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Voir la version complète : L'amour d'une mere



sindbad001
12/04/2013, 18h08
L'amour (http://www.citation-du-jour.fr/?motcle=amour) d'une mère pour son enfant (http://www.citation-du-jour.fr/?motcle=enfant) ne connaît (http://www.citation-du-jour.fr/?motcle=conna%C3%AEt) ni loi, ni pitié (http://www.citation-du-jour.fr/?motcle=piti%C3%A9), ni limite (http://www.citation-du-jour.fr/?motcle=limite). Il pourrait (http://www.citation-du-jour.fr/?motcle=pourrait) anéantir (http://www.citation-du-jour.fr/?motcle=an%C3%A9antir) impitoyablement (http://www.citation-du-jour.fr/?motcle=impitoyablement) tout ce qui se trouve (http://www.citation-du-jour.fr/?motcle=trouve) en travers (http://www.citation-du-jour.fr/?motcle=travers) de son chemin (http://www.citation-du-jour.fr/?motcle=chemin).


Ma mère n'avait qu'un seul oeil. Je la détestais... Elle était
comme un fardeau. Elle cuisinait pour les élèves et les
professeurs, pour apporter son soutien à la famille.
Mais il y a eu ce jour, pendant que j'étais en primaire, ma mère
était venue me dire bonjour. J'étais si embarrassé. Comment
pouvait-elle me faire sa ? Je l'ai ignorée, et je lui ai jeté un
regard rempli de haine et je me suis enfui. Le lendemain, à
l'école, un de mes camarades m'a dit : "heeee, ta mère n'a qu'un
oeil !! ".
Je voulais me brûler tout entier.
Je voulais également que ma mère disparaisse !!
Donc je suis allé la voir ce jour, et je lui ai dit : "Si tu veux
que je ris un peu, pourquoi tu ne meurs pas ???"
Ma mère n'a pas répondu...
Je n'ai pas eu le temps de penser, une seconde à ce que je disais,
parce que j'étais sous l'emprise de la colère. Je m'en moquais
éperdument de ses sentiments. Je voulais qu'elle s'en aille de
cette maison, je ne voulais plus d'elle. Ainsi j'ai étudié très
dur, et j'ai obtenu la chance d'aller à Singapour pour étudier.
Puis je me suis marié. Je me suis acheté moi-même, une maison. J'ai
eu des enfants.
J'étais heureux de ma vie, de mes enfants, et de tout ce que
j'avais. Jusqu'au jour où ma mère est venue me rendre visite. Elle
ne m'avait pas vu depuis de très nombreuses années, et n'avait ni
vu ses petits enfants. Quand elle est arrivée sur le pas de la
porte, mes enfants se sont moqués d'elle, et moi, je l'ai accusée
d'être venue sans être invitée !
Je lui ai hurlé : "Comment oses-tu venir chez moi, et faire peur à
mes enfants !! DEGAGE D'ICI, MAINTENANT !!" Et à cela, ma mère a
calmement répondu : "Oh, je suis désolée. J'ai dû me tromper de
maison." et elle a disparu jusqu'à ce que je ne la voie plus.
Un jour, une lettre à propos d'une réunion scolaire, est venue à la
maison, à Singapour.
J'ai menti à ma femme prétextant un voyage touristique. Après la
réunion, je suis allé à la vieille cabane, simplement par
curiosité. Mes voisins m'ont dit qu'elle était morte.
Je n'ai pas versé une seule larme. Ils m'ont donné une lettre
qu'elle voulait que je lise :
"Mon cher fils, Je pense à toi tout le temps. Je suis désolé d'être
venue à Singapour et d'avoir fait peur à tes enfants. J'étais si
heureuse quand j'ai appris que tu venais ici pour la réunion
scolaire. Mais je ne pourrais pas me lever du lit cette fois ci,
pour venir te voir. Je suis désolée d'avoir été un fardeau constant
pour toi, pendant que tu grandissais. Tu vois..... quand tu étais
très petit, tu as eu un accident, et tu as perdu un oeil. En tant
que mère, je ne supportais pas de te voir grandir avec un seul
oeil. Alors je t'ai donné le mien. J'étais si heureuse de mon fils,
qui grandissait et qui voyait un tout nouveau monde pour moi, à ma
place, avec cet oeil.
Avec mon amour pour toi."

soltan009
15/01/2014, 19h09
Douce mèreComment jamais oublier ton regard
Et ne plus t’avoir en mémoire
Oublier la chaleur de tes bras
Toi qui a tant veillé sur moi
Ta voix qui chante avec tes mots
Que l’amour a aussi son drapeau
Flotte sur le plus haut des sommets
Il a les couleurs du respect


J’ai fait un songe
Un beau voyage sur une terre
Là ou n’existe nul mensonge
Tout près de toi ô douce mère
Loin de troubles qui rongent
J’ai lu dans tes yeux tant de douceur
Ils m’ont conté comment aimer
Moi j’ai puisé tant de valeurs chez toi
Tu m’as appris à partager
Mes biens et mes joies.


Combien de larmes, pour moi, tu as versé ?
Combien de nuits, pour moi, tu as prié ?
Un simple geste, cadeau du Seigneur
Se manifeste alors le bonheur
Toi qui cachait dans tes mystères
Que l’innocence a aussi sa bannière
Berce mes plus nobles espérances
Elle a les couleurs de la patience

J’ai fait un songe
Un beau voyage sur une terre
Là ou n’existe nul mensonge
Tout près de toi ô douce mère
Loin de troubles qui rongent
J’ai lu dans tes yeux tant de douceur
Ils m’ont conté comment aimer
Moi j’ai puisé tant de valeurs chez toi
Tu m’as appris à partager
Mes biens et mes joies.


Maman tu m'as donné sans me reprendre
Ce que je ne pourrais jamais te rendre
L'amour, toute la tendresse que les enfants attendent
Je prie pour toi maman que Dieu m'entende
Je prie pour toi maman que Dieu m'entende

safir97
15/01/2014, 19h25
salam

9 mois dans le ventre de nos mères.........

malheureusement, beaucoup d’entre les humains sont ingrats envers leur parents


(Coran, Sourate 17 - Le Voyage Nocturne, verset 23)

Ton Seigneur a ordonné de n'adorer que Lui.
Il a prescrit d'être bon envers ses père et mère.
Soit que l'un d'eux ait atteint la vieillesse, ou que tous deux y soient parvenus, étant à ta charge,
garde-toi de marquer la moindre répulsion à leur égard ou de leur manquer de respect.
Parle-leur toujours affectueusement.
Fais preuve, à leur égard, d'humilité pour leur témoigner ta tendresse
et dis: Seigneur ! Aie pitié d'eux comme ils l'ont été pour moi, lorsqu'ils m'élevèrent tout petit.
:

(Coran, Sourate 31 - Loqman, verset 14)

Nous avons expressément recommandé à l'homme ses père et mère;
sa mère s'étant doublement exténuée,
le portant puis le mettant au monde;
Son sevrage n'ayant lieu qu'au bout de deux ans.
Sois reconnaissant, lui fut-il prescrit, autant envers Moi qu'envers tes père et mère. C'est vers Moi que vous serez ramenés.