morocco
10/07/2013, 18h01
Pamphlet aux ennemis de l’islam
بسم الله الرحمن الرحيم
La vie sur terre est une prison
Dont les barreaux d’orgueils et de passions
Ont été forgés par une humanité obéissant aux illusions du démon
Et depuis la nuit des temps,
L’histoire est un incessant recommencement
de mensonge et de sang.
Aucune leçon n’a été retenue.
Et c’est dans une voie sans issue
Que s’égarent et se perdent les gens
La vérité n’existe pas dans toute l’histoire qu’on nous apprend.
C’est le zéro pointé de la justice camouflée par le 20 sur 20 du vice.
Les masses assaisonnent leur salade selon leur place et leurs caprices.
Avec une morgue orthodoxe,
Le racisme et le totalitarisme nous narguent avec cynisme
Entre info et intox
Naissent des principes et des idéologies d’illusionnistes
Qui feraient vomir n’importe quel réaliste.
Le saladier est aussi dégoûtant que les ingrédients.
Pourtant, il n’est pas nécessaire de porter des lunettes pour en constater la crasse,
Ni de renifler pour en sentir les relents.
Et si fragrance il y a, elle n’est que de façade
Car ce qui se dégage de cette salade,
N’est que la puanteur insoutenable de phraseurs insupportables.
Dans chaque cheptel, des laquais servent le népotisme incurable.
Ces valets, soi-disant libres penseurs, sont en fait de sordides brigueurs de place.
Arrivistes ou monarchistes, ils sont tous unis pour travestir la vérité et désunir les masses.
Amoureux des polémiques et du négoce vorace.
Ils affectionnent tout particulièrement les formules de va-t-en guerre,
Qu’ils sèment à tort et à travers.
Et, on se demande désespéré
Où la colombe de la paix a émigré ?
Tandis que l’araignée venimeuse avec sa langue de serpent peut bien faire la parade
Et se venter d’avoir rempli sa toile de malade.
Elle a pollué nos terres et nos océans de ses slogans empoisonnants.
Elle attrape ses proies avec malice
Par de faux semblants
Et par le vice
Et surtout grâce à l’amour toujours fidèle que l’homme voue à l’argent.
Elle est vieille comme l’histoire des gens,
C’est pourquoi elle connaît les hommes comme sa poche.
Son poison fait mouche avant même que les premiers symptômes nous touchent.
Voilà bien une terre déclarée zone sinistrée.
Quand on tape sur ses pattes pour sauver quelqu’un,
Elle s’accroche sur son voisin.
Voilà l’ennemi déclaré et voilà les victimes indécentes,
Les mêmes que nous décrivait Ionesco dans son Rhinocéros
Comme un attroupement de bêtes féroces.
Des boeufs jobards quand il s’agit d’argent.
Des chiens sautillant d’impatience quand il s’agit d’indécence
D’horreur et de malheur,
Bavant pour un bout de métal qu’il soit d’or ou d’honneur.
Des ânes soumis et admiratifs du voyeurisme.
Entre philosophie païenne et justice terrienne
Entre le corbeau et le renard
Pas d’épilogue à leur histoire
Car, à notre grand désarroi
Ils n’ont de foi
Que pour les couleurs de leur drapeau,
Et nous suivons les yeux hagards
L’honneur utopique dont ils sont accrocs
Mais quelle est cette chimère
Ce rêve éphémère auquel ils aspirent
Et pour lequel tant d’âmes poussent leur dernier soupir
Aussi ne faut-il pas trop s’étonner de les voir
Dépenser des fortunes pour bichonner leur chien
Et mépriser les gens qui sont dans le besoin
Ni de voir
Certaines associations dans les parloirs
Condamnant le cannibalisme d’humains,
Qui sont pourtant obligés de manger du singe pour ne pas mourir de faim.
Voilà ce qui arrive quand le crotale affamé devient plus émouvant que le genre humain.
Une société où tous les maux effrayants de la terre sortent tels des morts vivants ;
La terre a tremblée ;
la mer s’est déchaînée ;
le volcan s’est éventré.
L’ouragan humain a tout emporté.
En fait de drapeau, il s’agit plutôt d’une pièce d’étoffe délavée qui va finir par se trouer
A force de vouloir enlever les taches indélébiles d’une réalité marquée surtout par le sang et les inégalités.
Le soi disante bannière de la fraternité à bien du mal à éclairer
Une société contaminée par la précarité.
