adm1
13/08/2013, 08h44
http://img.radins.net/breve/f9fd5ec4/c141a952/57aa99ef1b590672.jpeg?1376313064 Est-il encore impératif de se fier au nombre d'étoiles pour choisir son hôtel ? Le nouveau classement hôtelier fait table rase du minimum exigé par les clients qui ne sont pas toujours consultés pour connaître leurs besoins.
Quel classement pour quel hôtel ? Selon les nouvelles exigences des clients, le nouveau classement de 2009 à 2012, est plus ou moins pointu. Le comité pour la modernisation de l'hôtellerie, impose de nouvelles règles obligatoires aux hôteliers. Mais, il n'y a pas un système de suivi rigoureux qui accompagne ces exigences.
Grâce à ce critère facultatif, les hôtels peuvent gagner des points. Il suffit de doter son hôtel quelle que soit sa renommée, d'un coffre-fort, d'un billard ou d'un chariot porte-bagages, même s'il n'équipe pas ses chambres de toilettes.
Ce qui rend mécontent les hôteliers dans ces nouvelles obligations, est que le classement qui était autrefois gratuit, est devenu payant, sans que ces cabinets privés en charge du classement ne prennent soin de faire les vérifications nécessaires.
Les conséquences Même si les hôteliers sont de plus en plus contrôlés, et peuvent donc gagner des étoiles tous les 5 ans, cette nouvelle réforme n'est pas synonyme de professionnalisme.
D'après une étude de Coach Omnium réalisée en avril 2012 auprès de 802 clients, « seuls 18 % des clients d'hôtels regardent encore les étoiles pour choisir leur hôtel, contre 64 % en 2009. 52 % des voyageurs pensent que les étoiles ne sont pas fiables. 88 % des clients ne savent pas qui attribue les étoiles. Pour 75 % des particuliers et 86 % des entreprises, le prix est aujourd'hui le principal critère qui guide leurs choix. »
Quel classement pour quel hôtel ? Selon les nouvelles exigences des clients, le nouveau classement de 2009 à 2012, est plus ou moins pointu. Le comité pour la modernisation de l'hôtellerie, impose de nouvelles règles obligatoires aux hôteliers. Mais, il n'y a pas un système de suivi rigoureux qui accompagne ces exigences.
Grâce à ce critère facultatif, les hôtels peuvent gagner des points. Il suffit de doter son hôtel quelle que soit sa renommée, d'un coffre-fort, d'un billard ou d'un chariot porte-bagages, même s'il n'équipe pas ses chambres de toilettes.
Ce qui rend mécontent les hôteliers dans ces nouvelles obligations, est que le classement qui était autrefois gratuit, est devenu payant, sans que ces cabinets privés en charge du classement ne prennent soin de faire les vérifications nécessaires.
Les conséquences Même si les hôteliers sont de plus en plus contrôlés, et peuvent donc gagner des étoiles tous les 5 ans, cette nouvelle réforme n'est pas synonyme de professionnalisme.
D'après une étude de Coach Omnium réalisée en avril 2012 auprès de 802 clients, « seuls 18 % des clients d'hôtels regardent encore les étoiles pour choisir leur hôtel, contre 64 % en 2009. 52 % des voyageurs pensent que les étoiles ne sont pas fiables. 88 % des clients ne savent pas qui attribue les étoiles. Pour 75 % des particuliers et 86 % des entreprises, le prix est aujourd'hui le principal critère qui guide leurs choix. »