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soltan009
31/05/2013, 23h07
Coupe de France - Finale champagne, finale pour Bordeaux

Bordeaux a battu Evian-TG sur le fil après une belle finale (3-2) et s’offre sa quatrième Coupe de France. Sa première depuis 1987 grâce notamment à Cheick Diabaté. Les Girondins joueront la Ligue Europa.

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Sujet déplacé.

chenoui70
21/01/2016, 19h52
Huitièmes de finale, résultat du tirage au sort_21/01/2016 à 20h39

Un choc PSG-Lyon en 8es de finale !


http://s3.static-footeo.com/uploads/bouvignyfc/gallery/701-395px-logo-coupe-de-france-de-football2-612x459-75sasi-mao16j__mxlv7j.png
Le tirage au sort des huitièmes de finale de la Coupe de France a eu lieu ce jeudi.



Voici les résultats :

US Saint-Malo (CFA) – GFC Ajaccio (L1)
US Sarre-Union (CFA) – Lorient (L1)
Paris Saint-Germain (L1) – Olympique Lyonnais (L1)
Us Granville (CFA 2) ou Sarreguemines (CFA 2) – Bourg-en-Bresse (L2)
Troyes (L1) – AS Saint-Etienne (L1) ou AC Ajaccio (L2)
Trélissac (CFA) – Marseille (L1)
FC Sochaux (L2) – AS Monaco (L1)
Girondins de Bordeaux (L1) – FC Nantes (L1)

ironman
27/01/2016, 08h42
Joli vainqueur de Bordeaux (5-1), Lille jouera une finale de Coupe de la Ligue pour la première fois de son histoire. Ce sera contre le PSG ou Toulouse, qui s'affrontent mercredi soir.

http://medias.lequipe.fr/img-photo-jpg/obbadi-mounir-sidibe-djibril-soumaoro-adama-amadou-ibrahim-civelli-renato/1500000000642930/240:474,1855:1287-665-335-70/9f7b9.jpg



Le match : 5-1

Humiliés par Troyes à domicile il y a trois jours en L1 (1-3), les Lillois voulaient se racheter en se qualifiant pour la première finale de Coupe de la Ligue de leur histoire. Avec mordant, les Dogues ont réussi leur mission en s’imposant logiquement devant Bordeaux au terme d’un joli match (5-1 (http://www.lequipe.fr/Football/match/361799)). D’habitude maladroits offensivement, les hommes de Frédéric Antonetti ont fait le spectacle. Après 56 minutes, ils avaient déjà inscrit quatre buts, soit autant que lors des six derniers matches ! En fin de match, Tallo a pris le meilleur sur plusieurs adversaires avant de décaler Boufal qui a piqué son ballon par-dessus le gardien adverse. Invaincus depuis deux mois, les Girondins sont tombés lourdement, plombés par Prior et Sané (voir par ailleurs). Ils ne disputeront pas leur septième finale dans cette compétition.
Un homme : Prior n'a pas assuré

Carasso étant indisponible jusqu’à la fin de la saison pour cause de blessure, Jérôme Prior a fêté sa huitième titularisation de la saison toutes compétitions confondues à Lille. Mais le vainqueur de la Gambardella 2013 est passé au travers. S’il a gagné un duel à la 37e devant R.Lopes, il a manqué tout le reste. Mauvaise sortie à la 4e, mésentente avec Contento à la 7e amenant le but de Benzia (1-0), mauvais contrôle devant l’ancien Lyonnais à la 14e… Il aurait sûrement pu mieux faire sur le lob involontaire de son défenseur Sané à la 41e (4-1).
Le fait : Sané, l'entrée manquée

Son équipe étant totalement dépassée lors des vingt premières minutes, Willy Sagnol a décidé de la réorganiser dès la 25e : il a sorti Poko et fait entrer Sané. Ce dernier s’est installé dans l’axe de la défense et Guilbert a glissé à droite. Mais Sané, tout proche d’un départ vers l’Angleterre il y a dix jours, n’a pas vraiment aidé les Girondins. Au duel avec Lopes, il a taclé le ballon vers son but et a lobé son gardien juste avant la pause pour redonner l’avantage aux Lillois (2-1). A la 56e, il a été trop passif et a été devancé par Bauthéac qui a mis le 4e but local d’une talonnade. Il a été fébrile tout le reste de la rencontre.


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Sujet fusionné.

ironman
23/04/2016, 22h15
http://rd.llb.be/image/5d/571be2f035708ea2d4d4db5d.jpg

Le PSG, double tenant du trophée, a remporté sa 6e Coupe de la Ligue en battant Lille 2 à 1 (mi-temps: 1-0) en finale, samedi, au Stade de France.
Réduit à dix après l'exclusion d'Adrien Rabiot (69e), le PSG avait ouvert la marque par Javier Pastore (40e) et c'est Angel Di Maria qui a marqué le but de la victoire des quadruples champions de France en titre (75e). Lille avait égalisé par Djibril Sidibé (49e).

