Sys de Servr Inft_Fichiers en pair à pair [Peer-to-peer (P2P)]

[SIDALI55]

Système de Serveurs Informatique_permettant le partage de fichiers en pair à pair [Peer-to-peer (P2P)]

The Pirate Bay met le cap sur le Groenland

Pour éviter de tomber sous le coup de justice suédoise, The Pirate Bay a modifié l’adresse de son site qui passe en « .gl », pour Groenland.

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« No surender ! » C’est la devise de The Pirate Bay (http://thepiratebay.gl/) qui ne baisse toujours pas son pavillon face à la justice suédoise. Pour éviter de se faire saisir son nom de domaine actuellement basé en Suède (.se), l’adresse du site de téléchargement vient de changer. Elle prend désormais l’extension du Groenland (.gl). Et, pour ne pas perturber les utilisateurs, le site fait une redirection automatique lorsqu'ils se connectent sur l’ancienne adresse.
Au départ, le site était en .com et, pour éviter la justice américaine et les plaintes des ayants-droits, ils sont passés en .se en 2012. Avec cette nouvelle délocalisation, le gouvernement suédois n’a pas autorité pour saisir le site.
Peu à peu, l’étau se resserre sur le site qui arrive encore à s’en sortir. Poursuivis par la justice, les fondateurs de la plateforme avaient fait un recours devant la Cour Européenne des droits de l’homme pour que leur cas soit réexaminé. La cour a rendu son avis très rapidement. Elle a conclu que cette requête était « irrecevable ».

Source : TorrentFreak (http://torrentfreak.com/the-pirate-bay-moves-to-gl-domain-in-anticipation-of-domain-seizure-130409/).

[rasheed70]

Le plus célèbre des sites BitTorrent n'est plus en ligne, à la suite d'une intervention de la police suédoise qui aurait, selon Torrentfreak, saisi des serveurs dans un datacenter de la banlieue de Stockholm.




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Cela fait des mois que ce n'était pas arrivé. Mais depuis quelques heures, le plus célèbre des sites BitTorrent, The Pirate Bay, a disparu du Web. Rien à voir avec le vain blocage (http://www.01net.com/editorial/636231/the-pirate-bay-contourner-un-blocage-dns-cest-trop-facile/) imposé par un tribunal parisien (http://www.01net.com/editorial/635525/the-pirate-bay-bientot-bloque-en-france/). D'après Torrentfreak, il s'agirait d'un raid de la police suédoise dans un data center de la banlieue de Stockholm qui aurait fait tomber le fameux site pirate.
Plusieurs serveurs du data center de Nacka auraient été saisis, mettant à terre non seulement TPB mais aussi ses sites mirroirs. Peu de détails sont encore disponibles, mais l'opération a un « rapport avec des violations de la loi sur le copyright » d'après Paul Pintér, coordinateur des forces de police en charge du respect de la propriété intellectuelle suédois, cité par TF. L'opération de grande envergure aurait débuté ce matin et se serait poursuivie durant la journée. Un homme, lié aux activités de The Pirate Bay, aurait été placé en garde à vue mais cette arrestation reste incertaine.
Encore plus surprenant, The Pirate Bay n'est pas le seul site pirate à être tombé aujourd'hui. Outre son forum Suprbay et ses services BAyimg et Pastebay, ce sont d'autres sites importants qui ne répondent plus. EZTV, qui est l'un des plus gros distributeurs de contenus télés piratés, est down lui aussi. Tout comme Torrage.com et Zoink.it, également liés à la distribution P2P de contenus.
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Ce n'est pas la première fois, loin de là, que The Pirate Bay est descendu par les forces de l'ordre. Jusqu'à présent, il est toujours revenu en ligne en quelques jours. D'ailleurs, un nouveau site The Pirate Bay, doté d’une extension en .cr (Costa Rica), a fait son apparition sur le Web. Mais la navigation sur ce site est pour l'instant impossible et aboutit systématiquement à des erreurs 500.
Le fait que The Pirate Bay utilise des serveurs virtuels laisse penser que cette interruption du service est temporaire. Il faut a priori juste un peu temps pour que la charge et distribution du trafic se fassent. Comme The Pirate Bay n’héberge pas de Torrents, mais juste des liensmagnets, il est même envisageable qu’une sauvegarde de The Pirate Bay ait été faite et soit redéployée rapidement, ailleurs…


Sujet déplacé et fusionné.

