Mimiche
23/08/2013, 10h11
Le Real a remporté le trophée Santiago-Bernabéu face à Al Sadd (5-0). Raul, qui a joué une mi-temps avec chaque équipe, a reçu une ovation.
http://www.youtube.com/watch?v=SMlNizPA5q4&feature=player_embedded
http://i.eurosport.fr/2013/08/22/1079315-17201195-640-360.jpg
Bernabeu lui a réservé une ovation. Jeudi soir, le public madrilène a fêté comme il se doit son plus célèbre numéro 7. Cristiano Ronaldo (http://www.eurosport.fr/football/cristiano-ronaldo_prs27317/person.shtml) ? Non. Jeudi, le Portugais a prêté sa tunique merengue. Pas à n’importe à qui. Au meilleur buteur de toute l’histoire du Real : Raul. L’espace d’une mi-temps, l’attaquant espagnol a donc reporté les couleurs madrilènes. Et il ne s’est pas fait prier pour inscrire le premier but de ce Trophée Bernabeu, aux allures d’hommage : à la 23e minute, d’un subtil extérieur du pied gauche, il a concrétisé un service d’Angel Di Maria (http://www.eurosport.fr/football/angel-di-maria_prs207555/person.shtml).
A 36 ans, Raul n’a rien perdu de son flair. Celui qui lui avait permis de marquer 323 buts en 741 matches avec le Real, de 1994 à 2010. En seconde période, l’attaquant d’Al Sadd a endossé le maillot qatari, qu’il porte depuis plus d’un an. Ronaldo n’a pas récupéré son numéro 7 pour autant. Il est resté aux vestiaires. Karim Benzema (http://www.eurosport.fr/football/karim-benzema_prs45879/person.shtml) est entré. Pour transformer un penalty généreux (3-0, 79e), vingt-six minutes après le but du break, signé Isco (2-0, 53e). Et avant un doublé de Jesé Rodriguez (http://www.eurosport.fr/football/jese-rodriguez_prs297483/person.shtml) (4-0, 81e ; 5-0, 88e).
A cet instant, Iker Casillas (http://www.eurosport.fr/football/iker-casillas_prs3906/person.shtml) avait de nouveau lâché la cage madrilène. Le gardien espagnol a beau avoir tout gagné avec le Real, il a été sifflé par une partie de Bernabeu, visiblement échaudé par la rumeur l’envoyant au Barça. Comme José Mourinho (http://www.eurosport.fr/football/jose-mourinho_prs25621/person.shtml) la saison dernière, comme Carlo Ancelotti (http://www.eurosport.fr/football/carlo-ancelotti_prs7471/person.shtml), le week-end dernier, face au Betis Séville (http://www.eurosport.fr/football/equipes/betis-seville/teamcenter.shtml), le public madrilène semble avoir fait son choix : il préfère désormais Diego Lopez (http://www.eurosport.fr/football/diego-lopez_prs206669/person.shtml), dont l’échauffement a été ovationné. Les socios merengue ont de la mémoire quand il s’agit d’honorer Raul. Certains, un peu moins au sujet de Casillas, lui aussi un monument du Real. Avant la rencontre, l'atmosphère était plus joyeuse : Casillas avait remis le brassard de capitaine à Raul. Sous l'ovation du Bernabeu.
Source : Eurosport
http://www.youtube.com/watch?v=SMlNizPA5q4&feature=player_embedded
http://i.eurosport.fr/2013/08/22/1079315-17201195-640-360.jpg
Bernabeu lui a réservé une ovation. Jeudi soir, le public madrilène a fêté comme il se doit son plus célèbre numéro 7. Cristiano Ronaldo (http://www.eurosport.fr/football/cristiano-ronaldo_prs27317/person.shtml) ? Non. Jeudi, le Portugais a prêté sa tunique merengue. Pas à n’importe à qui. Au meilleur buteur de toute l’histoire du Real : Raul. L’espace d’une mi-temps, l’attaquant espagnol a donc reporté les couleurs madrilènes. Et il ne s’est pas fait prier pour inscrire le premier but de ce Trophée Bernabeu, aux allures d’hommage : à la 23e minute, d’un subtil extérieur du pied gauche, il a concrétisé un service d’Angel Di Maria (http://www.eurosport.fr/football/angel-di-maria_prs207555/person.shtml).
A 36 ans, Raul n’a rien perdu de son flair. Celui qui lui avait permis de marquer 323 buts en 741 matches avec le Real, de 1994 à 2010. En seconde période, l’attaquant d’Al Sadd a endossé le maillot qatari, qu’il porte depuis plus d’un an. Ronaldo n’a pas récupéré son numéro 7 pour autant. Il est resté aux vestiaires. Karim Benzema (http://www.eurosport.fr/football/karim-benzema_prs45879/person.shtml) est entré. Pour transformer un penalty généreux (3-0, 79e), vingt-six minutes après le but du break, signé Isco (2-0, 53e). Et avant un doublé de Jesé Rodriguez (http://www.eurosport.fr/football/jese-rodriguez_prs297483/person.shtml) (4-0, 81e ; 5-0, 88e).
A cet instant, Iker Casillas (http://www.eurosport.fr/football/iker-casillas_prs3906/person.shtml) avait de nouveau lâché la cage madrilène. Le gardien espagnol a beau avoir tout gagné avec le Real, il a été sifflé par une partie de Bernabeu, visiblement échaudé par la rumeur l’envoyant au Barça. Comme José Mourinho (http://www.eurosport.fr/football/jose-mourinho_prs25621/person.shtml) la saison dernière, comme Carlo Ancelotti (http://www.eurosport.fr/football/carlo-ancelotti_prs7471/person.shtml), le week-end dernier, face au Betis Séville (http://www.eurosport.fr/football/equipes/betis-seville/teamcenter.shtml), le public madrilène semble avoir fait son choix : il préfère désormais Diego Lopez (http://www.eurosport.fr/football/diego-lopez_prs206669/person.shtml), dont l’échauffement a été ovationné. Les socios merengue ont de la mémoire quand il s’agit d’honorer Raul. Certains, un peu moins au sujet de Casillas, lui aussi un monument du Real. Avant la rencontre, l'atmosphère était plus joyeuse : Casillas avait remis le brassard de capitaine à Raul. Sous l'ovation du Bernabeu.
Source : Eurosport