sindbad001
10/11/2013, 12h46
Allah dit :". Et Ayoub, quand il implora son Seigneur: ‹Le mal m'a touché. Mais Toi, tu es le plus miséricordieux des miséricordieux› !. Nous l'exauçâmes, enlevâmes le mal qu'il avait, lui rendîmes les siens et autant qu'eux avec eux, par miséricorde de Notre part et en tant que rappel aux adorateurs".(21/83).
Ce que l'homme ne choisit pas et doit accepter, comme la mort des gens qu'il aime, la perte de sa fortune, la maladie, la perte de la vue etc.. Tout cela nécessite bien entendu une grande patience. Dans ce genre d'épreuves difficiles, il faut patienter et éviter tout excès comme frapper les joues avec la paume de la main, déchirer l'habit que nous portons (comme ce fut l'usage dans la jâhiliyyah), exagérer dans les plaintes et dans la manifestation de la douleur, changer la façon de se vêtir ou de manger car ses éléments dépendent de son choix.
A la mort d'un être cher, il faut éviter ce que nous avons mentionné. Il est humain que les larmes coulent des yeux, que la douleur soit dans le cœur , mais de toute façon il faut accepter la décision d'Allah et Son ordre. Il faut voir que tout ce que nous avons et tout ce qui est dans l'univers appartient à Allah ; ce que nous perdons appartient à Allah et retourne à Lui.
Il a été rapporté que Umm Sulaym, a dit « un de mes fils est mort alors que mon mari Abû Talhah était absent (à l'extérieur de la maison). Quand il revint, je lui ai préparé à manger. Pendant qu'il mangeait, il me demanda « Comment va notre fils ? », je lui répondis : « Il va bien grâce à Allah. Depuis sa maladie, il n'a jamais été aussi bien que ce soir ». Je me suis embellie pour lui de la meilleure façon. Quand il eut assouvit ses désirs en moi, je lui ai alors dit : « N'as tu pas vu ce que nos voisins ont fait ? » Il dit : « Qu'y a-t-il ? ».
Je lui dis « Je leur avais prêté quelque chose, et lorsque je l'ai reprise, ils se sont fâchés. », Abû Talhah dit : « Quelle mauvaise attitude de leur part ! ». Je lui dis « Tel est notre fils, Allah nous l'avait confié et Il l'a repris ». Abû Talhah loua Allah, Lui demanda pardon et partit voir le prophète http://www.mosquee-lyon.org/forum3/Smileys/default/Salla-llah%20allahi%20wa%20salam.gif pour l'en informer. Le prophète http://www.mosquee-lyon.org/forum3/Smileys/default/Salla-llah%20allahi%20wa%20salam.gif lui dit « Ô Allah bénis leur ce qui fût dans leur nuit ». » Celui qui rapporta le Hadîth dit : "Je vis par la suite sept de leurs enfants dans la mosquée, ils avaient tous une bonne connaissance du Coran."
Il est tout à fait humain que des larmes coulent des yeux et que le cœur ressente une douleur et cela ne sort pas la personne du nombre des endurants. D'ailleurs, quand Ibrâhîm, le fils du prophète, mourut , les larmes coulèrent des yeux du prophète. Quand on l'interrogea à ce sujet, il répondit : « c'est une miséricorde et Allah n'englobe dans Sa Miséricorde que ses serviteurs miséricordieux. ». Pleurer n'est pas en contradiction avec la satisfaction de la volonté d'Allah, c'est une manifestation de miséricorde et de sensibilité.
Ce que l'homme ne choisit pas et doit accepter, comme la mort des gens qu'il aime, la perte de sa fortune, la maladie, la perte de la vue etc.. Tout cela nécessite bien entendu une grande patience. Dans ce genre d'épreuves difficiles, il faut patienter et éviter tout excès comme frapper les joues avec la paume de la main, déchirer l'habit que nous portons (comme ce fut l'usage dans la jâhiliyyah), exagérer dans les plaintes et dans la manifestation de la douleur, changer la façon de se vêtir ou de manger car ses éléments dépendent de son choix.
A la mort d'un être cher, il faut éviter ce que nous avons mentionné. Il est humain que les larmes coulent des yeux, que la douleur soit dans le cœur , mais de toute façon il faut accepter la décision d'Allah et Son ordre. Il faut voir que tout ce que nous avons et tout ce qui est dans l'univers appartient à Allah ; ce que nous perdons appartient à Allah et retourne à Lui.
Il a été rapporté que Umm Sulaym, a dit « un de mes fils est mort alors que mon mari Abû Talhah était absent (à l'extérieur de la maison). Quand il revint, je lui ai préparé à manger. Pendant qu'il mangeait, il me demanda « Comment va notre fils ? », je lui répondis : « Il va bien grâce à Allah. Depuis sa maladie, il n'a jamais été aussi bien que ce soir ». Je me suis embellie pour lui de la meilleure façon. Quand il eut assouvit ses désirs en moi, je lui ai alors dit : « N'as tu pas vu ce que nos voisins ont fait ? » Il dit : « Qu'y a-t-il ? ».
Je lui dis « Je leur avais prêté quelque chose, et lorsque je l'ai reprise, ils se sont fâchés. », Abû Talhah dit : « Quelle mauvaise attitude de leur part ! ». Je lui dis « Tel est notre fils, Allah nous l'avait confié et Il l'a repris ». Abû Talhah loua Allah, Lui demanda pardon et partit voir le prophète http://www.mosquee-lyon.org/forum3/Smileys/default/Salla-llah%20allahi%20wa%20salam.gif pour l'en informer. Le prophète http://www.mosquee-lyon.org/forum3/Smileys/default/Salla-llah%20allahi%20wa%20salam.gif lui dit « Ô Allah bénis leur ce qui fût dans leur nuit ». » Celui qui rapporta le Hadîth dit : "Je vis par la suite sept de leurs enfants dans la mosquée, ils avaient tous une bonne connaissance du Coran."
Il est tout à fait humain que des larmes coulent des yeux et que le cœur ressente une douleur et cela ne sort pas la personne du nombre des endurants. D'ailleurs, quand Ibrâhîm, le fils du prophète, mourut , les larmes coulèrent des yeux du prophète. Quand on l'interrogea à ce sujet, il répondit : « c'est une miséricorde et Allah n'englobe dans Sa Miséricorde que ses serviteurs miséricordieux. ». Pleurer n'est pas en contradiction avec la satisfaction de la volonté d'Allah, c'est une manifestation de miséricorde et de sensibilité.