[bobmarley]

Comme vous le savez, depuis quelques jours maintenant le site de téléchargement illégal The Pirate Bay est fermé. Après un raid des autorités suédoises, tous les serveurs de la plate-forme de téléchargement de fichiers torrents ont été perquisitionnés rendant impossible l’accès au site.
Nous nous interrogions sur l’utilité de fermer définitivement cette plate-forme, et pensions qu’une telle mesure ne changerait rien aux pratiques des internautes, les alternatives étant nombreuses. Nous ne pensions pas si bien dire puisque The Pirate Bay a déjà ressuscité.
Il sera bientôt possible d’accéder à tous les fichiers de la plate-forme en se rendant sur le site oldpiratebay.org (http://oldpiratebay.org/). C’est un autre site de torrent, isohunt.to, qui a souhaité mettre à disposition tout le catalogue de The Pirate Bay.

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En savoir plus : The Pirate Bay déjà ressuscité ! - PhonAndroid (http://www.phonandroid.com/pirate-bay-deja-ressuscite.html#ixzz3Ltd53M8R)


Sujet déplacé et fusionné.

[ironman]

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Les ayants droit voulaient contraindre un FAI de bloquer ce site. Mais un tribunal suédois a estimé qu’il n’était pas responsable des actions de ses clients. Une décision surprenante dans le climat actuel.

C’est une cuisante défaite pour les ayants droit. Selon Torrent Freak, un tribunal suédois vient de rejeter la demande de blocage de The Pirate Bay, déposée par Universal Music, Sony Music, Warner Music, Nordisk Film et Swedish Film Industry. Ces entreprises souhaitaient, en effet, que le fournisseur d’accès très haut débit Bredbandsgolaget empêche ses clients d’accéder à ce site sulfureux. Dans le cas contraire, ils souhaitaient le rendre responsable de la violation de la propriété intellectuelle dont ils étaient victimes.


Or, le « District Court of Stockholm », qui est l’équivalent d’un tribunal de grande instance, a décidé que le FAI n’était pas responsable des actions de ses clients et que l’on ne pouvait pas non plus le contraindre à limiter l’accès de ces derniers. Par ailleurs, les ayants droits vont devoir rembourser à Bredbandsgolaget des frais de justice à hauteur de plus de 150.000 euros. Et toc !



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Cette défaite juridique est un peu l’exception qui confirme la règle actuellement. Dans beaucoup d’autres pays européens, les ayants droits ont réussi à imposer le blocage de sites de piratage par les FAI. En France, par exemple, le site The Pirate Bay est bloqué depuis février dernier (http://www.01net.com/actualites/the-pirate-bay-le-blocage-du-site-par-les-fai-francais-a-commence-644535.html) par Orange, Bouygues, Free et SFR. Les mêmes FAI ont été sommés, en avril dernier, de bloquer le site t411.me (http://www.01net.com/actualites/t411-le-fameux-tracker-bittorrent-va-etre-bloque-par-les-fai-651218.html).



Que décidera la cour d’appel ?

Pour les fans suédois de The Pirate Bay, la joie ne sera peut-être que de courte durée. Les ayants droits vont certainement faire appel et il n’est pas impossible que la décision soit inversée. N’oublions pas qu’en 2009, la justice suédoise s’est montrée impitoyable envers quatre administrateurs de The Pirate Bay, condamnés chacun à un an de prison et 3,2 millions d’euros de dommages. Cette décision a été confirmée par la cour d’appel (http://www.01net.com/actualites/les-fondateurs-de-the-pirate-bay-iront-en-prison-556656.html), qui en a profité pour revoir ce montant à la hausse. Les ayants droits ont donc bien l’oreille de la justice.


Sujet déplacé et fusionné.

[ironman]

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Après Popcorn Time, c’est au tour du plus célèbre site BitTorrent d’intégrer le plug-in Torrents Time. Il propose de cette manière l'offre illégale en streaming la plus vaste au monde.

Nous vous parlions la semaine dernière de la révolution Torrents Time (http://www.01net.com/actualites/desormais-popcorn-time-fonctionne-dans-tous-les-navigateurs-948727.html), ce plug-in pour Windows et Mac qui permet de streamer des films en BitTorrent directement depuis un site web. On s’attendait à ce que cela fasse éclore de nombreux nouveaux acteurs, mais c’est finalement le célèbre et antique portail The Pirate Bay (http://www.01net.com/actualites/the-pirate-bay-est-de-retour-en-ligne-643754.html) qui pourrait en tirer le plus profit.


Le vénérable site pirate vient en effet d’intégrer (en bêta) le plug-in avec quelques jours de retard sur un nouveau concurrent, Popcorn Time Online, lancé le 4 février dernier. Concrètement, The Pirate Bay a placé un bouton « Stream it ! » qui lance-un pop-up sur tous les contenus de sa section vidéo. Les utilisateurs, à condition d’être munis du plug-in adequat, peuvent donc dès à présent regarder des films sans avoir à quitter la page où ils se trouvent.


