/porter) candidat a été prise sur l'insistance du peuple et à l'issue d'une profonde réflexion. »
Agé de 76 ans, au pouvoir (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/pouvoir) depuis 1999, le président algérien été victime d'un accident vasculaire cérébral en avril dernier et n'a pu reprendre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/reprendre) ses (http://www.lemonde.fr/bourse/nyse-euronext-paris-equities/ses/) fonctions qu'à l'issue d'une longue hospitalisation en France (http://www.lemonde.fr/europeennes-france/). Il a poursuivi sa convalescence enAlgérie (http://www.lemonde.fr/algerie/) et n'est que rarement apparu en public depuis, sans prendre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/prendre) la parole.

Plus de 80 personnes, parmi lesquelles de vieux routiers de la vie politique (http://www.lemonde.fr/politique/), ont annoncé leur intention de se porter (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/porter) candidat au scrutin et les candidats ont jusqu'au 4 mars à minuit pour déposer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/d%C3%A9poser) leur candidature, qui doit recueillir (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/recueillir) le parrainage d'au moins 60 000 électeurs ou de 600 élus dans au moins 25 wilayas (préfectures). Le Conseil constitutionnel aura alors dix jours pour annoncer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/annoncer) la liste des candidats retenus, et la campagne officielle s'ouvrira le 23 mars.
Mais plusieurs mouvements de l'opposition ont d'ores et déjà annoncé un boycott du scrutin. A commencer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/commencer) par le principal parti islamiste algérien, le Mouvement de la société pour la paix (MSP), intégré à l'alliance présidentielle jusqu'en 2012, quidénonce « l'absence de véritable opportunité pour une réforme politique » et un manque de transparence.
Le Rassemblement pour la culture (http://www.lemonde.fr/culture/) et la démocratie (RCD), un parti d'opposition laïc kabyle, a également appelé au boycottage.
Lire (édition abonnés) : Les partis islamistes boycottent la présidentielle algérienne (http://www.lemonde.fr/afrique/article/2014/02/20/les-partis-islamistes-boycottent-la-presidentielle-algerienne_4369984_3212.html)
Cette annonce met un terme aux interrogations, sur fond de tensions au sommet de l'Etat, sur les intentions réelles du président algérien.
Ces dernières semaines, l'armée (http://www.lemonde.fr/armee/) s'est déchirée par médias (http://www.lemonde.fr/actualite-medias/) interposés sur un soutien à un quatrième mandat de M. Bouteflika. Le patron du Front de libération nationale (FLN, majoritaire à l'Assemblée), Amar Saïdani, qui répétait depuis des semaines que le président était le candidat de son parti, a ainsi accusé le patron du renseignement, le tout-puissant général Mohamed Médiene dit Toufik, d'y 'être (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/auxiliaire/%C3%AAtre)hostile.
[/QUOTE]

harroudiroi
23/02/2014, 20h42
NO COMMENT sur cette candidature zombie

västerås
24/02/2014, 08h12
bonjour..

pauvre Algerie,wallah j'ai honte poor vous et tout ce que vous représenter….tebahdila

et nous voila pour cinq années sous le règne d'un véritable zombie…..

7760

safir97
15/03/2014, 09h22
http://oumma.com/sites/default/files/imagecache/400xY/boutef-clip.jpg

Rien de tel qu’un petit clip promotionnel ou plutôt de propagande pour se refaire la cerise, faire avaler de grosses couleuvres au bon peuple et tenter de faire taire la clameur de contestation citoyenne qui monte dans la rue et les réseaux sociaux, le revenant Abdelaziz Bouteflika, soutenu à bout de bras par ceux qui ont intérêt à ce que sa longévité présidentielle soit éternelle, a donné le coup d’envoi de sa campagne dans un film à sa gloire de 55 secondes, véritable carte postale de l’Algérie qui affiche, elle, une santé éclatante…

Appelés à glisser le bon bulletin dans les urnes en reconduisant sur son trône, pour son quatrième mandat consécutif, un président de 77 ans qui n’est plus que l’ombre de lui-même, les électeurs algériens sont exhortés à « rester soudés et à faire le bon choix » dans ce tour d’horizon panoramique alternant des vues d’Alger, de monuments, avec l’image d’une petit fille algérienne, des Fennec en liesse après avoir obtenu leur visa pour la Coupe du Monde au Brésil, et de Bouteflika lui-même qui n’y apparaît pas qu’en subliminal.Diffusé sur Facebook, le clip intitulé « Construire aujourd’hui l’Algérie de demain (https://www.facebook.com/photo.php?v=661168530616420)» a produit son petit effet, générant pas moins de 2 000 commentaires, et parmi eux, le quotidien El Watan, qui a reconnu la musique du film « Intouchables », a osé faire un parallèle très politiquement incorrect entre le handicap du premier rôle interprété par François Cluzet et l’état de santé du fantôme d’Alger.

Clip contre clip, c’est tout naturellement en paroles et en musique que le rappeur algérien, Lofti Double Kanon, a fissuré cette belle vitrine de l’Algérie qui construit, qui entreprend, qui se projette dans l’avenir en souriant, pour dénoncer une autre réalité, nettement moins idyllique sous le titre qui ne fait pas rêver : « Kleouha », « Ils ont mangé l’Algérie ».



http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=nvsP_Z7XuqY

Le clip de campagne d (http://oumma.com/201912/clip-de-campagne-dabdelaziz-bouteflika-declenche-une-)

enzo
15/03/2014, 11h00
Par esprit d'egalitè tu aurais du mettre les 2 clips cliccables :D

safir97
15/03/2014, 17h58
Par esprit d'egalitè tu aurais du mettre les 2 clips cliccables :D
.
salut rino


http://www.youtube.com/watch?v=zJOgx0n9TY0



obligé de passer par youtube

▶Clip 2014 campagne électorale du président Bouteflika - YouTube (http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=zJOgx0n9TY0)

enzo
15/03/2014, 18h25
Merci j'ais regardè les 2, juste regardè parce que comprendre le rappeur.........

safir97
15/03/2014, 18h28
salut rino

tu as vu, il ne parle pas.........

harroudiroi
15/03/2014, 19h08
Merci j'ais regardè les 2, juste regardè parce que comprendre le rappeur.........
Le rappeur a fait un constat plus pertinent que le meilleur des politiques, un constat des plus sombres et négatifs de la situation politique et économique de mon pays,

enzo
15/03/2014, 19h31
salut rino

tu as vu, il ne parle pas.........

Oui absolument, j'ais regardè surtout pour cela, voir si il parlais vu que par vos post je lis qu'il ne parle pas depuis un bon bout de temps

edenmartine
23/03/2014, 04h27
Bouteflika défend sa candidature
http://images.lpcdn.ca/641x427/201403/22/829588-depuis-annonce-sa-candidature-22.jpg
Agrandir
Depuis l'annonce de sa candidature le 22 février, les manifestations de rue se sont multipliées dans le pays, les problèmes de santé du président alimentant les doutes sur sa capacité à continuer à diriger le pays.
PHOTO PIERRE ANDRIEU, AFP




Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a affirmé, à quelques heures du début dimanche de la campagne électorale, que ses ennuis de santé ne l'empêchaient pas de briguer un 4e mandat au scrutin du 17 avril, pour lequel il est donné favori malgré une contestation inédite.

Dès l'annonce de sa candidature le 22 février par le premier ministre d'alors Abdelmalek Sellal, les manifestations de rue se sont multipliées contre un nouveau quinquennat de M. Bouteflika, et sa capacité à continuer à diriger le pays a provoqué une polémique au sein de la hiérarchie militaire.
Au pouvoir depuis 15 ans, le président sortant, 77 ans, apparaît considérablement amoindri par les suites d'un AVC en avril 2013 qui avait nécessité son hospitalisation à Paris.
Il s'était finalement exprimé publiquement lors du dépôt de son dossier le 3 mars au Conseil constitutionnel. Il avait alors, d'une voix à peine audible, annoncé sa candidature pour un nouveau quinquennat sous le slogan «Notre serment pour l'Algérie».
Face à la contestation et aux appels à renoncer à un nouveau mandat, M. Bouteflika a adressé samedi soir une lettre aux Algériens, reproduite par l'agence APS, dans laquelle il défend sa candidature.
«Les difficultés liées à ma santé ne semblent pas me disqualifier à vos yeux ou plaider en faveur de ma décharge des lourdes responsabilités qui ont eu raison d'une bonne partie de mes capacités», a-t-il dit.
M. Bouteflika a affirmé qu'il ne pouvait que «répondre positivement» aux «appels» lui demandant de se porter candidat et d'expliquer: «je ne suis jamais, ma vie durant, dérobé à aucun devoir au service de ma patrie».
Le 17 avril, il affrontera cinq adversaires mais son principal challenger sera son ancien homme de confiance qui fut aussi son rival à la présidentielle de 2004, Ali Benflis, 69 ans. Cet ex-patron du Front de libération nationale (FLN, au pouvoir) se présente comme «indépendant».
Campagne par procuration
Quatre autres candidats vont de nouveau tenter leur chance à la magistrature suprême: Louisa Hanoune qui dirige le Parti des Travailleurs (gauche), le président du Front national algérien (nationaliste), Moussa Touati, et le chef d'un parti nationaliste, Ahd (Serment) 54, Ali Fawzi Rebaïne. Enfin le dernier et plus jeune candidat est Abdelaziz Belaid, 50 ans, un ancien du FLN qui a fondé en 2012 le Front El Moustakbel.
Fait inédit: le favori ne devrait pas participer en personne à la campagne électorale, vu son état de santé.
Ce sera M. Sellal, devenu son directeur de campagne, qui donnera le coup d'envoi des 22 jours de campagne en se rendant à Tamanrasset, fief des Touaregs dans le Sahara.
M. Bouteflika sera aussi soutenu dans sa campagne par deux ex-premiers ministres ramenés au coeur du pouvoir -Ahmed Ouyahia et Abdelaziz Belkhadem- et par les ministres Amara Benyounes et Amar Ghoul.
M. Benflis, lui, entraînera ses partisans à Mascara (350 km à l'ouest d'Alger), ville de l'émir Abdelkader, considéré comme le fondateur de l'État moderne algérien.
La perspective d'un nouveau mandat pour M. Bouteflika a provoqué une polémique au sein de la hiérarchie militaire, le général à la retraite Hocine Benhadid l'ayant appelé en février à partir «dignement», au nom de plusieurs collègues.
Il s'en est pris particulièrement au frère du président, Saïd Bouteflika, «premier et principal acteur» du clan, ainsi qu'à un autre de ses membres, le chef d'état-major Ahmed Gaïd Salah accusé de n'avoir «aucune crédibilité».
Manifestations et boycottage
La rue n'est pas non plus restée silencieuse.
Depuis plus d'un mois, les rassemblements contre un 4e mandat se sont multipliés.
Jusqu'à la semaine dernière, la police dispersait à coups d'interpellations ces manifestations. Elle a changé de tactique et se contente désormais de les encadrer.
Cinq partis d'opposition et l'ex-chef du gouvernement, Ahmed Benbitour ont pour leur part créé une Coordination nationale pour le boycottage du scrutin. Ils ont réuni vendredi des milliers de partisans dans une salle d'Alger.
Enfin, pour la première fois depuis son retrait de la présidence en 1999, Liamine Zeroual, est sorti de son silence en réclamant l'«alternance du pouvoir» et en critiquant la révision de la Constitution qui avait permis à M. Bouteflika de briguer en 2009 un 3e mandat.

