xeres
24/10/2013, 08h47
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En 2013 encore, des supporters russes ont fait preuve d’une immense bêtise en lançant des cris de singe à Yaya Touré, lors de la victoire de Manchester City sur le terrain du CSKA Moscou (1-2), mercredi soir, en Ligue des champions. Le milieu ivoirien en appelle aux instances.
Yaya Touré n’a pas quitté le terrain, mais il condamne fortement. "La haine ou le racisme ne m’affectent pas quand tellement de gens me montrent leur amour et leur soutien au quotidien", a ainsi lancé l’exceptionnel milieu de terrain sur Twitter, jeudi soir, après la victoire de Manchester City sur le terrain du CSKA Moscou (1-2). Durant la partie, l’international ivoirien a été victime de cris de singe venant des tribunes, comme de nombreux autres joueurs africains en Russie ces dernières années, spécialement lors des soirées de Coupe d’Europe.
Le football n'a ni couleur, ni religion, ni frontière
En zone mixte après la rencontre, l’ancien Monégasque a ainsi demandé à l’UEFA d’agir afin de bannir ce genre de comportement dans toute enceinte de foot, même de l’autre côté du Vieux Continent. "Je crois aux institutions du football, je sais que des dirigeants prendront leurs responsabilités et montreront un carton rouge au racisme", a-t-il précisé sur le réseau social, avant de conclure: "Il ne devrait plus y avoir de place dans les stades pour le racisme. Le football n'a ni couleur, ni religion, ni frontière".
La Fifa, actuellement trop occupée à gérer le cas épineux de la Coupe du monde au Qatar, devrait assurément se remettre sur le dossier du racisme. En mars, le président Joseph Blatter avait reçu Kevin-Prince Boateng, qui avait quitté le terrain après des cris racistes d’une partie du public, lors d’un match amical de l’AC Milan contre une équipe de D4 italienne. Faut-il qu’un joueur aussi important que Yaya Touré rentre soudainement aux vestiaires, victime de racisme, pour que les instances réagissent enfin ?
En 2013 encore, des supporters russes ont fait preuve d’une immense bêtise en lançant des cris de singe à Yaya Touré, lors de la victoire de Manchester City sur le terrain du CSKA Moscou (1-2), mercredi soir, en Ligue des champions. Le milieu ivoirien en appelle aux instances.
Yaya Touré n’a pas quitté le terrain, mais il condamne fortement. "La haine ou le racisme ne m’affectent pas quand tellement de gens me montrent leur amour et leur soutien au quotidien", a ainsi lancé l’exceptionnel milieu de terrain sur Twitter, jeudi soir, après la victoire de Manchester City sur le terrain du CSKA Moscou (1-2). Durant la partie, l’international ivoirien a été victime de cris de singe venant des tribunes, comme de nombreux autres joueurs africains en Russie ces dernières années, spécialement lors des soirées de Coupe d’Europe.
Le football n'a ni couleur, ni religion, ni frontière
En zone mixte après la rencontre, l’ancien Monégasque a ainsi demandé à l’UEFA d’agir afin de bannir ce genre de comportement dans toute enceinte de foot, même de l’autre côté du Vieux Continent. "Je crois aux institutions du football, je sais que des dirigeants prendront leurs responsabilités et montreront un carton rouge au racisme", a-t-il précisé sur le réseau social, avant de conclure: "Il ne devrait plus y avoir de place dans les stades pour le racisme. Le football n'a ni couleur, ni religion, ni frontière".
La Fifa, actuellement trop occupée à gérer le cas épineux de la Coupe du monde au Qatar, devrait assurément se remettre sur le dossier du racisme. En mars, le président Joseph Blatter avait reçu Kevin-Prince Boateng, qui avait quitté le terrain après des cris racistes d’une partie du public, lors d’un match amical de l’AC Milan contre une équipe de D4 italienne. Faut-il qu’un joueur aussi important que Yaya Touré rentre soudainement aux vestiaires, victime de racisme, pour que les instances réagissent enfin ?