xeres
19/04/2013, 07h30
Victimes d'un braquage à l'arme blanche, les employées d'une maison close de Dodo la Saumure, inculpé dans l'affaire de proxénétisme du Carlton, ont fait preuve d'un certain courage en tentant de se défendre avec... les moyens du bord.
Les sextoys, objets de plaisir? Pas toujours, comme le raconte Nord Eclair (http://www.nordeclair.fr/info-locale/braquage-dans-un-salon-de-dodo-la-saumure-jna60b0n194937). Mercredi matin, à Tournai, en Belgique les employées de l'Institut Béa, cet établissement dédié à la luxure et qui appartient au désormais célèbre Dodo la Saumure, connu pour être soupçonné d'avoir fourni des prostituées à DSK pour des parties fines (http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/12/97001-20130212FILWWW00496-info-le-figaro-confrontation-dodo-la-saumurerene-kojfer-vendredi.php), l'ont démontré.
Mercredi matin, il est 11h45. Une heure plutôt creuse pour les trois employées de l'institut Béa. Dans l'attente de clients, elles laissent la porte ouverte et discutent entre elles. Un jeune homme, de corpulence moyenne, entre alors dans l'établissement. Mais, mauvaise surprise pour les demoiselles, l'homme en question n'a pas l'intention de faire appel à leurs charmes. C'est le tiroir-caisse qui l'intéresse. Il est armé d'un couteau et de mauvaises intentions. Panique à bord quelques secondes.
Les trois employées ne cèdent pas à la panique. L'une d'entre elles le menace... avec la première arme qui lui tombe entre les mains: un godemiché. Ses amies font de même. La technique d'un genre inédit a le mérite d'être efficace. Le braqueur a pris ses jambes à son cou, avec la petite somme de 30 euros.
Les sextoys, objets de plaisir? Pas toujours, comme le raconte Nord Eclair (http://www.nordeclair.fr/info-locale/braquage-dans-un-salon-de-dodo-la-saumure-jna60b0n194937). Mercredi matin, à Tournai, en Belgique les employées de l'Institut Béa, cet établissement dédié à la luxure et qui appartient au désormais célèbre Dodo la Saumure, connu pour être soupçonné d'avoir fourni des prostituées à DSK pour des parties fines (http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/12/97001-20130212FILWWW00496-info-le-figaro-confrontation-dodo-la-saumurerene-kojfer-vendredi.php), l'ont démontré.
Mercredi matin, il est 11h45. Une heure plutôt creuse pour les trois employées de l'institut Béa. Dans l'attente de clients, elles laissent la porte ouverte et discutent entre elles. Un jeune homme, de corpulence moyenne, entre alors dans l'établissement. Mais, mauvaise surprise pour les demoiselles, l'homme en question n'a pas l'intention de faire appel à leurs charmes. C'est le tiroir-caisse qui l'intéresse. Il est armé d'un couteau et de mauvaises intentions. Panique à bord quelques secondes.
Les trois employées ne cèdent pas à la panique. L'une d'entre elles le menace... avec la première arme qui lui tombe entre les mains: un godemiché. Ses amies font de même. La technique d'un genre inédit a le mérite d'être efficace. Le braqueur a pris ses jambes à son cou, avec la petite somme de 30 euros.