Six candidats à la présidentielle du 17 avril

Six candidats se présentent à la présidentielle du 17 avril en Algérie dont la campagne électorale débute ce dimanche, avec pour favori le président Abdelaziz Bouteflika qui brigue un 4e mandat.
- Abdelaziz Bouteflika, 77 ans, élu en 1999, puis en 2004 et en 2009 après avoir modifié la Constitution qui limitait la présidence à deux mandats, avait fait du retour à la paix en Algérie, déchirée par plus de dix ans de guerre civile et 200000 morts, son principal cheval de bataille.
Né le 2 mars 1937 à Oujda (Maroc) d'une famille originaire de Tlemcen (ouest algérien), il s'engage en 1956 dans l'Armée de libération nationale contre le colonialisme français. À l'indépendance en 1962, il est député de Tlemcen puis à 25 ans ministre de la Jeunesse et des Sports. Il est nommé chef de la diplomatie sous les présidences Ben Bella et Boumedienne jusqu'en 1978. Sous Chadli Bendjedid, il est écarté et se retrouve en 1983 accusé d'irrégularités dans sa gestion mais disculpé deux ans plus tard. Après six ans passés à l'étranger, il refuse en janvier 1994 la présidence mais l'accepte en 1999. Après un AVC en 2013, il est hospitalisé à Paris pendant 80 jours et depuis son retour il n'a jamais pris la parole en public et n'a tenu que deux conseils des ministres. Sa candidature est contestée dans la rue.
- Ali Benflis, né le 8 septembre 1944 à Batna dans les Aurès (est), est Magistrat de formation. Il devient ministre de la Justice en 1988, après avoir co-fondé la Ligue algérienne des Droits de l'Homme. Elu député du Front de Libération nationale (FLN) en 1997, il est chargé en 1999 de diriger la campagne électorale d'Abdelaziz Bouteflika dont il devient rapidement l'homme de confiance, jusqu'à devenir son chef de gouvernement (2000-2003). Resté à la tête du FLN, il se présente en 2004 contre son mentor mais ne recueille que 6,42% des voix. Il disparaît de la scène politique durant dix ans jusqu'à sa nouvelle candidature à la magistrature suprême en 2014.
- Louisa Hanoune, qui dirige le Parti des travailleurs (gauche), est candidate pour la troisième fois à la présidentielle. Née le 7 avril 1954 à Jijel (est), cette licenciée en droit est l'une des fondatrices et présidente de l'Association pour l'égalité devant la loi entre les femmes et les hommes, en 1989. À Alger, elle rejoint l'Organisation socialiste des travailleurs (OST, clandestine) et est arrêtée deux fois (1983, 1988). En 1989, avec le multipartisme, elle est membre fondatrice du Parti des travailleurs dont elle devient secrétaire générale en 2003 tout en étant élue trois fois députée.
- Moussa Touati, 60 ans, président du Front national algérien (FNA, nationaliste) qu'il a créé en 1999, est pour la troisième fois consécutive candidat à la tête de l'État. Né le 3 octobre 1953 à Médéa (centre), il entre dans l'armée à la sortie du lycée. Après avoir été formé en Syrie et en Libye, il intègre les Douanes et préside durant quelques années la CNEC (Coordination nationale des enfants des martyrs de l'indépendance).
- Ali Fawzi Rebaïne, chef du parti Ahd 54, 59 ans, en est aussi à sa 3e candidature consécutive. Né le 24 janvier 1955 à Alger, cet opticien est un co-fondateur de la première Ligue des droits de l'Homme en 1985 et du comité national contre la torture en 1988. Fils d'une famille de révolutionnaires, il est arrêté à deux reprises, dont en juillet 1985 pour «atteinte à la sûreté de l'État et constitution d'association illégale». Condamné à 13 ans de prison, il est libéré en 1987 par grâce présidentielle. En 1991, il co-fonde AHD 54.
- Abdelaziz Belaid, 50 ans, plus jeune candidat, se présente pour la première fois à la présidentielle. Né le 16 juin 1963 à Batna, il est titulaire d'un doctorat en médecine et d'une licence en droit. Membre du Front de Libération nationale (FLN) dès l'âge de 23 ans, il est élu deux fois député du parti historique mais le quitte en 2011 pour créer en 2012 le Front Moustakbel.


Fusion

xeres
15/11/2014, 05h20
(AFP (http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/afp)) - Le président algérien Abdelaziz Bouteflika (http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/abdelaziz-bouteflika), 77 ans, affaibli par la maladie depuis un AVC (http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/accident-vasculaire-cerebral) en 2013 et dont l'état de santé fait l'objet de rumeurs récurrentes, a été hospitalisé en France (http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/france), près de sept mois après sa réélection pour un 4e quinquennat (http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/quinquennat). Son hospitalisation à Grenoble (est de la France) a été confirmée par une source gouvernementale française qui n'en a pas précisé le motif. Contactée par l'AFP, la clinique n'a rien voulu dire de son état de santé.
M. Bouteflika avait été soigné durant près de trois mois l'année dernière à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris (http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/paris), à la suite de son AVC.
Interrogée sur son hospitalisation à Grenoble, la présidence algérienne ne l'a pas confirmée, se bornant à indiquer qu'un communiqué serait publié dans la soirée.
En fin de matinée, l'agence de presse algérienne APS avait fait état d'un message, lu ensuite au journal télévisé de 19H00 (18H00 GMT), adressé par M. Bouteflika au président palestinien Mahmoud Abbas (http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/mahmoud-abbas) à l'occasion du 26e anniversaire de la proclamation de l'Etat de Palestine (http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/palestine).
Selon le quotidien régional français Le Dauphiné Libéré, M. Bouteflika est hospitalisé dans un service de cardiologie et maladie vasculaire de la clinique Alembert, un établissement privé. Tout un étage de la clinique lui serait réservé pour des raisons de sécurité.
Une source policière a assuré que le président algérien serait arrivé discrètement jeudi à Grenoble, par avion. Les abords de la clinique ont été protégés par la police (http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/police) vendredi après-midi.
Quelque 35 CRS étaient postés devant les entrées principales et filtraient les entrées, ainsi que l’approche de la clinique depuis la rue où un barrage est installé.
La clinique est composée de deux bâtiments. Le chef de l'Etat algérien serait dans le principal, d'après le service d'ordre, car l'autre n'est pas sécurisé.
- Rares apparitions publiques -
Depuis le début de son 4e mandat fin avril dernier, le président Bouteflika n'a fait que de rares apparitions publiques, alimentant les rumeurs sur son réel état de santé.
Le 1er novembre, il avait effectué une visite au cimetière d'El Alia, dans la banlieue-est d'Alger (http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/alger), pour se recueillir sur les tombes de "martyrs" de la guerre (http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/guerre) d'indépendance à l'occasion des 60 ans de cette insurrection, dont il est un vétéran.
Selon des images diffusées par la télévision algérienne, il était arrivé en fauteuil roulant au cimetière où sont inhumés les plus grandes figures de la guerre d'indépendance.
Si ses sorties sont parcimonieuses, ses apparitions à la télévision le sont moins. On le montre recevant ses invités -- chefs d'Etat et ministres étrangers, ambassadeurs, membres du gouvernement (http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/gouvernement) algérien -- dans une résidence à Zéralda, station balnéaire à l'ouest d'Alger, qui semble être devenue son bureau.
Le dernier hôte a été reçu mercredi. Il s'agit du ministre vénézuélien des Affaires étrangères, Rafael Ramirez, avec lequel il a parlé des prix du pétrole.
Lundi, il avait reçu le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius (http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/laurent-fabius), et son collègue de l'Economie (http://tempsreel.nouvelobs.com/economie/), Emmanuel Macron (http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/emmanuel-macron), partis en Algérie pour assister à l'inauguration d'une usine Renault (http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/renault).
Juste avant ces rendez-vous, M. Bouteflika a reçu une quinzaine d'ambassadeurs venus lui présenter leurs lettres de créances. "Il est apparu très lucide et très informé des dossiers", a confié l'un d'entre eux.
A chacune de ces apparitions, M. Bouteflika affiche des difficultés d'élocution, s'exprimant d'une voix faible. "Rani (je vais) beaucoup mieux", avait-il assuré début octobre au diplomate Lakhdar Brahimi (http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/lakhdar-brahimi) après des rumeurs alarmantes sur son état de santé.
La résidence de Zéralda où il reçoit est "entièrement aménagée, avec de vastes couloirs et de larges ascenseurs permettant au patient de se déplacer en chaise roulante", a confié à l'AFP un photographe qui a pu s'y rendre.
"Elle dispose d'une bibliothèque et d'une cafétéria. La salle de réception est équipée d'une sonnerie pour annoncer aux invités le début et la fin des entretiens avec le chef de l'État", a-t-il détaillé.

harroudiroi
15/11/2014, 06h09
Putai* c'est une façon comme une autre de delapider l'argent public, c'est bien dommage de n'avoir pas donné sa chance à la médecine de son pays, histoire de montrer ........

sentenza
15/11/2014, 08h50
allah ichfaih

enzo
15/11/2014, 09h01
Putai* c'est une façon comme une autre de delapider l'argent public, c'est bien dommage de n'avoir pas donné sa chance à la médecine de son pays, histoire de montrer ........

C'est grave, tres grave, c'est declarer ouvertement que les medecin et tout le service sanitaire n'est pas a la hauteur dans son pays

abdel38
15/11/2014, 09h19
oui le président Bouteflika est hospitalisé a GRENOBLE...A 8 KM DE CHEZ MOI...

Mimiche
15/11/2014, 09h25
oui le président Bouteflika est hospitalisé a GRENOBLE...A 8 KM DE CHEZ MOI...

tu peux lui dire de ma part que mimiche te souhaite la mort pour le bien de notre pays merci :)

djafar1
15/11/2014, 13h09
je ne dis rien ....:mride:

safir97
16/11/2014, 14h01
tu peux lui dire de ma part que mimiche te souhaite la mort pour le bien de notre pays merci :)

as salamou 'alaykoum

oui rino entièrement d'accord avec toi, mais de là ...à lui souhaiter la mort, avec le sourire...........................

أستغفر الله asta'firoullah

enzo
16/11/2014, 14h07
En tan que bon musulmans vous ne pouvez que lui souhaiter un prompt rettablissement

yacineskoura
16/11/2014, 14h14
En tan que bon musulmans vous ne pouvez que lui souhaiter un prompt rettablissement

d accord avec toi mais quant ont voient tous le mal que nos dirigeant font a nos pays Mimiche a raison..
de plus quant ils arrivent au pouvoir ce genre de type comme chez nous aussi lâche pas leur siège jusqu a leur mort!et ils font tous pour que leurs enfants prenne le relais.dommage

safir97
16/11/2014, 14h29
salut rino

je suis 100 % d'accord avec toi

as salam Yacinkoura

depuis quand un musulman souhaite la mort à son frère......ce n'est même pas dans le but pour qu'il accède au paradis

et la mort lorsqu'elle vient ne prévient pas

allez demander un coup de main comme ils ont fait pour Arafat.......ça me désole à entendre des débilités pareils et bien rempli de haine

mais vous êtes capables de mieux.....je préfère positiver sur vos cas......doué d'une intelligence comme parmi tant d'autres

yacineskoura
16/11/2014, 14h36
Boutéflika n est pas mon frère!!et seul les extrémistes ont la haine!moi pas du tous haineux!

bugati
16/11/2014, 15h31
salue les amis , du cote de l’humanité un malade quelque soit; on luis souhaite la guérison, la more la vie seul dieu tout puissant qui décide , alors restant humains parce que il viendra le jour

harroudiroi
16/11/2014, 15h51
Je vous surveille tous' alors faites attention les amis:love:

enzo
16/11/2014, 16h02
Je vous surveille tous' alors faites attention les amis:love:

Tu peut pas dire que c'est moi e safir qui te donnons du boulot la, parfaitement en accord a plusieurs reprises dans le meme post, je vais sauver precieusement cette discussion pour l'avenir, je doute que cela se reproduira souvant ;)

harroudiroi
16/11/2014, 16h29
Tu peut pas dire que c'est moi e safir qui te donnons du boulot la, parfaitement en accord a plusieurs reprises dans le meme post, je vais sauver precieusement cette discussion pour l'avenir, je doute que cela se reproduira souvant ;)
Ça me rappelle un titre de film: le bon, la brute et le truant : l'athée, le croyant et le chercheur de vérité :XD:

harroudiroi
16/11/2014, 16h34
Etat de santé de Bouteflika : Le grand ratage de la communication officielle


http://www.elwatan.com/images/2014/11/15/une_2510576.jpg
L’ambulance, avec à son bord le président Bouteflika,...

