xeres
13/04/2013, 12h39
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Les Femen poursuivent leur « Jihad topless ». Vendredi, elles ont profité de la visite du président tunisien Moncef Marzouki pour entrer en action. Alors que le dirigeant venait présenter son livre « L'invention d'une démocratie » lors d'une conférence à l'Institut du monde arabe, trois féministes ont fait irruption dans la salle. Seins nus, le corps marqué du message « Where is Amina ? », elles ont crié les slogans « Topless Jihad » et « women's spring is coming » (le printemps des femmes arrive). Depuis plusieurs semaines, celles qui se définissent comme des « sextrémistes » réclament la libération d'Amina, première Femen tunisienne (http://www.elle.fr/Societe/News/Tunisie-la-Femen-Amina-apparait-dans-un-reportage-2421356)qui serait actuellement retenue par sa famille pour avoir publié des photos d'elle seins nus.
« Nous ne sommes plus au Moyen-Âge »
« Femen accuse la classe politique dirigeante tunisienne d'avoir permis l'islamisation de son pays », ont écrit les activistes dans un communiqué. Justifiant leur action, elles ajoutent : « Femen veut alarmer les consciences sur la détérioration des droits des femmes dans ces pays et insiste sur le fait qu'une révolte des femmes arabes est nécessaire ! Nous ne sommes plus au Moyen-Âge, les femmes doivent pouvoir choisir ce qu'elles veulent faire avec leurs corps ! » Après l'irruption des trois jeunes femmes, Moncef Marzouki s'est dit « assez surpris par la forme de cette manifestation ».
Les Femen poursuivent leur « Jihad topless ». Vendredi, elles ont profité de la visite du président tunisien Moncef Marzouki pour entrer en action. Alors que le dirigeant venait présenter son livre « L'invention d'une démocratie » lors d'une conférence à l'Institut du monde arabe, trois féministes ont fait irruption dans la salle. Seins nus, le corps marqué du message « Where is Amina ? », elles ont crié les slogans « Topless Jihad » et « women's spring is coming » (le printemps des femmes arrive). Depuis plusieurs semaines, celles qui se définissent comme des « sextrémistes » réclament la libération d'Amina, première Femen tunisienne (http://www.elle.fr/Societe/News/Tunisie-la-Femen-Amina-apparait-dans-un-reportage-2421356)qui serait actuellement retenue par sa famille pour avoir publié des photos d'elle seins nus.
« Nous ne sommes plus au Moyen-Âge »
« Femen accuse la classe politique dirigeante tunisienne d'avoir permis l'islamisation de son pays », ont écrit les activistes dans un communiqué. Justifiant leur action, elles ajoutent : « Femen veut alarmer les consciences sur la détérioration des droits des femmes dans ces pays et insiste sur le fait qu'une révolte des femmes arabes est nécessaire ! Nous ne sommes plus au Moyen-Âge, les femmes doivent pouvoir choisir ce qu'elles veulent faire avec leurs corps ! » Après l'irruption des trois jeunes femmes, Moncef Marzouki s'est dit « assez surpris par la forme de cette manifestation ».