soltan009
30/06/2013, 16h36
Nouvelle polémique Brésil-FIFALa Coupe des Confédérations aura décidément été l'occasion de montrer que le Brésil n'est pas prêt à tout pour organiser une Coupe du Monde chez lui.
Très fortement critiqué par bon nombre de Brésiliens, le gouvernement brésilien est sous pression (http://www.sofoot.com/l-autre-match-des-bresiliens-170805.html) depuis le début de la compétition. Sifflée lors du match inaugural Brésil-Japon, la présidente Dilma Roussef a décidé de ne pas assister à la finale Brésil-Espagne ce soir au Maracanã de Rio de Janeiro. Une décision surprenante qui fait grincer des dents du côté de la FIFA.
« Apparemment, quand les choses vont bien, le Brésil veut utiliser la Coupe pour sa publicité, mais quand ça ne marche pas ou qu'il y a une crise, ils veulent tous se détacher du football », a déclaré un membre du comité exécutif de la FIFA sous couvert d'anonymat.
Alors que plus de 100 000 manifestants sont attendus ce soir aux abords du stade pour protester contre le « processus de privatisation et d'élitisation du Maracanã » et contre la démolition d'infrastructures existantes au profit du Mondial et des Jeux Olympiques de 2016, Dilma Roussef a suivi l'avis de ses conseillers réticents à exposer la dirigeante à une nouvelle bordée de huées.
Très fortement critiqué par bon nombre de Brésiliens, le gouvernement brésilien est sous pression (http://www.sofoot.com/l-autre-match-des-bresiliens-170805.html) depuis le début de la compétition. Sifflée lors du match inaugural Brésil-Japon, la présidente Dilma Roussef a décidé de ne pas assister à la finale Brésil-Espagne ce soir au Maracanã de Rio de Janeiro. Une décision surprenante qui fait grincer des dents du côté de la FIFA.
« Apparemment, quand les choses vont bien, le Brésil veut utiliser la Coupe pour sa publicité, mais quand ça ne marche pas ou qu'il y a une crise, ils veulent tous se détacher du football », a déclaré un membre du comité exécutif de la FIFA sous couvert d'anonymat.
Alors que plus de 100 000 manifestants sont attendus ce soir aux abords du stade pour protester contre le « processus de privatisation et d'élitisation du Maracanã » et contre la démolition d'infrastructures existantes au profit du Mondial et des Jeux Olympiques de 2016, Dilma Roussef a suivi l'avis de ses conseillers réticents à exposer la dirigeante à une nouvelle bordée de huées.