Le président Bouteflika a quitté, hier en début d’après-midi, la clinique mutualiste de Grenoble (France) où il a été admis jeudi dernier.
«Il a quitté l’hôpital vers 13h30. J’ai vu un convoi, composé d’une ambulance et de plusieurs véhicules, quitter l’hôpital. Le convoi, escorté pas des motards de la Police française, a pris par la suite la direction de l’autoroute», affirme une journaliste d’El Watan présente sur les lieux. «Je ne sais pas si le convoi s’est dirigé vers l’aéroport», ajoute-t-elle.
Parmi les accompagnateurs du chef de l’Etat lors de son séjour à Grenoble, il y a son frère cadet, Saïd Bouteflika ; notre journaliste l’a reconnu. «Quelques minutes après le départ du premier cortège, j’ai vu une autre berline aux vitres teintées stationner à l’entrée de l’hôpital, vite rejointe par quatre à cinq individus, dont Saïd Bouteflika que j’ai reconnu», ajoute-t-elle.
La même information a été confirmée par plusieurs médias français, dont Le Dauphiné Libéré, et l’AFP. Le Dauphiné Libéré a d’abord annoncé, hier à 10h15, que le président Bouteflika, «hospitalisé depuis jeudi dernier au service de cardiologie et maladies vasculaires du Groupe hospitalier mutualiste de Grenoble», était sur le point de quitter la clinique. La même source a ajouté, à 13h35, que le président Bouteflika «venait de quitter l’hôpital dans un convoi d’une demi-douzaine de véhicules, escortés par les motards de la Police nationale».
Destination inconnue et black-out
Plusieurs médias français ont relayé par la suite l’information. Citant la police, l’agence de presse française (AFP) a assuré : «La police a confirmé que M. Bouteflika était dans le cortège qui devait prendre la direction de l’aéroport de Grenoble, où le Président algérien était arrivé discrètement jeudi. Les raisons qui ont motivé son hospitalisation demeurent inconnues, Alger étant resté muet sur le sujet, de même que la direction du Groupe hospitalier mutualiste dont fait partie la clinique.» Selon l’AFP, un avion de la présidence algérienne a décollé vers 14h45 de l’aéroport de Grenoble.
Au moment où nous mettons sous presse, aucune information n’a filtré sur les raisons de cette nouvelle hospitalisation à l’étranger ni même sur la future destination du chef de l’Etat. Selon la radio France Info, Abdelaziz Bouteflika «serait venu en France pour faire un bilan de santé» et qu’«il était attendu à Alger» dans la journée d’hier.Alors que les médias français évoquaient, depuis vendredi dernier, les détails de cette hospitalisation, aucune source officielle n’a confirmé ni infirmé l’information.
La présidence de la République, habituée à communiquer ces dernières années sur les séjours médicaux du président Bouteflika en France, garde curieusement le silence sur ce nouveau déplacement. La dernière actualité publiée sur le site elmouradia.dz remonte au mois de juillet dernier. Les médias officiels, notamment l’APS et l’ENTV, n’ont soufflé mot sur l’hospitalisation du chef de l’Etat à Grenoble. Pis encore, pour faire croire que Abdelaziz Bouteflika n’a pas quitté le territoire national, l’ENTV a préféré parler, au JT de 20h de vendredi, du contenu d’un message envoyé au président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas. Interrogé hier par des journalistes, le président du MPA et ministre du Commerce, Amara Benyounès, a refusé de confirmer ou d’infirmer, lui aussi, l’information. «J’attends le communiqué de la Présidence», a-t-il répondu. Encore un grand ratage de la communication officielle !

enzo
16/11/2014, 16h34
Attention a l'ordre

le bon
le brute
le truant

l'athè
le croyant
le chercheur
:)

harroudiroi
16/11/2014, 16h35
Attention a l'ordre

le bon
le brute
le truant

l'athè
le croyant
le chercheur
:)
L'ordre est bien réfléchi ;-)

safir97
16/11/2014, 17h26
as salamou 'alaykoum

ça me rappelle de très bon souvenirs

bien à vous harroud et Rino



à celui qui ose me contredire en dehors de l'aspect '' humanité''

49.10. Les croyants ne sont que des frères. Établissez la concorde entre vos frères, et craignez Allah, afin qu'on vous fasse miséricorde.

à ceux qui médisent comme ce fut sur ce post......bon appétit

49.12. Ô vous qui avez cru! Évitez de trop conjecturer [sur autrui] car une partie des conjectures est péché. Et n'espionnez pas; et ne médisez pas les uns des autres. L'un de vous aimerait-il manger la chair de son frère mort? (Non! ) vous en aurez horreur. Et craignez Allah. Car Allah est Grand Accueillant au repentir, Très Miséricordieux.

Mimiche
17/11/2014, 09h19
as salamou 'alaykoum

oui rino entièrement d'accord avec toi, mais de là ...à lui souhaiter la mort, avec le sourire...........................

أستغفر الله asta'firoullah

débilités pareils et bien rempli de haine

Salam

Tu es qui pour me juger ? est ce que je t'ai adressé la parole ? je suis libre de souhaiter ce que je veux ! la je te préviens encore une dernière fois toi barre de mon chemin et occupe toi de tes oignons, je ne cherche pas a communiquer avec toi.

safir97
17/11/2014, 10h52
'alaykoum salam

si, tu sais pas qui je suis......Safir 97

je te renvoi au règlement.........je suis libre de répondre à qui je veux et tu ne peux pas m'interdire de communiquer avec qui je veux

tels sont les règles établies........même si la fièvre rouge te monte à la tête...et si tu a omis ce détail, prends le temps à tête reposée de relire le règlement

et ne sois pas agressif de cette manière, que vont t ils penser les membres d'un administrateur qui ne sais pas se contenir ?

relax l'ami......regarde autour de toi, les oiseaux chantent et dansent et l’Algérie est qualifiée et le real cartonne........

ta prévention mon cher miche est faite pour me bannir......oui ceci me semble logique.....abuser de ses droits est un manque de réflexion évidente, car la colère prends le dessus sur la raison

je n'ai pas les compétences d'un juge....j'aurai préféré le terme ''appréciation'' qui me semble en adéquation

bien à toi miche.....et passe le bonjour au fiston

harroudiroi
17/11/2014, 11h28
I wait ans i see peacefully and with dignity
J'attends et je regarde paisiblement et dignement

Mimiche
17/11/2014, 12h09
je te renvoi au règlement.........je suis libre de répondre à qui je veux et tu ne peux pas m'interdire de communiquer avec qui je veux

La tu as tort tu me traite de débile hors que je ne t'ai pas causé et tu continues de faire l’intéressant puisque tu sais prédire pour le bannissement je vais te corrigé cette fois ci parce que tu as une tête dure comme du béton.

Profites bien de ton séjour en mode bannissement et si tu refais ça sera a vie a la prochaine fois parce que tu a été prévenu.

Bye bye Safir :)

Rafik15
17/11/2014, 12h53
Bonjour,
il y a des choses qui sont bonnes a répéter , Maghreb-Sat n'est pas un espace de dénigrement, ou de règlement de comptes en publique , ceci doit être claire pour tout le monde.

ceci étant dit , le sujet est clos , raison : HORS SUJET

Cordialement

sentenza
10/04/2015, 21h41
L'année ne fut pas facile pour l'homme politique mais les millions d'euros engrangés seront une douce consolation. Abdelaziz Bouteflika (http://fr.mediamass.net/people/abdelaziz-bouteflika), 78 ans, dominerait largement le classement des « homme politiques les mieux payés en 2015 » avec des revenus estimés à près de 82 millions d'euros.
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tracasse66
11/04/2015, 12h23
machi lahak meskine

karamalou
11/04/2015, 15h40
salam
c'est des rumeurs ;82 millions d'euros ça fait beaucoup !!

jim63
11/04/2015, 17h02
salam
Il semblerait que cette rumeur soit infondée, c est sa internet !

harroudiroi
11/04/2015, 19h57
Vous rigolez les gars, son revenu annuel informel est de loin supérieur a cette maudite somme.

zadhand
12/04/2015, 11h45
L'année ne fut pas facile pour l'homme politique mais les millions d'euros engrangés seront une douce consolation. Abdelaziz Bouteflika (http://fr.mediamass.net/people/abdelaziz-bouteflika), 78 ans, dominerait largement le classement des « homme politiques les mieux payés en 2015 » avec des revenus estimés à près de 82 millions d'euros.
***Hidden content cannot be quoted.***

Bonjour; tous ce qui vient du web n'est pas fiable à son % mais ça n'empêche que notre président
(En générale les nons démocrates)...
16092


Source :
INFOGRAPHIE. Les chefs d'Etat ou de gouvernement les mieux payés (http://www.francetvinfo.fr/monde/infographie-les-chefs-d-etat-ou-de-gouvernement-les-mieux-payes_847121.html)

Rambo2
12/04/2015, 19h12
Sa aussi c'est a voir poutin avec ses petits amis (gaspro ect.) gagne des millions par an, comme le dirigean chinois m'ettonerais qu'il gagne 20.000

zadhand
14/05/2015, 18h18
A LA UNE/ACTUALITE
le 14.05.15 | 17h06


Remaniement ministériel
l’inutile manœuvre de Bouteflika

La présidence de la République vient d’annoncer un énième remaniement ministériel. Une manœuvre visant à détourner l’attention de l’opinion publique quant aux questions fondamentales liées à l’état de santé du président Bouteflika, la baisse des prix du pétrole et, surtout, au changement du régime politique.

16674

Ce remaniement est destiné à la « consommation médiatique » et non pas pour stimuler une équipe gouvernementale qui a montré son impuissance sur tous les plans. Que Amar Ghoul soit à la tête du département des Transports où celui de l’Aménagement des territoires ne change absolument rien à la donne.

Les modifications opérées dans la composition du gouvernement Sellal répondent plutôt à des besoins d’ordre esthétique. En témoigne la nomination de la jeune Iman Houda Feraoun, née en 1979, comme ministre de la Poste et des TIC. Et parfois, le changement sert à satisfaire les caprices de certains alliés. C’est le cas de Nadia Labidi, ex-ministre de la Culture, qui a eu la malchance de déplaire à la véhémente patronne du PT et fidèle amie de Bouteflika.

Le cas de Youcef Yousfi, désormais ex-ministre de l’Energie, parait différent mais il répond à la même logique du changement superficiel. Cet homme, réputé proche du clan Bouteflika, serait sacrifié pour donner l’impression que les décideurs se préoccupent du sort de la population d’In Salah et peut-être aussi du calvaire des automobilistes pénalisés par la crise d’approvisionnement en carburant. Seulement, que pourra son successeur quand on sait que la décision d’exploitation du gaz de schiste ne relève pas des attributions d’un simple ministre ?

Pour le reste, les hommes de main du président (Sellal, Louh et Gaid Salah) sont toujours là. Seul Belaiz, appelé à se rapprocher davantage du chef de l’Etat en qualité de conseiller spécial, a laissé son poste de ministre de l’Intérieur à Nouredine Bedoui.

