västerås
18/06/2013, 06h22
Extrait du livre de Melanie Georgiades (Diam’s) :
[...] "Je m’intéressais particulièrement à la vie du Prophète Mouhammad ﷺ. Sa vie montrait qu’il avait un coeur si bon et loyal que tous l’aimaient, le respectaient, et ce, avant même que Dieu ne le désigne Prophète à l’âge de 40 ans. Même ceux qui allaient être ses ennemis par la suite le considéraient ainsi.
Il était simple, généreux, modeste et accessible, pieux, véridique, patient, pardonneur et doux avec tous, femmes et enfants notamment. Dans sa dernière recommandation avant de mourir, il incitait à être bon avec les femmes et avait même dit une fois : « Je commence quelquefois la prière (en groupe) avec l’intention de la prolonger mais, entendant les pleurs d’un petit enfant, je l’allège, car je sais que ses cris tourmentent la mère. »
Il montrait aussi l’importance des liens familiaux et notamment de la place des parents, et surtout de la mère, et ses compagnons avaient compris de lui qu’aucune oeuvre ne rapproche plus de Dieu que la bienfaisance envers elle. Il enjoignait aussi au bon voisinage. En fait, je n’aurais jamais imaginé tant de sagesse chez un seul homme.
Il disait même que fait partie de la foi d’ôter ce qui gêne le passage sur une route. Oui, je sentais que la piété allait me changer en bien si je m’attachais à un tel homme, à un tel exemple. D’autant que Mouhammed ﷺ refusait de courir derrière la vie douce et luxueuse, le pouvoir te la renommée, il n’avait ni palais ni richesse, seulement la richesse intérieure. Il disait : « La richesse n’est pas l’amas des biens, la richesse, c’est celle de l’âme. »
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[...] "Je m’intéressais particulièrement à la vie du Prophète Mouhammad ﷺ. Sa vie montrait qu’il avait un coeur si bon et loyal que tous l’aimaient, le respectaient, et ce, avant même que Dieu ne le désigne Prophète à l’âge de 40 ans. Même ceux qui allaient être ses ennemis par la suite le considéraient ainsi.
Il était simple, généreux, modeste et accessible, pieux, véridique, patient, pardonneur et doux avec tous, femmes et enfants notamment. Dans sa dernière recommandation avant de mourir, il incitait à être bon avec les femmes et avait même dit une fois : « Je commence quelquefois la prière (en groupe) avec l’intention de la prolonger mais, entendant les pleurs d’un petit enfant, je l’allège, car je sais que ses cris tourmentent la mère. »
Il montrait aussi l’importance des liens familiaux et notamment de la place des parents, et surtout de la mère, et ses compagnons avaient compris de lui qu’aucune oeuvre ne rapproche plus de Dieu que la bienfaisance envers elle. Il enjoignait aussi au bon voisinage. En fait, je n’aurais jamais imaginé tant de sagesse chez un seul homme.
Il disait même que fait partie de la foi d’ôter ce qui gêne le passage sur une route. Oui, je sentais que la piété allait me changer en bien si je m’attachais à un tel homme, à un tel exemple. D’autant que Mouhammed ﷺ refusait de courir derrière la vie douce et luxueuse, le pouvoir te la renommée, il n’avait ni palais ni richesse, seulement la richesse intérieure. Il disait : « La richesse n’est pas l’amas des biens, la richesse, c’est celle de l’âme. »
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