soltan009
06/09/2013, 17h57
Attaque chimique en Syrie : la Grande-Bretagne dit avoir de nouvelles preuves
Dans le sillage de la France, la Grande-Bretagne (http://fr.news.yahoo.com/grande-bretagne/) affirme avoir de nouvelles preuves qu'une attaque chimique a été menée le 21 août dans les faubourgs de Damas, en Syrie (http://fr.news.yahoo.com/syrie/). Des experts du centre de recherche militaire de Porton Down, près de Salisbury, ont analysé des échantillons rapportés de la zone visée, tenue par les rebelles syriens. Ils ont conclu à la présence de sarin, un gaz innervant, a expliqué le Premier ministre britannique, David Cameron, sur BBC TV.
Une motion présentée par le gouvernement britannique sur une intervention militaire en Syrie a été rejetée le 29 août à la Chambre des communes, poussant David Cameron à renoncer à ses projets d'"attaques ciblées" contre le régime de Damas. Le président américain Barack Obama a, pour sa part, demandé l'avis du Congrès avant de lancer une opération contre le régime de Bachar Al-Assad.
"Puisqu'une 'ligne rouge' a été tracée sur l'utilisation d'armes chimiques, je crois vraiment que l'Amérique aurait tort de reculer et de ne rien faire", a estiméDavid Cameron. Cela ne pourrait que conforter Assad et les autres dictateurs dans le monde, estime-t-il.
Dans le sillage de la France, la Grande-Bretagne (http://fr.news.yahoo.com/grande-bretagne/) affirme avoir de nouvelles preuves qu'une attaque chimique a été menée le 21 août dans les faubourgs de Damas, en Syrie (http://fr.news.yahoo.com/syrie/). Des experts du centre de recherche militaire de Porton Down, près de Salisbury, ont analysé des échantillons rapportés de la zone visée, tenue par les rebelles syriens. Ils ont conclu à la présence de sarin, un gaz innervant, a expliqué le Premier ministre britannique, David Cameron, sur BBC TV.
Une motion présentée par le gouvernement britannique sur une intervention militaire en Syrie a été rejetée le 29 août à la Chambre des communes, poussant David Cameron à renoncer à ses projets d'"attaques ciblées" contre le régime de Damas. Le président américain Barack Obama a, pour sa part, demandé l'avis du Congrès avant de lancer une opération contre le régime de Bachar Al-Assad.
"Puisqu'une 'ligne rouge' a été tracée sur l'utilisation d'armes chimiques, je crois vraiment que l'Amérique aurait tort de reculer et de ne rien faire", a estiméDavid Cameron. Cela ne pourrait que conforter Assad et les autres dictateurs dans le monde, estime-t-il.