En somme, *Bouteflika n’a rien changé . On tente juste de faire diversion au moment où des voix, de plus en plus nombreuses, évoquent avec insistance la vacance du pouvoir en Algérie.


Farouk Djouadi



* Bouteflika n’a rien changé


Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a procédé jeudi à un remaniement ministériel, indique un communiqué de la présidence de la République. Voici le texte intégral du communiqué:

"Conformément aux dispositions de l'article 79 de la Constitution, son excellence M. Abdelaziz Bouteflika, président de la République, ministre de la Défense nationale, a pris ce jour, après consultation du Premier ministre, un décret présidentiel portant nomination des membres du Gouvernement.
Son nommés Mesdames et Messieurs:

-Abdelmalek Sellal, Premier ministre.
- Le général de Corps d'armée Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d'état-major de l'Armée nationale populaire.
- Nouredine Bedoui, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales.
- Ramtane Lamamra, ministre des Affaires étrangères.
- Tayeb Louh, ministre de la Justice, Garde des Sceaux.
-Abderrahmane Benkhelfa, ministre des Finances.
- Abdelkader Messahel, ministre des Affaires maghrébines et africaines et de la Coopération internationale.
- Abdessalem Bouchouareb, ministre de l'Industrie et des Mines.
- Salah Khebri, ministre de l'Energie.
- Tayeb Zitouni, ministre des Moudjahidine
- Mohamed Aïssa, ministres des Affaires religieuses et des Wakfs.
- Amara Benyounès, ministre du Commerce.
- Amar Ghoul, ministre de l'Aménagement du territoire, du tourisme et de l'Artisanat.
- Abdelkader Kadi, ministre de l'Agriculture et du Développement rural.
- Abdelouahab Nouri, ministre des Ressources en eau et de l'Environnement.
- Abdelmadjid Tebboune, ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville.
- Abdelkader Ouali, ministre des Travaux publics.
- Boudjema Talai, ministre des Transports.
- Nouria Benghebrit, ministre de l'Education nationale.
- Tahar Hadjar, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
- Mohamed Mebarki, ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels.
- Mohamed El Ghazi, ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale.
- Azzedine Mihoubi, ministre de la Culture.
- Mounia Meslem, ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme.
- Tahar Khaoua, ministre des Relations avec le parlement.
- Abdelmalek Boudiaf, ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière.
- Abdelkader Khomri, ministre de la Jeunesse et des Sports.
- Hamid Grine, ministre de la Communication.
- Iman Houda Feraoun, ministre de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication.
- Sid Ahmed Ferroukhi, ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques.
- Hadji Baba Ammi, ministre délégué auprès du ministre des Finances, chargé du Budget et de la Prospective.
- Aïcha Tagabou, ministre déléguée auprès du ministre de l'Aménagement du territoire, du Tourisme et de l'Artisanat, chargée de l'Artisanat.

Par ailleurs, et en application de l'article 78 de la Constitution, monsieur le Président de la République a nommé Messieurs:
- Ahmed Noui, ministre secrétaire général du gouvernement.
- Mustapha Karim Rahiel, ministre directeur du cabinet du premier ministre".


APS

zadhand
04/07/2015, 20h29
A LA UNE/ACTUALITE
le 04.07.15 | 15h01


Le message de Bouteflika à la classe politique

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a exprimé samedi sa considération envers la classe politique et l'opposition, soulignant que le peuple algérien a besoin de connaitre les propositions alternatives prétendant améliorer son devenir.


"En effet, le peuple algérien a besoin de connaître les propositions alternatives prétendant améliorer son devenir, et il saura ensuite choisir souverainement lors des rendez-vous électoraux de la République", a déclaré le président Bouteflika, dans un message à l'occasion de la célébration de la fête nationale de la jeunesse.
"C'est là le message que j'adresse en ce jour de communion nationale,
à la classe politique du pays, et au premier chef,
aux acteurs de l'opposition à laquelle j'exprime ma considération", a-t-il soutenu.
Le chef de l'Etat a ajouté que "dans le respect de la déontologie démocratique, l'opposition est dans son rôle, tout comme sera dans son rôle la majorité qui a porté mon programme durant la campagne électorale et à laquelle il revient de le promouvoir aujourd'hui dans le cadre du débat démocratique, pour semer l'espoir et pour soutenir l'effort".
Le président Bouteflika a relevé qu'il y avait "quelques années seulement, l'Algérie, son peuple et sa démocratie ont très chèrement payé le prix des discours populistes, de la démagogie et du défi à la loi", appelant, dans ces sens,
à tirer "donc les leçons de ces amères expériences pour nourrir notre pluralisme politique,
associatif et syndical, de joutes nobles autour de programmes alternatifs".


APS

jim63
04/07/2015, 22h58
salam

tahya djazair..!

zadhand
09/07/2015, 23h54
A LA UNE/ACTUALITE/Message du président Bouteflika
le 09.07.15 | 10h00



Les interrogations de Hanoune

Interrogation de Louisa Hanoune autour du dernier message «attribué» au président de la République.
Si la secrétaire générale du PT dit «deviner qui l’a écrit»,
elle se demande comment il a pu occulter une actualité
aussi brûlante que celle qui caractérise la ville de Ghardaïa.


Nawal Imès - Alger (Le Soir)


Le message rendu public à l’occasion de la célébration du 5 Juillet a suscité bien des interrogations chez Hanoune. Si elle est certaine d’avoir deviné l’auteur, c’est le contenu qui l’interpelle.
Le rédacteur, dit-elle, décrit «la vie en rose» alors que, déplore-t-elle, il a occulté une grande partie de l’actualité nationale. Peut-on, dit-elle, évoquer l’unité nationale sans parler des événements qui secouent Ghardaïa ? Un silence et une indifférence que la secrétaire générale dit ne pas comprendre.
Le renouveau politique évoqué dans cette même missive n’est qu’une vue de l’esprit dans un contexte marqué par des pressions sur la presse. Idem pour la corruption évoquée dans le texte. Celle-ci, dit-elle, ne s’est pas infiltrée dans les rouages de l’Etat, elle est sortie de sa matrice et ce dernier ne la combat point.
Au sujet de l’opposition et des rendez-vous électoraux, Hanoune a estimé hier que ces derniers ne peuvent être évoqués que dans le cadre d’une totale transparence.
S’adressant à Bouteflika qui affirmait via ce message qu’il irait jusqu’au bout de son mandat, la secrétaire générale du PT lui a rappelé que si telle était sa volonté, il devait mettre un terme à la politique économique qui est actuellement menée et qui constitue une rupture avec le peuple.
En réunissant hier la commission agraire de son parti, Louisa Hanoune a estimé ne pas pouvoir faire l’impasse sur ce qui se passe à Ghardaïa qu’elle qualifie de «dangereux dérapages» et s’est demandé ce que faisait le gouvernement pour arrêter la spirale de la violence.
Le tout sécuritaire, dit-elle, a déjà montré ses limites et le gouvernement devrait être mobilisé sur le terrain et ne pas adopter la politique de la fuite en avant.

zadhand
22/07/2015, 18h21
A LA UNE/ACTUALITE/Mouvement dans le corps des walis
le 22.07.15 | 17h32


Bouteflika procède à un vaste mouvement dans le corps des walis

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika,
a procédé à un mouvement dans le corps des walis et des walis délégués,
indique mercredi un communique de la présidence de la République, dont voici le texte intégral.


"Conformément aux dispositions de l'article 78, alinéa 9 de la Constitution, son excellence M. Abdelaziz Bouteflika, président de la République, a procédé ce jour 22 juillet 2015,
à un mouvement dans le corps des walis et des walis délégués.

A ce titre sont nommés walis

- M. Salamani Mohamed, Wali de la wilaya de Batna
- M. Abbes Kamel, Wali de la wilaya de Ain Defla
- M. Bouazghi Abdelkader, Wali de la Wilaya de Blida
- M. Benmansour Abdallah, Wali de la Walaya d'El Bayad
- M. Merzoug Larbi, Wali de la Wilaya de Jijel
- M. Merad Brahim, Wali de la Wilaya de Tizi Ouzou
- M. El Affani Salah, Wali de la Wilaya de Mascara
- M. Chorfa Youcef, Wali de la Wilaya de Annaba
- M. Agoudjil Saad, Wali de la Wilaya de Ouargla,
- M. Bousmaha Mohamed, Wali de la Wilaya de M'sila,
- M. Hamidou Mohamed Wali de la Wilaya de Biskra,
- M. Mechri Azzedine, Wali de la Wilaya de de Ghardaia,
- M. Boukarabila Djelloul, Wali de la Wilaya de Saida
- M. Bessaieh Hocine, Wali de la Wilaya de de Naama,
- M. Hamou Touhami, Wali de la Wilaya de Ain Temouchent,
- M. Layadi Mostefa, Wali de la Wilaya de Medea,
- M. Derfouf Hadjri, Wali de la wilaya de Relizane,
- M. Madani Fouatih Abderrahmane, Wali de la wilaya de Mila,
- M. Ould Salah Zitouni, Wali de la wilaya de Bejaia,
- M. Bouguerra Ali, Wali de la wilaya de Tebessa,
- M. Chater Abdelhakim, Wali de la wilaya de Oum El Bouaghi,
- M. Ferdi Mohamed, Wali de la wilaya de Laghouat,
- M. Silmi Belkacem, Wali de la Wilaya de Tamanrasset,
- M. Bentouati Azzedine, Wali de la Wialya de Tiaret,
- Mme Rais Fatima Zohra, Wali de la Wilaya de Guelma,
- M. Moulati Attalah, Wali de la wilaya d'Illizi,
- M. Mermouri Moumen, Wali de la Wilaya de Tindouf,
- M. Saidoun Abdessamie, Wali de la Wilaya de Bordj Bou Arreridj,
- M. Bouchema Mohamed, Wali de la Wilaya d'El Oued,
- M. Filali Abdeghani, Wali de la Wilaya de Souk Ahras,
- M. Bekkouche Hamou, Wali de la Wilaya de Khenchela,
- M. Mejdoub Mohamed, Wali de la wilaya de Béchar,
- M. Limani Mustapha, Wali de la wilaya d'Adrar,
- M. Temmar Abdelwahid, Wali de la Wilaya de Mostaganem,
- M. Ghazi Abdelhamid, Wali de la wilaya de Tissemsilt.

Par ailleurs, sont nommés Walis délégués

- M. Aoun Mabrouk, Wali délégué de la circonscription adminitrative de Timimoun, Wilaya d'Adrar,
- M. M'hamed Moumen, Wali délégué de la circonsription administrative de Bordj Baji Mokhtar, Wilaya d'Adrar.
- M. Bouchentouf Djellouli, Wali délégué de la circonscription administrative de Ouled Djellal, Wilaya de Biskra.
- M. Lansari Boubakar, Wali délégué de la circonscription administrative de Beni Abbes, Wilaya de Béchar,
- M. Sedas Lakhdar, Wali délégué de la circonscription administrative de Ain Salah, Wilaya de Tamanrasset,
- M. Ahmed Yahia, Wali délégué de la circonscription administrative de In Guezam wilaya de Tamanrasset,
- M. Bensaid Abdelkader, Wali délégué de la circonscription administrative de Touggourt, Wilaya de Ouargla,
- M. Khaldi Ahcene, Wali délégué de la circonscription administrative de Djanet, Wilaya d'Illizi
- M. Messaoudi Belkacem, Wali délégué de la circonscription administrative d'El Meghaier, Wilaya d'El Oued,
- M. Dahmani Ahmed, Wali délégué de la circonscription administrative d'El Menia, Wilaya de Ghardaia,
- M. Beldjoud Kamel, Wali délégué de la circonscription administrative de Zeralda, Wilaya d'Alger,
- M. Ben Amar Mohamed, Wali délégué de la circonscription administrative de Bir Mourad Rais, Wilaya d'Alger,
- Mahsar Ahmed, Wali délégué de la circonscription administrative de Bouzareah, Wilaya de d'Alger,
- M. Guenfaf Hamana, Wali délégué de la circonscription administrative de Bab El Oued, Wilaya d'Alger,
- M. Rabhi Mohamed Abdenour, Wali délégué de la circonscription administrative de Rouiba, Wilaya d'Alger,
- M. Benmalek Mokhtar, Wali délégué de la circonscription administrative de Birtouta, Wilaya d'Alger,
- M. Cherifi Mouloud, Wali délégué de la circonscription administrative de de Dar El Beida, Wilaya d'Alger".