Dans leur impertinent impérialisme, certains veulent nous persuader de la pureté de leur société.
Leurs dirigeants veulent nous faire avaler la pilule miracle de leur soit disante modernité,
Guérissant notre désespoir, appelé d’après eux liberté.
Un vrai remède de sorcière.
L’imposture d’âmes obscènes qui se prennent pour des visionnaires.
Ces dirigeants sont-ils vraiment préoccupés par les malheurs d’une humanité
Qui ne sait ni lire ni écrire
Et qui se moquent pas mal de ce que le mot liberté peut vouloir dire
Qui joue sa survie au quotidien
Et dont la nourriture est le vrai besoin.
Pourtant la congrégation des saltimbanques se réunit
Et prétends qu’elle punit
Mais c’est plutôt pour nous rejouer à chaque épisode la même tragicomédie
Elle se donne un brin de crédibilité
En continuant à publier ses conclusions très disputées.
Il faut dire qu’ils ne manquent pas de toupet quand il s’agit de leurs intérêts,
Ils se traitent les uns les autres de responsables pour cacher aux gens la vérité.
Pourquoi cette renommée
Alors qu’ils laissent faire
Ceux qui pratiquent des cancers dans toutes les régions de la terre
Et sont tout heureux de faire de son tiers des assistés !
De leurs fiévreuses déloyautés,
Les injustes seront bientôt châtiés.
Ô musulmans du monde
Vous à qui on a envoyé le message du Roi du monde
Est-ce ces sociétés que vous voulez copier ?
Messieurs, mesdames applaudissons,
Les handicapés mentaux de la raison,
Les pseudo humanistes
Les zéros de la nation.
Ils prétendent avec toute leur décadence et leur violence
Être sur la voie de la décence
Et à la place de donner aux démunis une véritable assistance
Un peu de pain et un logis
Ils égarent les pensées du public
Par leurs slogans antipathiques
Inventés par leur esprit diabolique
Et, nous disent de manière soit disant diplomatique
Munis de preuves énigmatiques :
« Voyez-vous ces musulmans, ces terroristes,
empris à leur passion intégriste. »
Mais, nous ne sommes pas des islamistes
Juste les victimes de leurs injustices
Car nous sommes les héros des nations
En dépit de leurs refus et de leur aberration
Nous sommes les leaders des nations
Nous serons les gagnants
Au jour de la résurrection
La paix sera dans nos cœurs
On nous fera des honneurs
Récompense et fruit de notre labeur
Tandis qu’eux n’auront qu’horreur et malheur
Punis et maudits
Oui, telle sera leur vie
Pour leurs exactions contre les croyants
Leurs injustices et leurs mots blessants
Et au jour du jugement
C’est nous qui les regarderont d’en haut
Alors que nous serons grands et beaux
Nous délectant des délices offerts par le Très haut
Récompense de Dieu
Pour ses serviteurs vertueux
Qui ont cru et lu le coran
Qui ont suivi les ordres de l’Omnipotent
Qui ont prié et jeuné
Enduré leur hostilité et aimé la pureté
Qui ont soutenu le Prophète,
Le probe ; l’honnête
L’islam n’est pas un chantage
C’est un message de partage
L’islam est au contraire
La religion de paix et de lumière
Envoyé à une humanité
Qui est plus que jamais égarée
Noyée dans le vice et l’avarice
Très très loin de l’humanisme
Ô vous, hommes et femmes de bon sens
Ô vous gens doués d’intelligence
Venez accepter l’évidence
Déclarer votre appartenance
A l’Omnipotent, le Tout Puissant
Ne laissez pas vos âmes souffrir dans l’incertitude
Venez découvrir la quiétude
Venez rejoindre le camp des humanistes
Venez rejoindre les musulmans
Ce qui se battent pour la justice
Contre les caprices et les vices
Ceux qui luttent pour la paix
Ceux dont les cœurs sont satisfaits
Par le grand honneur
Et l’énorme bonheur
De vivre avec l’agrément du Seigneur
La religion de Dieu est la nourriture de nos âmes
Notre oriflamme
Notre terre promise
Quoi qu’on en dise
C’est une fortune qu’on a plaisir à partager
Le diamant éclairant l’humanité
De liberté, d’égalité et de fraternité
Paroles de vérité et de prospérité
De notre Seigneur, Très haut et Exalté.