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[COLOR=#336699][FONT=courier new]Sujet fusionné.

DRUM8
20/05/2016, 14h07
HELLO ; Samedi 21 grande affiche finale de la coupe de france OM // PSG 2378123782
2 équipes de prestige dommage que l OM a était mal "géré" une Victoire serai espoirs pour la saison prochaine ; une grande fête a la Canebière
23783 et sur le vieux PORT



Sujet déplacé et fusionné.

zadhand
21/05/2016, 22h43
Une dixième Coupe de France et un nouveau quadruplé

23816

LE MONDE| Par Abel Mestre
Mis à jour le 21.05.2016 à 22h22


Le triomphe du PSG est total
Ibrahimovic (et le PSG) remportent la Coupe de France

23815

Face à son meilleur ennemi, le PSG a conclu la saison par un nouveau sacre.
Vainqueur de l'OM au Stade de France (4-2), le club de la capitale a remporté
sa 10e Coupe de France et rejoint ainsi Marseille, qui détenait ce record seul.
Les Parisiens réussissent également leur deuxième quadruplé de suite et ont
plus que jamais la main sur le football français. Zlatan a signé un doublé pour sa der'.
Il trépignait. Il pestait. Il râlait. Pendant la première période de la finale de la Coupe de
France face à l’Olympique de Marseille au Stade de France, Zlatan Ibrahimovic n’était
pas content et le montrait. Sevré de ballons grâce à un pressing adverse haut et efficace,
le Suédois était transparent pour son dernier match sous les couleurs parisiennes.
Jusqu’à cette faute de Nicolas Nkoulou dans sa surface sur Blaise Matuidi à la 46e minute.
L’arbitre, Clément Turpin, sifflait pénalty. Le numéro 10 parisien se chargeait alors de
le transformer en trompant Steve Mandanda d’un contrepied parfait à ras du sol,
permettant à son équipe de mener au score (2-1).
Dix minutes après, Ibrahimovic offrait à Edinson Cavani le troisième but parisien.
Après un bon pressing de Rabiot sur Isla, Di Maria servait Ibrahimovic plein axe.
L’attaquant, qui avait senti l’appel de Cavani sur sa droite, relayait à l’Uruguayen
invisible jusqu’alors - qui marque d’un plat du pied rasant. Le break était fait.
Flottement de la défense
Pourtant, Marseille avait réussi pendant la première mi-temps à faire déjouer le PSG.
Peu importe si Blaise Matuidi avait ouvert très rapidement le score (3e minute) grâce
à un centre tendu d’Angel di Maria après un débordement sur l’aile droite. Profitant du
flottement de la défense marseillaise en général et de Karim Rekik en particulier,
le tricolore n’avait aucun mal à reprendre au premier poteau le ballon de l’Argentin.
Les hommes de Franck Passi se ressaisissaient pourtant très rapidement et multipliaient
les attaques, dominant même un milieu de terrain parisien laborieux en l’absence des
Italiens Marco Verratti et Thiago Motta.C’est Florian Thauvin qui trouva la faille à la 12e minute.
Après avoir récupéré le ballon dans l’axe droit à vingt-deux mètres, le milieu contrôlait et
enchaînait avec une frappe à ras-de-terre, légèrement déviée par un tacle parisien.
Salvatore Sirigu était battu (1-1).
Doublé
Peut-être un peu trop sûrs d’eux, les Parisiens étaient cueillis à froid et n’arrivaient pas à
prendre le jeu à leur compte. Les Marseillais, eux continuaient sur leur lancée offensive
jusqu’à la fin de la première période.Après la pause, un tout autre match commençait.
Les quadruples champions de France, boostés par les deux buts d’Ibrahimovic et Cavani,
haussaient - enfin - leur niveau de jeu. Les Marseillais, eux, paraissaient KO, multipliant
les fautes. Et la sortie sur blessure de leur meilleur joueur samedi soir, Florian Thauvin,
n’allait rien arranger...Quelques secondes plus tard, Zlatan Ibrahimovic s’offrait un doublé (83e).
Servi idéalement par un Matuidi qui aura été étincelant de bout en bout, le numéro 10 disposait
facilement de la défense marseillaise d’un tir croisé.
Dans un dernier baroud d’honneur, les Marseillais tentaient le tout pour le tout et réduisaient
le score à 4-2, grâce à Michy Batshuayi à la 87e bien aidés par des Parisiens qui semblaient
déjà être dans l’après-match.On peut les comprendre. L’essentiel n’était plus là. Tout le Stade
de France n’attendait qu’une chose : la sortie de l’artiste. Ibrahimovic sortait sous les
applaudissements des 80 000 spectateurs.

Abel Mestre