APS

tracasse66
22/07/2015, 19h18
ben on ne change pas une equipe qui gagne

jazalibre
22/07/2015, 19h50
WallaH j'ai rie rappel moi qui a fait le
Remaniement http://www.grifil.com/Expressions/GrifilRire.gif

zadhand
23/07/2015, 19h14
A LA UNE/ACTUALITE/Remaniement partiel du gouvernement
le 23.07.15 | 15h11

Bouteflika sacrifie Benyounès et récompense Ould Ali

Le leader du MPA n’a pas pu conserver son portefeuille en dépit de l’acharnement dont
il a fait preuve pour défendre le chef de l’Etat et son programme.


17743
Amara Benyounès, SG du MPA.

La présidence de la République a annoncé, ce jeudi, un énième remaniement du gouvernement, le deuxième en l’espace de trois mois. Les changements ont touché les départements du Commerce, la Jeunesse et les Sport et ceux de l’Agriculture et de la Pêche.
Ces deux derniers sont désormais réunis dans un seul ministère, sous la coupe de Sid Ahmed Ferroukhi.

Le fait saillant dans ce remaniement a trait au départ de Amara Benyounès, remplacé à la tête du ministère du Commerce par Belaïb Bakhti. Benyounés, leader du MPA, n’a pas pu conserver son portefeuille en dépit de l’acharnement
dont il a fait preuve pour défendre le chef de l’Etat et son programme.

Benyounès, ancien cadre du RCD, s’est distingué lors de la compagne électorale pour la présidentielle d’avril 2014, lorsqu’il a déclaré que « le cerveau de Bouteflika (victime d’un AVC) fonctionne mieux que celui de ses adversaires ». Une année plus tard, il a crée une vive polémique, notamment dans les milieux islamistes, quand il a dévoilé
son intention de réorganiser la commercialisations des boissons alcoolisées.
Un projet qui n’a pas abouti puisque Sellal a gelé l’instruction de son ministre du Commerce.

Bouteflika vient par ce remaniement récompenser Ould Ali El Hadi, désigné ministre de la Jeunesse et des sports, à la place de Khemri, en convalescence depuis plusieurs mois. Ould Ali El Hadi, qui occupe jusqu’ici le poste de directeur de la maison
de la culture de Tizi Ouzou, a servi dans la même wilaya,
en qualité de directeur de campagne de Bouteflika lors des dernières élections présidentielles.


Farouk Djouadi

zadhand
25/07/2015, 12h26
A LA UNE/ACTUALITE/La Garde républicaine et la sécurité de la présidence changent de main
le 25.07.15 | 10h00

Deux hauts gradés limogés

Le président de la République a procédé à des changements à la tête de la Garde républicaine et de la Direction générale de la sécurité et de la protection présidentielle (DGSPP), selon des sources sûres.
On ignore, pour l’heure, ce qui a amené la Présidence à prendre ces décisions.

17754

Le chef de l’Etat a «limogé» deux hauts gradés de l’armée, à en croire plusieurs sources. Et pas des moindres. Il s’agit du patron de la Garde républicaine, le général-major Ahmed Moulay Meliani, et du responsable de la Direction générale de la décurité et de la protection présidentielle (DGSPP), le général-major Djamel Medjdoub. Le premier est remplacé par Benali Benali, chef de la 5e Région militaire, promu à l’occasion de la Fête de l’indépendance, le 5 juillet passé, général des corps d’armée.
Originaire de Tlemcen tout comme son prédécesseur, Benali Benali fait partie du cercle des vieux hauts gradés encore en fonction ; il est plus âgé que le chef d’état-major. Quant à la DGSPP, elle est confiée à l’officier Nacer Habchi. Même si la présidence de la République n’a pas communiqué à ce sujet – une tradition –, plusieurs sources assurent que ces changements inattendus sont la conséquence d’«erreurs» et de «négligences».
Pour le patron de la Garde républicaine, son sort était scellé depuis au moins un mois.
Limogeage Énigmatique
Celui de la sécurité présidentielle serait dû à un «accident» qui s’est produit dans la résidence présidentielle, la semaine passée. Selon plusieurs sources, des coups de feu ont été tirés par deux agents de la DGSPP par «négligence». Ce qui a provoqué une panique générale dans la résidence de Zéralda où se repose le chef de l’Etat. Mais plusieurs versions ont été «savamment distillées» sur cette affaire qui reste énigmatique.
De toute évidence, ces changements renseignent sur cette sorte d’état d’alerte en vigueur depuis peu, même si officiellement, la sérénité reste de mise. Il se trouve par ailleurs que souvent, des «mises à la retraite» de hauts gradés de l’armée se sont déroulées dans des conditions discutables. L’opinion publique nationale a été «sidérée» et d’ex-militaires révoltés de la manière avec laquelle trois officiers supérieurs ont été malmenés avant d’être limogés.
A la veille de l’élection présidentielle d’avril 2014, le puissant patron des services de Renseignement, le Département du renseignement et de la sécurité (DRS), le général de corps d’armée Mohamed Mediène, avait fait l’objet d’attaques aussi rares que violentes de la part du secrétaire général du FLN, Amar Saadani. Un protégé du clan présidentiel. La crise de l’hiver 2014 a sans doute laissé des traces, même si tout a été fait, plus tard, pour relativiser les débordements de la phase préélectorale.
Depuis, c’est la stratégie de l’équilibre qui domine les rapports.
L’«incapacité» des trois pôles du pouvoir – Présidence, état-major et Services – à élaborer un «consensus» rend encore plus problématique la réactivité du pays face à la crise dans laquelle il est englué. Enfermé dans un blocage politique, en proie à une crise économique majeure et dans un contexte régional marqué par une instabilité sécuritaire menaçante, l’Algérie donne l’impression de naviguer à vue. «La recherche d’une solution à l’intérieur d’un système en fin de cycle ne fait qu’aggraver la crise, rendant l’effondrement irréversible», avertit un ancien haut dirigeant.
Le chef de l’Etat qui a appelé, à l’occasion du dernier Conseil de ministres, à «la vigilance de tous», y compris dans les entreprises, pour déjouer d’éventuels «complots», est interpellé plus que jamais sur la nécessité de rechercher une solution plus large. Les acteurs de l’opposition politique n’en demandent pas plus. Une solution négociée à plusieurs,
en vue de parvenir à l’instauration d’un système de gouvernance démocratique.

Hacen Ouali

zadhand
14/09/2015, 23h48
A LA UNE/ACTUALITE/Département du renseignement et de la sécurité (DRS)
14 Septembre 2015| 10h00


Mirage et réalité de la police politique

Le président Bouteflika a mis fin, hier, aux fonctions du chef du Département du renseignement et de la sécurité (DRS), le général de corps d’armée Mohamed Lamine Médiène dit Toufik.


C’est tout un pan de l’histoire de la police politique en Algérie qui tombe. Car au-delà des missions du renseignement et de la sécurité inscrites dans les Constitutions successives qu’a connues le pays, ce département — qui organiquement est lié au ministère de la Défense — a régulé pendant 25 ans la vie politique nationale.
Il a fait et défait des partis politiques, dessiné leurs parcours, orienté leurs positions, fabriqué et déchu de hauts responsables du pays et même des présidents, supervisé des fraudes électorales au côté bien évidemment de l’administration. Rien ne se faisait sans la bénédiction du général Toufik, y compris les mandats successifs de l’actuel chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, dont la décision de mettre le patron du DRS à la retraite a provoqué, hier, un véritable séisme dans la vie politique nationale.
Pour le commun des mortels, Toufik est intouchable, c’est «Reb Edzaïr» (le dieu de l’Algérie), comme le qualifient certains pour mettre en évidence toute sa puissance. Hier, c’était la fin du mythe. C’est à se demander si Toufik était un mirage ou une réalité. Il est vrai que son service a puissamment contribué à lutter contre le terrorisme, a accompli des missions au service de l’Algérie, mais a aussi régenté la vie politique, économique et sociale.
Le DRS, comme son ancêtre la Sécurité militaire, la terrible SM, a fait la pluie et le beau temps. Il était partout : dans les ministères, dans les entreprises publiques, dans l’administration, au sein du mouvement associatif, dans les partis politiques, là ou il y a un regroupement humain. Il n’y a pas un seul parti de l’opposition qui ne s’en soit pas plaint.
Le Front des forces socialistes (FFS), le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) n’ont pas cessé de revendiquer la dissolution de la police politique, donc les services du général Toufik. Même le secrétaire général du Front de libération national (FLN) — que préside le chef de l’Etat —, Amar Saadani, n’a pas arrêté de demander le retrait du DRS de la vie politique. Mais peut-être pour d’autre raisons.
Une question se pose d’elle-même : le départ du mythique et mystérieux patron des Services algériens et son remplacement par un de ses anciens bras droits, Bachir Tartag, est-il synonyme de la fin de la police politique ? A première vue, ou dans la forme qui était la sienne, le DRS est profondément restructuré.
On peut même dire qu’il est devenu squelettique : il a perdu ses services presse, police judiciaire — à l’origine des enquêtes sur la corruption au sein de Sonatrach et du projet de l’autoroute Est-Ouest —, de la direction de la sécurité intérieure, tous rattachés depuis quelque temps à l’état-major de l’Armée nationale populaire, dont le chef est le désormais puissant général de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah, qui cumule aussi le poste de vice-ministre de la Défense.
Le DRS s’est vu également dépouillé du service de l’Intelligence économique. Peut-on dire alors qu’il n’a vraiment plus aucun instrument pour contrôler la société comme il le faisait jadis ? Attendons pour voir. La restructuration qui se déroule au sein des Services de sécurité n’a pas encore livré tous ses secrets et ses implications sur la vie politique nationale.
Le clan présidentiel, qui a renforcé sa puissance en mettant sur le carreau tous ceux qui peuvent troubler sa démarche, ne serait plus dans le besoin des services que le DRS assurait. Le président Bouteflika et ses collaborateurs ont prouvé qu’ils ont mis en place leur système propre. Les terribles pressions que subit la presse ne sont certainement pas l’émanation du service presse, qui n’existe plus.
Les pressions exercées aussi sur les annonceurs privés ne sont forcément pas celles de quelques agents du DRS tapis dans l’ombre. La dernière élection présidentielle, qui s’est déroulée dans des conditions très contestées par la classe politique et les rivaux du président-candidat, a été marquée par les mêmes méthodes et les mêmes irrégularités que toutes les précédentes, sans l’implication des services de Toufik. Alors, l’argument du retrait de la police politique de la vie politique nationale est une idée qui doit faire ses preuves. Wait and see.