Sajida M. ON SE CALME!!!
بسم الله الرحمن الرحيم
La vie sur terre est une prison
Dont les barreaux d’orgueils et de passions
Ont été forgés par une humanité obéissant aux illusions du démon
Et depuis la nuit des temps,
L’histoire est un incessant recommencement
de mensonge et de sang.
Aucune leçon n’a été retenue.
Et c’est dans une voie sans issue
Que s’égarent et se perdent les gens
La vérité n’existe pas dans toute l’histoire qu’on nous apprend.
C’est le zéro pointé de la justice camouflée par le 20 sur 20 du vice.
Les masses assaisonnent leur salade selon leur place et leurs caprices.
Avec une morgue orthodoxe,
Le racisme et le totalitarisme nous narguent avec cynisme
Entre info et intox
Naissent des principes et des idéologies d’illusionnistes
Qui feraient vomir n’importe quel réaliste.
Le saladier est aussi dégoûtant que les ingrédients.
Pourtant, il n’est pas nécessaire de porter des lunettes pour en constater la crasse,
Ni de renifler pour en sentir les relents.
Et si fragrance il y a, elle n’est que de façade
Car ce qui se dégage de cette salade,
N’est que la puanteur insoutenable de phraseurs insupportables.
Dans chaque cheptel, des laquais servent le népotisme incurable.
Ces valets, soi-disant libres penseurs, sont en fait de sordides brigueurs de place.
Arrivistes ou monarchistes, ils sont tous unis pour travestir la vérité et désunir les masses.
Amoureux des polémiques et du négoce vorace.
Ils affectionnent tout particulièrement les formules de va-t-en guerre,
Qu’ils sèment à tort et à travers.
Et, on se demande désespéré
Où la colombe de la paix a émigré ?
Tandis que l’araignée venimeuse avec sa langue de serpent peut bien faire la parade
Et se venter d’avoir rempli sa toile de malade.
Elle a pollué nos terres et nos océans de ses slogans empoisonnants.
Elle attrape ses proies avec malice
Par de faux semblants
Et par le vice
Et surtout grâce à l’amour toujours fidèle que l’homme voue à l’argent.
Elle est vieille comme l’histoire des gens,
C’est pourquoi elle connaît les hommes comme sa poche.
Son poison fait mouche avant même que les premiers symptômes nous touchent.
Voilà bien une terre déclarée zone sinistrée.
Quand on tape sur ses pattes pour sauver quelqu’un,
Elle s’accroche sur son voisin.
Voilà l’ennemi déclaré et voilà les victimes indécentes,
Les mêmes que nous décrivait Ionesco dans son Rhinocéros
Comme un attroupement de bêtes féroces.
Des boeufs jobards quand il s’agit d’argent.
Des chiens sautillant d’impatience quand il s’agit d’indécence
D’horreur et de malheur,
Bavant pour un bout de métal qu’il soit d’or ou d’honneur.
Des ânes soumis et admiratifs du voyeurisme.
Entre philosophie païenne et justice terrienne
Entre le corbeau et le renard
Pas d’épilogue à leur histoire
Car, à notre grand désarroi
Ils n’ont de foi
Que pour les couleurs de leur drapeau,
Et nous suivons les yeux hagards
L’honneur utopique dont ils sont accrocs
Mais quelle est cette chimère
Ce rêve éphémère auquel ils aspirent
Et pour lequel tant d’âmes poussent leur dernier soupir
Aussi ne faut-il pas trop s’étonner de les voir
Dépenser des fortunes pour bichonner leur chien
Et mépriser les gens qui sont dans le besoin
Ni de voir
Certaines associations dans les parloirs
Condamnant le cannibalisme d’humains,
Qui sont pourtant obligés de manger du singe pour ne pas mourir de faim.
Voilà ce qui arrive quand le crotale affamé devient plus émouvant que le genre humain.
Une société où tous les maux effrayants de la terre sortent tels des morts vivants ;
La terre a tremblée ;
la mer s’est déchaînée ;
le volcan s’est éventré.
L’ouragan humain a tout emporté.
En fait de drapeau, il s’agit plutôt d’une pièce d’étoffe délavée qui va finir par se trouer
A force de vouloir enlever les taches indélébiles d’une réalité marquée surtout par le sang et les inégalités.
Le soi disante bannière de la fraternité à bien du mal à éclairer
Une société contaminée par la précarité.
