soltan009
29/06/2013, 20h39
Coupe des Confédérations - Neymar : "L'Espagne est la meilleure sélection du monde"Neymar (Brésil), qui a marqué la Coupe des Confédérations de son empreinte, se réjouit de se mesurer à l'armada espagnole, dimanche au Maracana.http://l3.yimg.com/bt/api/res/1.2/qsFpiYJ.mASmRxZybTMYKQ--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9MzYwO2NyPTE7Y3c9NjQwO2R4PTA7ZH k9MDtmaT11bGNyb3A7aD0zNTU7cT04NTt3PTYzMA--/http://media.zenfs.com/fr_FR/Sports/Eurosport/1035707-16668704-640-360.jpg
Comment imaginez-vous cette finale, Brésil-Espagne au Maracana ?
NEYMAR : Cela va être un match merveilleux. C'est la finale que tout le monde attendait, les joueurs, mais aussi vous les journalistes. On adore disputer ce genre de matches. Une finale entre deux sélections traditionnelles, ça va être génial.
Comment allez-vous gérer la pression d'une finale à la maison ?
N. : Il y aura un peu d'anxiété mais j'ai hâte d'y être. Dès la fin de la demi-finale, quand j'ai vu que l'Espagne s'était qualifiée, j'ai dit à Thiago Silva : "Allez, on va jouer !" Le plus dur c'est d'attendre. Tout le monde va regarder ce match, ça va être un moment fabuleux.
Pour le moment, tout s'est bien passé pour vous lors de ce tournoi…
N. : Oui je viens de vivre des moments fabuleux. En dehors du terrain on s'éclate et sur le terrain c'est encore mieux. En plus de tout ça, on a trouvé notre 12e homme et on ressent une vraie fusion avec notre public. Que voulez-vous qu'on demande de plus ?
Comment cela va-t-il se passer avec vos futurs coéquipiers du Barça ?
N. : Avec le plus grand respect. Vous savez j'aime beaucoup Iniesta, Xavi, Pedro, mais aussi Sergio Ramos, tous les joueurs de la sélection espagnole en fait, mais j'admire aussi ceux qui sont de mon côté. C'est bizarre de dire ça mais j'ai toujours été fan de Thiago Silva, de Fred, je le voyais marquer beaucoup de buts quand j'étais petit…Je les admire tous ici et c'est incroyable d'être au milieu de ces idoles et de jouer avec eux.
Le Brésil est-il capable de renverser l'invincible armada espagnole ?
N. : Aujourd'hui, l'Espagne est la meilleure sélection du monde, on le sait, on le respecte. Ce sont eux les favoris, mais comme j'ai dit il fait qu'on joue notre football, en les respectant mais aussi en pratiquant notre style de jeu, en allant de l'avant, en dribblant, en prenant des risques, il faut qu'on joue comme à l'entraînement. On ne doit pas avoir peur de prendre des risques.
C'est sans doute votre dernier match à la maison avant un bon moment…
N. : (Il marque une pause) Ah oui, c'est vrai je n'y avais pas pensé. J'avais déjà ressenti une énorme émotion lors de mon dernier match avec Santos. Je n'avais pas su contenir mes larmes. On verra ce qui va se passer dimanche.
La fatigue peut-elle jouer un rôle dans cette finale ?
N. : On connait l'importance de ce match; il n'y a pas de fatigue dans une finale, il faut aller au bout, aux limites, il faut se montrer intelligent, ça va être un grand match pour tous; pas seulement pour les joueurs mais aussi et principalement pour ceux qui vont assister au match.
Quel est le moment le plus marquant pour vous au cours de ce tournoi ?
N. : (Il réfléchit). Sans doute le premier but. C'était un beau but et j'ai fait taire les petits commentaires qui disaient que je ne marquais plus et tout ça (sourire en coin).
Quel regard portez-vous sur les manifestations qui secouent le pays ?
N. : Nous appuyons les manifestations à partir du moment où elles sont pacifiques, sans violence, sans vandalisme. Pour un Brésil meilleur, tout est possible, tout est permis. Pour que le Brésil se sente mieux, nous on joue au football pour que les gens retrouvent le sourire.
Comment imaginez-vous cette finale, Brésil-Espagne au Maracana ?
NEYMAR : Cela va être un match merveilleux. C'est la finale que tout le monde attendait, les joueurs, mais aussi vous les journalistes. On adore disputer ce genre de matches. Une finale entre deux sélections traditionnelles, ça va être génial.
Comment allez-vous gérer la pression d'une finale à la maison ?
N. : Il y aura un peu d'anxiété mais j'ai hâte d'y être. Dès la fin de la demi-finale, quand j'ai vu que l'Espagne s'était qualifiée, j'ai dit à Thiago Silva : "Allez, on va jouer !" Le plus dur c'est d'attendre. Tout le monde va regarder ce match, ça va être un moment fabuleux.
Pour le moment, tout s'est bien passé pour vous lors de ce tournoi…
N. : Oui je viens de vivre des moments fabuleux. En dehors du terrain on s'éclate et sur le terrain c'est encore mieux. En plus de tout ça, on a trouvé notre 12e homme et on ressent une vraie fusion avec notre public. Que voulez-vous qu'on demande de plus ?
Comment cela va-t-il se passer avec vos futurs coéquipiers du Barça ?
N. : Avec le plus grand respect. Vous savez j'aime beaucoup Iniesta, Xavi, Pedro, mais aussi Sergio Ramos, tous les joueurs de la sélection espagnole en fait, mais j'admire aussi ceux qui sont de mon côté. C'est bizarre de dire ça mais j'ai toujours été fan de Thiago Silva, de Fred, je le voyais marquer beaucoup de buts quand j'étais petit…Je les admire tous ici et c'est incroyable d'être au milieu de ces idoles et de jouer avec eux.
Le Brésil est-il capable de renverser l'invincible armada espagnole ?
N. : Aujourd'hui, l'Espagne est la meilleure sélection du monde, on le sait, on le respecte. Ce sont eux les favoris, mais comme j'ai dit il fait qu'on joue notre football, en les respectant mais aussi en pratiquant notre style de jeu, en allant de l'avant, en dribblant, en prenant des risques, il faut qu'on joue comme à l'entraînement. On ne doit pas avoir peur de prendre des risques.
C'est sans doute votre dernier match à la maison avant un bon moment…
N. : (Il marque une pause) Ah oui, c'est vrai je n'y avais pas pensé. J'avais déjà ressenti une énorme émotion lors de mon dernier match avec Santos. Je n'avais pas su contenir mes larmes. On verra ce qui va se passer dimanche.
La fatigue peut-elle jouer un rôle dans cette finale ?
N. : On connait l'importance de ce match; il n'y a pas de fatigue dans une finale, il faut aller au bout, aux limites, il faut se montrer intelligent, ça va être un grand match pour tous; pas seulement pour les joueurs mais aussi et principalement pour ceux qui vont assister au match.
Quel est le moment le plus marquant pour vous au cours de ce tournoi ?
N. : (Il réfléchit). Sans doute le premier but. C'était un beau but et j'ai fait taire les petits commentaires qui disaient que je ne marquais plus et tout ça (sourire en coin).
Quel regard portez-vous sur les manifestations qui secouent le pays ?
N. : Nous appuyons les manifestations à partir du moment où elles sont pacifiques, sans violence, sans vandalisme. Pour un Brésil meilleur, tout est possible, tout est permis. Pour que le Brésil se sente mieux, nous on joue au football pour que les gens retrouvent le sourire.