Said Rabia

zadhand
15/09/2015, 22h36
A LA UNE/ACTUALITE_Remaniement ministériel imminent
le 15 Septembre 2015


Le général Toufik ne partira pas seul

Le départ de l'ex-patron du DRS ne sera pas sans conséquence sur la scène politique algérienne, c'est ce qu'avancent plusieurs analyseurs repris par des médias algériens, qui chacun selon inféodation s’étale sur l'avenir du système algérien et la méthode dont le «sérail» procédera pour former le gouvernement sans le général Toufik.

Le journal électronique arabophone SabqPresse, va très loin en nommant même des ministres qui ne feront plus parti du nouveau gouvernement sans le soutien du général Toufik après le remaniement imminent qui suivra la mise en retraite de ce dérnier. Selon ledit journal, le premier concerné est le premier ministre, quatre fois chef du gouvernement, Abdelmalek Sellal, ainsi que Remtan Laamamra actuel ministre des affaires étrangères, selon SabeqPresse, même Tayeb Louh actuel ministre de la justice est menacé par ce changement de l'équipe gouvernementale.

De son coté Algérie1 va plus loin en désignant les hommes de Toufik comme orphelins délaissés, en rapportant les propos de «Sources bien informées» qui souhaitent garder l’anonymat « Louisa Hanoune, Amar Ghoul, Ahmed Ouyahia portent décidément la scoumoune. Tous ceux et celles dont ils prennent la défense finissent au rébus. Le dernier en date est l’ex-patron du DRS. Ils l’ont tant et si bien défendu, ainsi que tous ceux qui ont lynché Amar Saadani à la suite de la charge qu’il a osée contre le puissant général, qu’ils l’ont désigné au mauvais sort ».

La rédaction d'Algéri1 rajoute en citant un ancien Moudjahid « vous allez voir, le président va, à présent, pouvoir doter notre pays d’une nouvelle Constitution qui va définitivement nous affranchir de la tutelle de l’armée et des services de sécurité, une constitution d’un pays réellement démocratique où l’armée n’est dotée d’aucune prééminence
sur l’Etat et la Nation, où il n’y a plus d’article 25″.

« En effet, c’est ce fameux article, qui a fait plus de mal que de bien à notre pays en laissant l’armée sans tutelle. Souvenez vous de feu le général de corps d’armée Mohamed Lamari qui déclarait que « Lui (le président) il a ses prérogatives et nous, nous avons les nôtres » en référence à ce fameux article 25. Cet article tabou n’a jamais été évoqué ni par la vaillante et téméraire passionaria nationale de la démocratie, ni par le docte et courageux penseur cascadeur qui ne ménage même pas le Coran….et encore moins par les chantres de la démocratie »

De nombreux médias proches du cercle présidentiel font la promotion d'une opération qui vise à créer un Etat Civil et démilitariser l'Algérie, une cause noble que Bouteflika serait entrain de défendre et concrétiser, mais l'avenir nous dira si c'était le cas ou une simple lutte d'un conflit d intérêts entre les décideur au plus haut sommet de l'Etat.

http://3.bp.blogspot.com/-x1ui_06yuQw/VfcIn1wfRCI/AAAAAAAAQA8/KPX1upzY02k/s1600/sellal%2Bet%2BBoutef.png (http://3.bp.blogspot.com/-x1ui_06yuQw/VfcIn1wfRCI/AAAAAAAAQA8/KPX1upzY02k/s1600/sellal%2Bet%2BBoutef.png)

zadhand
25/09/2015, 20h54
A LA UNE/ACTUALITE_Documentaire sur le val de grâce
25 Septembre 2015


Val de grâce et l’hospitalisation Bouteflika
**Hidden Content: Check the thread to see hidden data.**


La date de création de ce sujet est ajournée a qui revient de droit.

jim63
30/09/2015, 11h57
salam
Je me demande qui dirige vraiment ce pays !

djafar1
02/10/2015, 06h34
même l'essaim des abeilles éliminent les reines les plus faibles pour ne laisser que la plus forte pour régner sur eux quand à nous....

zadhand
19/11/2015, 17h57
A la une Actualité_Le président Abdelaziz Bouteflika
le 19.11.15 | 17h58


Bouteflika apparaît après des rumeurs sur
la dégradation de son état de santé


L’apparition du chef de l’Etat intervient dans un climat
de doutes suscités par des informations faisant
état de son hospitalisation en France.

19842

Le président Abdelaziz Bouteflika a reçu, aujourd’hui jeudi,
le Premier ministre maltais, Joseph Muscat, en visite officielle de deux jours en Algérie.
L'audience s'est déroulée en présence du Premier ministre, Abdelmalek Sellal,
et de trois autres membres du gouvernement (Ramtane Lamamra,
Abdelkader Messahel, et Bouchouareb), a rapporté APS.
L’apparition de Bouteflika intervient dans un climat de doutes suscités par
des informations faisant état de son hospitalisation en France.
Certaines rumeurs, relayées sur les réseaux sociaux,
sont allées plus loin encore en avançant que le chef de l’Etat serait décédé.
Cet état de fait a poussé des acteurs politiques à réagir.
« Chaque jour, des rumeurs circulent sur la maladie du Président,
son hospitalisation et même sa mort. Et le pouvoir ne réagit pas. Où est l’Etat ?
Ce n’est pas normal. Ces rumeurs font presque partie
d’une agitation soutenue par un pouvoir qui travaille dans l’opacité»,
a accusé hier le président du MSP Abderrazak Makri.



Farouk Djouadi

zadhand
03/12/2015, 19h51
A la une Actualité_Président Abdelaziz Bouteflika
le 03.12.15 | 15h25
mis à jour le 03.12.15 | 18h08


Bouteflika en France pour des "contrôles médicaux"


Le président Abdelaziz Bouteflika a été transféré, aujourd’hui jeudi,
en France pour effectuer ses « contrôles médicaux périodiques ».

20121

« Son Excellence M. Abdelaziz Bouteflika, président de la République,
a quitté le pays ce jour, jeudi 3 décembre 2015, pour une courte
visite privée en France, durant laquelle il effectuera ses contrôles médicaux
périodiques, sous la direction de ses médecins traitants »,
a annoncé la présidence dans un communiqué.
Le chef de l’Etat algérien « est entré au groupe hospitalier mutualiste de
Grenoble (est), où il avait déjà effectué un court séjour en novembre 2014»,
selon AFP qui cite des sources concordantes.
Bouteflika a été victime d'un AVC en 2013. Depuis, ses déplacements en France,
pour des raisons médicales, sont devenus fréquents. Son inaptitude à marcher
et à parler a alimenté la polémique au sujet de sa capacité à diriger le pays.
L’opposition politique parle carrément d’une vacance du pouvoir en Algérie
et appelle à l’organisation d’une présidentielle anticipée.
El Mouradia communique rarement sur l’état de santé de son actuel locataire.
En novembre dernier, des informations ont fait état de l’évacuation du
président Bouteflika en France. Et face au silence des autorités,
les rumeurs sont allées jusqu’à évoquer son décès. Il a fallu attendre
plusieurs jours pour voir le président recevoir le Premier ministre maltais.



Farouk Djouadi

Mimiche
04/12/2015, 09h05
sur le compte de qui ?????

zadhand
04/12/2015, 10h20
sur le compte de qui ?????

Bonjour Mimiche ; ils ont suffisamment et ce n'est pas au dépend
de notre Maghreb-Sat qu'ils nous laissent un débit potable wayliham lbléd.

Mimiche
04/12/2015, 14h48
trop de magouille dans ce bled

zadhand
05/12/2015, 17h53
A la une Actualité_Président Abdelaziz Bouteflika-Clinique d’Alembert à Grenoble
le 05.12.15 | 14h23



20121


Bouteflika a quitté la France

Le président de la république M. Abdelaziz Bouteflika a quitté, ce samedi,
le sol français après deux jours d’hospitalisation à la clinique d’Alembert à Grenoble.
Le chef de l'Etat algérien a quitté peu après midi le service de cardiologie du
Groupe hospitalier mutualiste, où exerce son cardiologue, Jacques Monségu.
Abdelaziz Bouteflika avait déjà été hospitalisé dans cette clinique e novembre 2014.
Il a ensuite été conduit, sous escorte, à l'aéroport de Saint-Etienne-de-Saint-Geoirs (Isère),
près de Grenoble, où il a quitté la France, affirme BFM TV
qui s’appuie entre autres sur les sources consultées par AFP.
Le journal local "Le Dauphiné Libéré" a aussi rapporté que Boutefklika a bel et bien
quitté la clinique qu’il a rejoint pour y passer des examens médicaux au sein
du service de cardiologie où exerce son médecin, le docteur Monségu.

Mina Adel

zadhand
24/12/2015, 12h14
A la une/Actualités_Décès de Hocine Ait Ahmed
e 24.12.15 | 13h24


Le Président Bouteflika décrète un deuil national de huit jours

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a décrété jeudi
"un deuil national de huit (08) jours
sur l'ensemble du territoire national, à compter de vendredi
25 décembre 2015, à la suite du décès
du moudjahid Hocine Ait Ahmed, l'un des dirigeants de
la Révolution du 1er novembre 1954", indique
un communiqué de la Présidence de la République.

APS

djafar1
25/12/2015, 06h18
le deuil national il fallait le décréter lors de la mascarade présidentiel de 1999 quand feu ait ahmed et les autres candidats tenez vous bien (talab ibrahimi,djaballah,mokdad sifi,youcef khatib,mouloud hamrouche) l'on boycotter sauf notre sir.....mais ça c'est encore de l'histoire me diriez vous

zadhand
12/04/2016, 23h40
A LA UNE/Actualité_Santé de Bouteflika
le 12.04.16 | 10h00

Des images peu rassurantes



Les images de l’entretien accordé par Bouteflika au Premier ministre français, dimanche dernier,
montrent un Président très amoindri physiquement. L’opinion choquée et indignée s’interroge sur
l’état de santé du premier magistrat du pays, alors que les officiels s’entêtent
à affirmer qu’il est en possession de tous ses vwmoyens.



