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Voir la version complète : Alex Fergusson "My Autobiographie" 2eme partie



xeres
23/10/2013, 22h47
http://www.sport.fr/photos/premier-league-ferguson-balance-sur-les-joueurs-325118.jpg
Alex Ferguson se lâche dans sa biographie !
En vente depuis mardi 22 octobre , la biographie de Sir Alex Ferguson contient de nombreuses confidences sur 27 ans de vie tumultueuses dans les couloirs du club le plus titré d’Angleterre, Manchester United. Un livre, et un principe. Le boss des Red Devils se trouvaient sur le banc de touche.


"David Beckham pensait qu'il était plus important qu' Alex Ferguson (http://www.sport.fr/football/alex-ferguson-1163.shtm)"

David Beckham, Roy Keane, Wayne Rooney, tous d’immenses joueurs. Mais tous infiniment plus petits que Sir Alex Ferguson. C’est en tout cas ce que l’entraineur voulait leur faire comprendre. Ils ne ses sont pas pliés au règle ? Ils n’ont plus joué. Le joueur passé par le Paris Saint-Germain avait critiqué le coach à la suite d’une défait contre Arsenal en 2003. Ce qu’il ne savait pas, c’est qu’il venait d’acter son départ. "À la minute où un joueur se pense plus important que son manager, il doit partir, écrit Fergie. David Beckham pensait qu'il était plus important qu'Alex Ferguson" . Ainsi, la star anglaise a prit la direction du Real Madrid (http://www.sport.fr/football/real-madrid-536.shtm) à la fin de la saison.

Roy Keane, même lui n’a pas résisté
Le tempérament de feu de l’Irlandais Roy Keane (http://www.sport.fr/football/roy-keane-1370.shtm) n’a pas non plus résisté. En ce ne sont pas les douze années passées au club qui y ont changé quelque chose écrit Sir Alex. "Il a la langue la plus sauvage que vous pouvez imaginer. Il peut affaiblir la personne la plus confiante du monde en quelques secondes (...) Il pensait être Peter Pan, personne ne l'est" . Là encore, le joueur avait dépassé ses fonction selon lui, en critiquant ouvertement l’équipe dans une interview de la chaine du club. "Si j'avais laissé passer ces critiques, les autres joueurs m'auraient vu différemment. Roy avait dépassé les bornes. Il n'y avait rien d'autre à faire (...) En un sens, le laisser partir était la meilleure chose qui pouvait arriver, parce que beaucoup de joueurs avaient peur de lui ". Le joueurs oui, pas l’Ecossais. Résultat, direction le Celtic Glasgow (http://www.sport.fr/football/celtic-glasgow-1361.shtm) en 2006.

Sévère avec Wayne Rooney, tendre avec Cristiano Ronaldo (http://www.sport.fr/football/cristiano-ronaldo-5241.shtm)
Dans les dernières années de sa carrière, l’entraineur a eu sous sa coupe de nombreux talents sur lesquels il donne un avis tranché. Il décrit un Wayne Rooney (http://www.sport.fr/football/wayne-rooney-6008.shtm) "pas en forme l’an passé et qui est passé pour quelqu’un d’intéressé uniquement pas l’argent suite à ses velléités de départ". Mais s’il y a un joueur dont le manager est fan, c’est Cristiano Ronaldo. A tel point de le placer au niveau de deux monstres de Manchester United (http://www.sport.fr/football/manchester-united-247.shtm). "C'est le joueur le plus doué que j'ai coaché et j'en ai eu beaucoup. Les seuls que je place au même niveau sont Scholes et Giggs, qui ont tellement contribué aux succès de MU durant deux décennies. "