Dans leur impertinent impérialisme, certains veulent nous persuader de la pureté de leur société.
Leurs dirigeants veulent nous faire avaler la pilule miracle de leur soit disante modernité,
Guérissant notre désespoir, appelé d’après eux liberté.
Un vrai remède de sorcière.
L’imposture d’âmes obscènes qui se prennent pour des visionnaires.
Ces dirigeants sont-ils vraiment préoccupés par les malheurs d’une humanité
Qui ne sait ni lire ni écrire
Et qui se moquent pas mal de ce que le mot liberté peut vouloir dire
Qui joue sa survie au quotidien
Et dont la nourriture est le vrai besoin.
Pourtant la congrégation des saltimbanques se réunit
Et prétends qu’elle punit
Mais c’est plutôt pour nous rejouer à chaque épisode la même tragicomédie
Elle se donne un brin de crédibilité
En continuant à publier ses conclusions très disputées.
Il faut dire qu’ils ne manquent pas de toupet quand il s’agit de leurs intérêts,
Ils se traitent les uns les autres de responsables pour cacher aux gens la vérité.
Pourquoi cette renommée
Alors qu’ils laissent faire
Ceux qui pratiquent des cancers dans toutes les régions de la terre
Et sont tout heureux de faire de son tiers des assistés !
De leurs fiévreuses déloyautés,
Les injustes seront bientôt châtiés.
Ô musulmans du monde
Vous à qui on a envoyé le message du Roi du monde
Est-ce ces sociétés que vous voulez copier ?
Messieurs, mesdames applaudissons,
Les handicapés mentaux de la raison,
Les pseudo humanistes
Les zéros de la nation.
Ils prétendent avec toute leur décadence et leur violence
Être sur la voie de la décence
Et à la place de donner aux démunis une véritable assistance
Un peu de pain et un logis
Ils égarent les pensées du public
Par leurs slogans antipathiques
Inventés par leur esprit diabolique
Et, nous disent de manière soit disant diplomatique
Munis de preuves énigmatiques :
« Voyez-vous ces musulmans, ces terroristes,
empris à leur passion intégriste. »
Mais, nous ne sommes pas des islamistes
Juste les victimes de leurs injustices
Car nous sommes les héros des nations
En dépit de leurs refus et de leur aberration
Nous sommes les leaders des nations
Nous serons les gagnants
Au jour de la résurrection
La paix sera dans nos cœurs
On nous fera des honneurs
Récompense et fruit de notre labeur
Tandis qu’eux n’auront qu’horreur et malheur
Punis et maudits
Oui, telle sera leur vie
Pour leurs exactions contre les croyants
Leurs injustices et leurs mots blessants
Et au jour du jugement
C’est nous qui les regarderont d’en haut
Alors que nous serons grands et beaux
Nous délectant des délices offerts par le Très haut
Récompense de Dieu
Pour ses serviteurs vertueux
Qui ont cru et lu le coran
Qui ont suivi les ordres de l’Omnipotent
Qui ont prié et jeuné
Enduré leur hostilité et aimé la pureté
Qui ont soutenu le Prophète,
Le probe ; l’honnête
L’islam n’est pas un chantage
C’est un message de partage
L’islam est au contraire
La religion de paix et de lumière
Envoyé à une humanité
Qui est plus que jamais égarée
Noyée dans le vice et l’avarice
Très très loin de l’humanisme
Ô vous, hommes et femmes de bon sens
Ô vous gens doués d’intelligence
Venez accepter l’évidence
Déclarer votre appartenance
A l’Omnipotent, le Tout Puissant
Ne laissez pas vos âmes souffrir dans l’incertitude
Venez découvrir la quiétude
Venez rejoindre le camp des humanistes
Venez rejoindre les musulmans
Ce qui se battent pour la justice
Contre les caprices et les vices
Ceux qui luttent pour la paix
Ceux dont les cœurs sont satisfaits
Par le grand honneur
Et l’énorme bonheur
De vivre avec l’agrément du Seigneur
La religion de Dieu est la nourriture de nos âmes
Notre oriflamme
Notre terre promise
Quoi qu’on en dise
C’est une fortune qu’on a plaisir à partager
Le diamant éclairant l’humanité
De liberté, d’égalité et de fraternité
Paroles de vérité et de prospérité
De notre Seigneur, Très haut et Exalté.
Sajida M. ON SE CALME!!!