22966

On savait le président Abdelaziz Bouteflika malade. Survivre à un accident vasculaire cérébral (AVC)
qu’il a eu en avril 2013 — , tous les médecins vous le diront, relève du miracle. D’ailleurs, tout le monde
était surpris de le voir briguer, dans l’état de santé qui était le sien et dans des conditions très contestées,
un quatrième mandat. On le savait, en effet, très malade. Mais les récentes images du Président,
dont celle tweetée hier par le Premier ministre français, Manuel Valls, choquent, irritent, humilient et inquiètent.
Elles montrent un Président très fatigué, amoindri par la maladie. Le regard hagard et perdu, prononçant
difficilement quelques mots, presque impotent devant un hôte visiblement très gêné. La problématique de
la capacité du locataire du palais d’El Mouradia d’assurer les charges de la fonction présidentielle est plus
que jamais d’actualité.Dans un article publié à la veille de la visite du Premier ministre français à Alger,
le Journal du dimanche a indiqué qu’«une source diplomatique informée de la rencontre (la semaine dernière)
à Alger entre Jean-Marc Ayrault et le raïs algérien lui a confié que ce dernier ne parvient plus à faire entendre
le son de sa voix, avec ou sans micro». «Le Président, ajoute le journal français, serait apparu plus affaibli que
lors de ses derniers entretiens avec des émissaires français, avec une apparente difficulté à bouger
les membres supérieurs.»La photo du président Bouteflika on ne peut plus éloquente, mise en ligne par
Manuel Valls, renseigne sur la grande fatigue et l’ampleur des séquelles inévitables que peut entraîner un AVC.
Sur les réseaux sociaux, la dernière image du chef de l’Etat a fait le buzz. Son état de santé alimente des craintes
légitimes chez les Algériens qui se demandent de quoi sera fait demain. En plus du sentiment d’humiliation et
de colère provoqué par le tweet de Valls, la santé du premier magistrat du pays suscite aussi maintes interrogations
sur la manière dont sont gérées les affaires publiques. On a du mal à imaginer qu’un Président aussi malade et
amoindri puisse avoir la capacité de veiller au bon fonctionnement de l’Etat. Survient alors la question qui fâche
et qui fait jaser ceux qui tirent profit d’une telle situation.Qui détient la réalité du pouvoir ? Qui gouverne en Algérie ?
Qui décide ? Le Président était-il au moins au courant de toutes les décisions qui ont été prises depuis sa reconduction
lors de l’élection présidentielle d’avril 2014 ? Les partis de l’opposition parlent de «vacance du pouvoir»,
certains de ses amis proches — qui ont créé le Groupe des 19 pour demander audience au président Bouteflika
qui avait, d’ailleurs, l’habitude de les recevoir — se demandent si le chef de l’Etat était au courant
des décisions politiques prises.La démarche de Zohra Drif, Khalida Toumi, Louisa Hanoune et autres personnalités
nationales n’a à ce jour pas abouti. Pis, pour avoir osé lui demander audience pour l’informer de «choses graves»
dans la gestion du pays faites en son nom, elles ont eu droit à un chapelet de critiques et même d’insultes de la part
de ceux qui pensent être en droit de défendre l’institution présidentielle, entre autres le secrétaire général du Front
de libération nationale (FLN), Amar Saadani.La dernière image du Président fait douter le commun des mortels
de ses capacités à gérer des dossiers aussi lourds que la crise financière et économique qui frappe l’Algérie après
l’échec de toutes les politiques mises en œuvre depuis son arrivée au pouvoir en 1999, des scandales de corruption
que le pays ait connus depuis son indépendance en 1962, des menaces pesantes d’un contexte sécuritaire explosif
dû à un voisinage instable à tout point de vue. Les dernières images du président Bouteflika, les Algériens
jetez un coup d’œil sur les réseaux sociaux — en pleurent, s’inquiètent, se sentent humiliés et prient que
«Dieu protège l’Algérie». Nos partenaires étrangers, eux, en rient sous cape et des médias français trouvent
matière à se gausser d’un pays qui a payé chèrement son indépendance au terme d’une fabuleuse Révolution.


Said Rabia

djafar1
14/04/2016, 05h54
c'est dommage pour notre president et pour l’Algérie
cette image n'honore ni l’Algérie ni le president
à quand la faim de la mascarade.!?

zadhand
24/04/2016, 18h34
LA UNE/ACTUALITÉ_La Présidence de la République
le 24.04.16|14h08

Le Président Bouteflika à Genève pour des contrôles médicaux



23267

Le président de la République Abdelaziz Bouteflika s'est rendu dimanche à
Genève (Suisse) pour "une visite privée" durant laquelle il effectuera des
"controles médicaux périodiques", a annoncé la présidence de la République
dans un communiqué transmis à l'APS. Le président Bouteflika a été admis à
la clinique Genolier, dans la commune du même nom, non loin de Genève,
en Suisse. Selon une source sur place, contactée par nos soins, Bouteflika
a bien séjourné dans cette clinique, mais "il n'est plus chez nous". Ce qui laisse
entendre que le communiqué de la présidence de la République a été fait après
la sortie de Bouteflika de la clinique suisse.Interrogé sur les soins prodigués à
Bouteflika, notre interlocuteur dira : " je ne suis pas autorisé à donner ce type
d'information, mais le président Bouteflika n'est plus chez nous. Il faudrait
éventuellement voir d'autres établissements". Il a évoqué un établissement hospitalier à Lyon.

Elwatan.com

malouki
14/05/2016, 15h38
Santé de Bouteflika : les graves interrogations de Jean-Louis Debré*

Dans son livre qui vient de paraître sous le titre, «*Ce que je ne pouvais pas dire »,Jean-Louis Debré raconte le contenu de son entretien avec le président Bouteflika le 9 décembre 2015 à Alger.*L’ancien président du Conseil constitutionnel français (2012-2016) se pose plusieurs graves questions notamment*sur la capacité du président Abdelaziz Bouteflika à diriger l’Algérie.« Il est tassé dans son fauteuil, très essoufflé, la voix faible »Il écrit :*« Il m’accueille dans son palais, situé un peu en dehors du centre d’Alger, très fortement et visiblement protégé.Une résidence médicalisée, me dit-on. Il est tassé dans son fauteuil, très essoufflé, la voix faible.*Un petit micro collé contre sa bouche permet de mieux entendre ce qu’il dit. Il a bien des difficultés pour s’exprimer.*À plusieurs reprises, il doit s’interrompre pour boire une gorgée d’eau. Il me faut être particulièrement attentif pour réussir à le comprendre.Il m’indique avoir toujours eu beaucoup d’estime pour mon grand-père et aussi pour mon père.*Évoquant ses nombreux désaccords avec ce dernier, il me précise qu’il respectait ‘l’homme de convictions et de loyauté*: quand il disait oui c’était oui et non c’était non’. Il m’avait déjà raconté cela lors de notre rencontre de 2007 ».« Bouteflika est-il encore en capacité de diriger l’Algérie ? »Jean-Louis Debré s’interroge : « Bouteflika est-il encore en capacité de diriger l’Algérie ?C’est la question que je me pose tout au long de cette soirée. Il est à l’évidence bien informé des affaires internationales.Mais cet homme épuisé après moins d’une heure d’entretien, à l’élocution difficile, n’est-il qu’un paravent derrière lequel*se cachent des hommes ou des clans soucieux de garder le pouvoir le plus longtemps possible ? »En conclusion, l’ancien président du Conseil constitutionnel français, écrit :*« En le maintenant à la tête du pays, ne cherchent-ils pas à différer une guerre de succession qui achèverait de fragiliser*une Algérie déjà promise, avec l’effondrement des prix du pétrole, à de grandes difficultés économiques et sociales.Un pays où la montée de l’islamisme radical est manifeste ».


Sujet Fusionné.

zadhand
06/07/2016, 01h46
Mesures de grâce du président Bouteflika

24920

À L'OCCASION DE LA FÊTE DE L'INDÉPENDANCE
le 05-07-2016 10:00

Bonsoir , http://www.maghreb-sat.com/forum/att...95165846_n.jpg (http://www.maghreb-sat.com/forum/attachments/f8/24173d1465319576-soit-dit-en-passant-11265305_1043944242289928_2384745649895165846_n.jp g) à l'occasion de l'Aid El-Fitr
je présente mes meilleurs vœux,bonheur, de santé et de prospérité
à la communauté de maghreb-Sat et de la nation arabe et islamique

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a promulgué
deux décrets présidentiels portant mesures de grâce et de remises
de peine à l'occasion de la célébration du 54e anniversaire de la fête
de l'Indépendance de l'Algérie, a indiqué hier un communiqué de la
présidence de la République. “Conformément aux prérogatives qui lui
sont conférées par la Constitution, notamment son article 91-7, Son
Excellence Monsieur le président de la République, Abdelaziz Bouteflika,
a promulgué deux décrets présidentiels portant mesures de grâce et de
remises de peine”, a précisé la même source. Ces mesures concernant
“les personnes détenues et non détenues condamnées définitivement et
les personnes détenues condamnées définitivement qui, à l'issue d'une
formation durant leur détention, ont subi avec succès des examens scolaires,
universitaires ou de formation professionnelle au titre de l'année 2015-2016”,
a ajouté la même source. Toutefois, ne sont pas concernées par ces mesures
de grâce et de remises de peines “les personnes condamnées définitivement
pour actes terroristes subversifs, assassinat, homicide volontaire, enlèvement,
viol, attentats à la pudeur commis sur mineurs avec ou sans violence,
détournement de deniers publics ou privés, corruption, contrebande, contrefaçon
de monnaie,et trafic de stupéfiants”, a expliqué le communiqué de la présidence
de la République. “Ne sont pas concernées aussi par ces mesures de grâce
les personnes récidivistes condamnées pour vols, et vols qualifiés, ou pour coups
et blessures avec port d'arme”, a encore ajouté la même source.


عيد مبارك سعيد لكم و للأمة العربية و الإسلامي
يا من احبهم في الله .. ويا من احن واشتاق اليهم كل يوم .. لا املك سوى الدعاء لكم بالصحة والعافية وللجزائر والامة الإسلامية بالخير والمن والبركات .. يارب الف رحمة على أرواح موتانا، والشفاء للمرضى واللطف بذوي الحاجة.. يارب
Aid moubarak 2016.jpg (http://www.maghreb-sat.com/forum/attachments/f57/24908d1467751260-antutu-benchmark-aid-moubarak-2016.jpg)

zadhand
20/07/2016, 21h04
Mouvement dans le corps de la magistrature

Nominations et permutations
le 20.07.16|10h00
24920



La présidence de la République a annoncé, hier,
un important mouvement dans le corps de la magistrature.

«Conformément aux dispositions de l’article 92 de la Constitution et de l’article 49
de la loi organique n°04-11 du 6 septembre 2004 portant statut de la magistrature,
Son Excellence Monsieur Abdelaziz Bouteflika, président de la République,
président du Conseil supérieur de la magistrature, a procédé ce jour à un
mouvement dans le corps de la magistrature», précise un communiqué de la
Présidence. Ce mouvement, lit-on dans ce document, a concerné 11 présidents
de cour, 6 procureurs généraux, 5 présidents de tribunal administratif et
9 commissaires d’Etat. Ce mouvement a été plus important à Alger où le président
de la cour, Abdi Benyounès, cède sa place à Benharadj Mokhtar qui était jusque-là président de la cour de Ouargla. Le procureur général près la cour d’Alger, Brahmi Lachemi, qui avait été nommé récemment à ce poste en remplacement de Belkacem Zeghmati, laisse sa place à Benikhetir Benaïssa qui occupait le poste de conseiller
à la Cour suprême. Pour sa part, le procureur adjoint près la cour d’Alger,
Nacef El Hocine, bénéficie d’une promotion ;il est nommé en qualité de procureur
général près la cour de Aïn Defla. Que signifie ce mouvement ? Des juristes que nous avons contactés le qualifient d’«ordinaire», en tout cas a priori.


Communiqué de la présidence de la république

Conformément aux dispositions de l’article 92 de la Constitution et de l’article 49
de la loi organique n°04-11 du 21 Rajab 1425, correspondant au 6 septembre 2004,
portant statut de la magistrature, Son Excellence Monsieur Abdelaziz Bouteflika,
président de la République, président du Conseil supérieur de la magistrature,
a procédé ce jour à un mouvement dans le corps de la magistrature portant

1. Nominations au niveau des cours

- Smati Saïd, président de chambre à la cour de Bordj Bou Arréridj, en qualité
de président de la cour de Batna ;
- Zilabdi Houria, conseiller au tribunal administratif d’Alger, en qualité de présidente
de la cour de Béjaïa ;
- Benahmed Lakhdar, président de la cour de Saïda, en qualité de président de
la cour de Tlemcen ;
- Benharadj Mokhtar, président de la cour de Ouargla, en qualité de président de
la cour d’Alger ;
- Boualem Mohamed Bouchaala, président de chambre et vice-président de la cour
de Béchar, en qualité de président de la cour de Saïda ;
- Bendellaa Ahmed, président de la cour de Aïn Defla, en qualité de président de la
cour de Sidi Bel Abbès ;
- Saadoune Abdelkader, avocat général près la Cour suprême, en qualité de président
de la cour de Annaba ;
- Bouchrite Mokhtar, président de la cour de Béjaïa, en qualité de président de la cour
de Guelma ;
- Anteur Menouar, président de chambre et vice-président de la cour de Blida,
en qualité de président de la cour de Ouargla ;
- Maameria Lazhari, conseiller à la cour de Médéa, en qualité de président de la
cour d’Illizi ;
- Bouhalloufa Farid, président de la cour de Sidi Bel Abbès, en qualité de président
de la cour de Aïn Defla ;
- Aït Challal Mourad, procureur général adjoint près la cour de Blida, en qualité
de procureur général près la cour de Blida ;
- Tagraret Nceur, procureur général adjoint près la cour d’El Oued, en qualité de
procureur général près la cour de Tamanrasset ;
- Beniketir Benaïssa, conseiller à la Cour suprême, en qualité de procureur général
près la cour d’Alger ;
- Rahim Ahmed, conseiller d’Etat au Conseil d’Etat, en qualité de procureur général
près la cour de Annaba ;
- Nacef El Hocine, procureur général adjoint près la cour d’Alger, en qualité de
procureur général près la cour de Aïn Defla ;
- Nabout Mohamed, président de chambre à la cour d’Oran, en qualité de procureur général près la cour de Relizane.

