soltan009
19/06/2013, 17h16
Real Madrid, Ancelotti : quand les impôts s'en mêlenthttp://l1.yimg.com/bt/api/res/1.2/AYNoeICgjiBi778DLuq4Kw--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Zmk9aW5zZXQ7aD0yODg7cT04NTt3PTUxMg--/http://media.zenfs.com/fr_FR/Sports/FootMercato/ancelotti-dit-patienter_108100.jpg
Attendu à Madrid, Carlo Ancelotti ne pourrait pas être officiellement présenté dans les prochains jours. Pour des raisons fiscales.
Il est attendu au Real Madrid comme un messie. Mais Carlo Ancelotti est encore loin d'avoir atterri à l'aéroport de Barajas. Pourquoi alors que sa signature est annoncée comme imminente ? L'émission Punto Pelota croit savoir que c'est la législation fiscale espagnole qui oblige la Casa Blanca à retarder l'officialisation du transfert de l'Italien dans la capitale ibérique.
En effet, selon la loi, si un citoyen vit plus de 183 jours au pays de Cervantes durant l'année civile, il devient résident fiscal espagnol et se trouve donc soumis à la règle des 52% d'impôts. En revanche, une personne comptabilisant moins de 183 jours passés sur le sol espagnol ne paie que 25% d'impôts. Ainsi, Punto Pelota indique qu'il faudra qu'Ancelotti attende le 3 juillet pour parapher son bail et échapper ainsi aux 52%.
Retenu par le Paris Saint-Germain depuis plusieurs semaines, Ancelotti, qui est tombé d'accord avec le Real Madrid, ne rechignera sans doute pas à patienter encore quelques jours. Mais en attendant, le Transalpin se souviendra longtemps de son été 2013. Et encore. Sans nomination d'un nouveau coach, Paris peut-il jouer un nouveau mauvais tour à son entraîneur ?
Attendu à Madrid, Carlo Ancelotti ne pourrait pas être officiellement présenté dans les prochains jours. Pour des raisons fiscales.
Il est attendu au Real Madrid comme un messie. Mais Carlo Ancelotti est encore loin d'avoir atterri à l'aéroport de Barajas. Pourquoi alors que sa signature est annoncée comme imminente ? L'émission Punto Pelota croit savoir que c'est la législation fiscale espagnole qui oblige la Casa Blanca à retarder l'officialisation du transfert de l'Italien dans la capitale ibérique.
En effet, selon la loi, si un citoyen vit plus de 183 jours au pays de Cervantes durant l'année civile, il devient résident fiscal espagnol et se trouve donc soumis à la règle des 52% d'impôts. En revanche, une personne comptabilisant moins de 183 jours passés sur le sol espagnol ne paie que 25% d'impôts. Ainsi, Punto Pelota indique qu'il faudra qu'Ancelotti attende le 3 juillet pour parapher son bail et échapper ainsi aux 52%.
Retenu par le Paris Saint-Germain depuis plusieurs semaines, Ancelotti, qui est tombé d'accord avec le Real Madrid, ne rechignera sans doute pas à patienter encore quelques jours. Mais en attendant, le Transalpin se souviendra longtemps de son été 2013. Et encore. Sans nomination d'un nouveau coach, Paris peut-il jouer un nouveau mauvais tour à son entraîneur ?