didiniho
15/04/2013, 12h18
Dans un un peu moins d'un mois, Zaz fera son grand retour dans les bacs avec Recto Verso, un nouvel album qui aura la lourde tâche de succéder à Je veux, vendu à plus d'un million d'exemplaires et disque de platine en 2010. Un succès fulgurant pour la chanteuse au parcours atypique, entre une jeunesse semée d'embûches et des années à chanter dans les rues de Paris.
Un passé difficile qui aurait pu emmener Zaz dans bien des dérives, comme elle le raconte dans un entretien accordé au Parisien. "Il y a une chanson là-dessus sur mon prochain disque, qui évoque les dépendances, l'alcoolisme, comment on peut toucher le fond. J'ai vraiment touché le fond, explique l'artiste avec beaucoup de pudeur. C'est intime, je n'ai pas envie d'en dire plus. Mais à un moment, j'ai fait le choix d'être heureuse. Soit tu meurs, soit tu vis, mais tu restes pas entre les deux." Une "part sombre" que Zaz arrive heureusement aujourd'hui à gérer. "J'ai appris à m'aimer. Le succès m'y a aidée. Et je vais être de plus en plus heureuse", se réjouit la chanteuse de On ira, premier extrait de son nouvel album.
Des épreuves qui ont rendu Zaz plus forte, même si elle a parfois eu du mal à encaisser certaines violentes critiques que sa popularité soudaine a pu engendrer et dont elle est trop souvent la cible. "Je me sens encore blessée parfois. Par l'injustice, la haine. Ce qui me faisais le plus mal, c'était les critiques sur le physique, sans avoir écouté la musique", regrette celle qui a intégré les Enfoirés en 2011.
Ne laissant que rarement indifférent, Zaz est parfois pointée du doigt pour mettre parfois en avant un discours jugé démago, mais elle s'en défend. "Tous les bénéfices de mon merchandising (...) vont à l'association Colibris, qui défend un autre système de société, d'économie, d'agriculture
Un passé difficile qui aurait pu emmener Zaz dans bien des dérives, comme elle le raconte dans un entretien accordé au Parisien. "Il y a une chanson là-dessus sur mon prochain disque, qui évoque les dépendances, l'alcoolisme, comment on peut toucher le fond. J'ai vraiment touché le fond, explique l'artiste avec beaucoup de pudeur. C'est intime, je n'ai pas envie d'en dire plus. Mais à un moment, j'ai fait le choix d'être heureuse. Soit tu meurs, soit tu vis, mais tu restes pas entre les deux." Une "part sombre" que Zaz arrive heureusement aujourd'hui à gérer. "J'ai appris à m'aimer. Le succès m'y a aidée. Et je vais être de plus en plus heureuse", se réjouit la chanteuse de On ira, premier extrait de son nouvel album.
Des épreuves qui ont rendu Zaz plus forte, même si elle a parfois eu du mal à encaisser certaines violentes critiques que sa popularité soudaine a pu engendrer et dont elle est trop souvent la cible. "Je me sens encore blessée parfois. Par l'injustice, la haine. Ce qui me faisais le plus mal, c'était les critiques sur le physique, sans avoir écouté la musique", regrette celle qui a intégré les Enfoirés en 2011.
Ne laissant que rarement indifférent, Zaz est parfois pointée du doigt pour mettre parfois en avant un discours jugé démago, mais elle s'en défend. "Tous les bénéfices de mon merchandising (...) vont à l'association Colibris, qui défend un autre système de société, d'économie, d'agriculture