soltan009
01/12/2012, 06h29
Le cadavre d'un homme relié au braquage spectaculaire mercredi d'un fourgon dans les Ardennes et retrouvé le lendemain à proximité de l'attaque est "probablement" celui de l'artificier du groupe.
Des témoignages de gens bloqués par l'action établissent que le malfaiteur qui a provoqué l'explosion s'est retrouvé au sol, a indiqué une source judiciaire, alors qu'une source proche du dossier affirme qu'il s'agit de l'artificier du groupe.
Une autopsie pratiquée vendredi devait confirmer le rôle de cet homme qui porte un nom à consonance italienne.
Selon une source proche du dossier, le bulletin du braquage est "nul".
Son mode opératoire, une première en France, avait consisté en la pose d'explosifs dans la chaussée, creusée par les malfaiteurs pour l'occasion. Un câble tendu en travers de la route a déclenché les explosifs au passage du camion sur une route départementale, près de Signy-le-Petit (Ardennes).
Après l'explosion, le fourgon s'est renversé dans un fossé avant de percuter un arbre et les malfrats ont ensuite fait sauter la porte arrière du véhicule à l'aide d'autres explosifs.
Le parquet de Lille devait ouvrir vendredi après-midi une information judiciaire sur ces faits pour "vol en bande organisée avec arme, association de malfaiteurs et destruction par moyen dangereux susceptible d'entraîner une mutilation ou infirmité permanente", selon une source judiciaire.
Ce dernier chef fait référence à la grave blessure à la rate dont a été opéré un des trois convoyeurs blessés lors de l'attaque, mais dont les jours ne sont pas en danger.
Les deux autres convoyeurs ont été moins gravement touchés, l'un ayant été contusionné, l'autre ayant eu une clavicule cassée.
Le parquet de Reims s'est dessaisi de l'affaire jeudi soir au profit de la Jirs (juridiction interrégionale spécialisée) de Lille.
Des témoignages de gens bloqués par l'action établissent que le malfaiteur qui a provoqué l'explosion s'est retrouvé au sol, a indiqué une source judiciaire, alors qu'une source proche du dossier affirme qu'il s'agit de l'artificier du groupe.
Une autopsie pratiquée vendredi devait confirmer le rôle de cet homme qui porte un nom à consonance italienne.
Selon une source proche du dossier, le bulletin du braquage est "nul".
Son mode opératoire, une première en France, avait consisté en la pose d'explosifs dans la chaussée, creusée par les malfaiteurs pour l'occasion. Un câble tendu en travers de la route a déclenché les explosifs au passage du camion sur une route départementale, près de Signy-le-Petit (Ardennes).
Après l'explosion, le fourgon s'est renversé dans un fossé avant de percuter un arbre et les malfrats ont ensuite fait sauter la porte arrière du véhicule à l'aide d'autres explosifs.
Le parquet de Lille devait ouvrir vendredi après-midi une information judiciaire sur ces faits pour "vol en bande organisée avec arme, association de malfaiteurs et destruction par moyen dangereux susceptible d'entraîner une mutilation ou infirmité permanente", selon une source judiciaire.
Ce dernier chef fait référence à la grave blessure à la rate dont a été opéré un des trois convoyeurs blessés lors de l'attaque, mais dont les jours ne sont pas en danger.
Les deux autres convoyeurs ont été moins gravement touchés, l'un ayant été contusionné, l'autre ayant eu une clavicule cassée.
Le parquet de Reims s'est dessaisi de l'affaire jeudi soir au profit de la Jirs (juridiction interrégionale spécialisée) de Lille.