2. Nominations au niveau des tribunaux administratifs

- Belbraouate Mohamed, conseiller au tribunal administratif de Saïda, en qualité de président du tribunal administratif de Béchar ;
- Makadem Aïssa, président de chambre au tribunal administratif de Guelma, en
qualité de président du tribunal administratif de Tamanrasset ;
- Aouak Saliha, conseiller au tribunal administratif d’Alger, en qualité de présidente du tribunal administratif de Tizi Ouzou ;
- Lebcir Fatna, présidente de chambre au tribunal administratif de Constantine,
en qualité de présidente du tribunal administratif de Sétif ;
- Sandali Mohamed Lhabib, conseiller au tribunal administratif d’El Oued, en qualité de président du tribunal administratif d’Illizi ;
- Herouadji Bachir, conseiller au tribunal administratif de Médéa, en qualité de
commissaire d’Etat près de tribunal administratif de Laghouat ;
- Libair Abdelkader, procureur de la République près le tribunal de Laghouat, en
qualité de commissaire d’Etat près le tribunal administratif d’Oum El Bouaghi ;
- Bezaoucha Abdelhalim, président de chambre et vice-président de la cour de
Tizi Ouzou, en qualité de commissaire d’Etat près le tribunal administratif de Bouira ;
- Sayoud Saadi, commissaire d’Etat près le tribunal administratif de Ouargla, en
qualité de commissaire d’Etat près le tribunal administratif de Sétif ;
- Boutemeur Boukhalfa, commissaire d’Etat près le tribunal administratif de Sétif,
en qualité de commissaire d’Etat près le tribunal administratif de Annaba ;
- Ghani Afif, conseiller au tribunal administratif de Relizane, en qualité de commissaire d’Etat près le tribunal administratif de Ouargla ;
- Facih Ammar, conseiller au tribunal administratif de Jijel, en qualité de commissaire
d’Etat près le tribunal administratif d’Illizi ;
- Ouadhi Djilali, conseiller au tribunal administratif de Mostaganem, en qualité de commissaire d’Etat près le tribunal administratif de Bordj Bou Arréridj ;
- Amrani Kamel, procureur de la République près le tribunal de Biskra, en qualité de commissaire d’Etat près le tribunal administratif d’El Oued.

Source APS
M. M.

zadhand
30/07/2016, 18h21
Le président Bouteflika félicite le souverain marocain à l'occasion du
17ème anniversaire de son accession au trône


30/07/2016 - 14:51


24920


Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika,
a adressé un message de vœux au souverain marocai le
Roi Mohamed VI à l'occasion du 17ème anniversaire de
son accession au trône, dans lequel il lui a réaffirmé
sa volonté d'œuvrer, avec lui, à la promotion
des relations bilatérales pour la réalisation des
aspirations des peuples des deux pays à vivre dans
un cadre de solidarité et de fraternité.
«Il m'est agréable au moment où le peuple marocain
célèbre le 17ème anniversaire de votre accession au
trône, de vous adresser au nom du gouvernement et
du peuple algériens et en mon nom personnel,
nos chaleureuses félicitations et nos vœux les
meilleurs, priant Dieu Le Tout Puissant de vous accorder
santé et bien-être afin de réaliser les aspirations de
votre peuple frère à davantage de prospérité et
de progrès», a écrit le président Bouteflika dans son message.
«Je tiens en cette heureuse occasion à vous réaffirmer
notre ferme volonté d'œuvrer avec vous à la concrétisation
de nos objectifs communs dans le cadre bilatéral et
maghrébin, et à la promotion de nos relations à la
hauteur des aspirations des peuples de la région à
la paix, la stabilité et le développement», a souligné
le président Bouteflika. «Je tiens par ailleurs à
vous réitérer notre détermination à renforcer les
liens d'amitié existant entre nos deux peuples»,
a ajouté le chef de l'Etat. «En cette heureuse occasion,
je prie Dieu Le Tout Puissant de guider nos pas
vers la concrétisation des espoirs de nos deux peuples
frères et l'édification du socle de l'union de notre
grand Maghreb arabe», a conclu le président de la République.


APS

zadhand
05/10/2016, 19h54
Mouvement dans le corps des walis


le 05.10.16 | 13h39



Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a procédé
à un mouvement dans le corps des walis et walis délégués, indique mercredi
un communiqué de la présidence de la République.


http://www.elwatan.com/images/2016/10/05/walis-ph_2619201_465x348.jpg (http://www.elwatan.com/images/2016/10/05/walis-ph_2619201.jpg)

"Conformément aux dispositions de l'article 92, alinéa 10 de la Constitution,
son excellence Monsieur Abdelaziz Bouteflika, président de la République,
a procédé, ce jour, à un mouvement dans le corps des walis et walis délégués",
précise la même source.

A ce titre sont nommés walis
1.Benhassine Faouzi, wali de Chlef.
2. Meguellati Ahmed, wali de Laghouat.
3. Berimi Djamel Eddine, wali d'Oum El Bouaghi.
4. Kerroum Ahmed, wali de Biskra.
5. Cherifi Mouloud, wali de Bouira.
6. Bouderbali Mohamed, wali de Tizi Ouzou.
7. Agoudjil Saad, wali de Djelfa.
8. Maskri Nacer, wali de Sétif.
9. Chater Abdelhakim, wali de Skikda.
10. Kamel Abbas, wali de Constantine.
11. Meguedad Hadj, wali de M'sila.
12. Djellaoui Abdelkader, wali de Ouargla.
13. Madani Fouatih Abderrahmane, wali de Boumerdes.
14. Benmessaoud Abdelkader, wali de Tissemsilt.
15. Ghellai Moussa, wali de Tipaza.
16. Khanfar Mohamed Djamel, wali de Mila.
17. Benyoucef Aziz, wali de Ain Defla.
18. El Gazi Abdelhamid, wali de Naama.
Par ailleurs sont nommés walis délégués
1. Bounif Faiza, wali délégué de Draria.
2. Baiche Hamid, wali délégué de Chéraga.
3. Doumi Djillali, wali délégué de Dar El Beida.
4. Bouchareb Abdelaziz, wali délégué d'El Harrach.
5. Kerdah Mohamed, wali délégué de Sidi M'hamed.
6. Ouchene Brahim, wali délégué de Zéralda.
7. Bengamou Mohamed Said, wali délégué de Djanet.


APS

zadhand
21/10/2016, 18h39
Le président Bouteflika appelle les journalistes
à défendre l’Algérie et non le pouvoir


A.Bouteflika-dans-sa-residence-de-zeralda
18:17 vendredi 21 octobre 2016

Message du Président Bouteflika à l'occasion de
la Journée mondiale de la liberté de la presse

Plus de détail à ce sujet ici


http://www.maghreb-sat.com/forum/f49/la-journ%E9e-nationale-de-la-presse-77524.html


Le président Abdelaziz Bouteflika a appelé ce vendredi 21
octobre la presse nationale à transmettre « la vérité, rien
que la vérité ». Il a appelé les journalistes à défendre les
intérêts de l’Algérie et non le pouvoir ou un courant politique
quel qu’il soit. « Je vous exhorte à ne jamais perdre de vue
l’Algérie en tant que patrie, État et peuple. L’Algérie et ses
intérêts, non pas le pouvoir ni un courant politique quel qu’il
soit », a insisté le chef de l’État dans un message à la veille
de la célébration de la Journée nationale de la presse, célébrée
le 22 octobre de chaque année, publié via l’agence officielle
APS.Pour le chef de l’État, « l’Algérie est confrontée aujourd’hui
à plusieurs défis, tant pour la préservation de sa sécurité et sa
stabilité dans un environnement marqué par les tensions que
pour le parachèvement de son processus rénové sur la voie de
la construction et de l’édification économique, sociale, culturelle
et politique».M.Bouteflika estime que la presse nationale constitue
« face à tous ces défis, un acteur influent dans le façonnage de
l’opinion publique et la mobilisation des énergies et des volontés ».
« Partant de ce principe et de ces règles et limites, vous me
trouverez toujours à vos côtés, défenseur de vos droits et œuvrant
à la promotion de votre profession», a assuré le président Bouteflika.
Le président de la république a également exhorté la corporation de
la presse écrite et les autorités publiques concernées à œuvrer
ensemble pour accélérer la mise en place de l’Autorité de régulation
de la presse écrite.« Je saisis cette heureuse occasion pour exhorter
la corporation de la presse écrite et les autorités publiques concernées
à œuvrer ensemble pour accélérer la mise en place de l’Autorité de régulation de la presse écrite, stipulée par la loi », a-t-il dit. Le Chef de
l’État a émis le vœu que cet organe soit lui aussi « un espace pour
établir davantage de compréhension entre le pouvoir et la presse écrite
et aider la presse algérienne à améliorer sa performance, non seulement
en termes de liberté d’opinion, de diversité d’idées et de convictions
mais également pour la consécration de la certitude que nous sommes,
aussi différentes que soient nos obédiences, un peuple uni et unique et
que nous n’avons d’autre patrie que l’Algérie ». Il a rappelé que
« l’Algérie s’est dotée d’une législation dont nous pouvons nous
enorgueillir en ce sens qu’elle a permis à notre pays d’occuper une place importante en terme de reconnaissance et de consécration de la liberté
de la presse».« Tous ces acquis, nouvellement instaurés ou formellement confirmés par l’amendement constitutionnel, visent à conforter les étapes positives que nous avons franchies dans la matérialisation sur le terrain
du Code de l’information, notamment l’institution de l’Autorité de
régulation de l’audio-visuel (Arav)», a-t-il ajouté

Lako
03/11/2016, 18h51
Collectivités locales / Vaste mouvement dans le corps des chefs de daïra et de l’administration
Un vaste mouvement dans le corps des chefs de daïras, des directeurs de la réglementation et des affaires générales, des directeurs de l’administration locale et des inspecteurs généraux de wilaya a été opéré, ce jeudi, par le président de la République. Au total, 177 chefs de daïra ont été touchés.


Ce mouvement comprend les décisions de mutation des cadres totalisant une ancienneté supérieure à cinq années dans leurs postes actuels et la promotion de cadres dans les postes vacants, a indiqué le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales dans un communiqué repris par l’APS.


Cette opération comprend la mutation de 177 chefs de daïra et la promotion de 100 cadres en qualité de chef de daïra. Il s’agit également de la mutation de neuf directeurs de la réglementation et des affaires générales (DRAG) et la nomination de huit cadres en qualité de DRAG.


Par ailleurs, onze directeurs de l’administration locale ont été mutés alors que neuf cadres de la même structure ont été promus au poste de directeurs.


Pour ce qui est des inspecteurs généraux de wilayas, le mouvement à touché trois d’entre eux alors que quatre cadres de la même structure ont été promus dans les postes vacants.


Massi M.