Avant d’accéder à la vidéo, une nouvelle fenêtre s’ouvre... pour tenter de vous vendre une offre de VPN en indiquant que votre adresse IP est exposée (notamment à la Hadopi) si vous lancez un film.


Une manière pour les responsables du site Pirate de gagner quelques menus dollars au passage. On rappelle en effet que Torrents Time incorpore un client VPN et qu'il permet ainsi aux sites pirates de monétiser leur audience par ces abonnements.


http://img.bfmtv.com/c/550/241/31f/74972cc5cad0fb5d05a2060c45623.png Torrent Freak -

Selon Torrent Freak, d’autres sites s’apprêteraient à suivre le mouvement. Citons Torrentproject.se, Videomax.is ou encore KickassTorrents.


L’équipe fondatrice parait en tous cas sûre de son fait: « Nous sommes certains que dans peu de temps, nous serons intégrés dans tous les sites de Torrent qui se soucient de continuer à évoluer ». La révolution Torrent Time ne fait que commencer... au grand dam des ayants-droit.

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[ironman]

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Et de deux ! Après le vénérable The Pirate Bay, c’est un autre grand nom du partage de fichiers qui se lance dans le streaming de fichiers vidéo.

En l’espace de quelques jours, les deux plus gros sites BitTorrent ont fait leur révolution. Le week-end dernier, The Pirate Bay (http://www.01net.com/actualites/pirate-bay-devient-le-plus-gros-site-de-streaming-au-monde-949793.html) intégrait la technologie de Torrents Time et offrait à tous les internautes flibustiers la possibilité de regarder directement des contenus piratés sur le site. Il n’a fallu que quelques jours à son plus fameux concurrent pour faire de même : depuis quelques heures, KickassTorrents permet également à ses visiteurs de visionner des films en streaming. Et ce n’est pas rien, car il devient ainsi le plus gros site de streaming au monde, dépassant même le vénérable portail d’origine suédoise.


KickassTorrents est allé même un cran plus loin que The Pirate Bay, en incorporant non seulement Torrents Time mais aussi une autre solution de streaming, via une application baptisée Playback. Plus classique, celle-ci doit être installée sur l’ordinateur : il s’agit, en réalité, d’un client BitTorrent dopé par des fonctions de streaming, qui s’exécute depuis les liens spécifiques de KickassTorrents.
Dans un communiqué adressé à TorrentFreak, l’équipe qui développe Torrents Time s’est largement vantée de ce nouveau « partenariat ».


« Nous avons lancé Torrents Time il y a une semaine et avons pour toujours changé la façon dont les gens exploitent les trésors que renferment les sites de Torrents, directement dans leurs navigateurs. Cela signifie qu’à partir de maintenant, quiconque en mesure d’utiliser Facebook peut profiter de la quasi-totalité des films et séries du monde. »

Voilà une déclaration bien provocante, parfaitement dans la lignée de leurs précédentes sorties, qui risque de donner de nouveaux cheveux blancs aux ayants-droit… On rappelle que ces derniers ont déjà déclaré la guerre à Torrents Time (http://www.01net.com/actualites/le-torchon-brule-deja-entre-les-majors-et-le-plug-in-pirate-torrents-time-950301.html) et à son équipe, qui ne s’est pas privée de répondre en fanfaronnant.


Mieux vaut être prévenu : KickassTorrents n’ajoute pas cette fonction par philantropie ou pour atteindre un quelconque idéal libertaire. Non, ses administrateurs, comme ceux de Pirate Bay, espèrent surtout en dégager une source de revenus nouvelle. On rappelle que Torrents Time vous incite, par le biais d’une pub, à vous abonner à un service de VPN. Et par ailleurs qu’il demeure un logiciel fort obscur qui pourrait atteindre à la sécurité de votre ordinateur. Il est à ce propos étrange que la fonction de streaming ne soit pas accessible aux utilisateurs fidèles de KickassTorrents –ceux qui sont identifiés- ni à ceux qui utilisent un bloqueur de publicités. CoÏncidence ?



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[ironman]

Alors qu’il n’est attendu en vente que le 5 avril prochain, la version Blu-ray du dernier Star Wars, Le Réveil de la Force cartonne déjà sur Internet avec une copie qui se partage à tout vitesse sur les réseaux peer-to-peer.
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UN RECORD DE PARTAGE DE FICHIER

Star Wars, le Réveil de la Force (http://hitek.fr/test/disney-star-wars-episode-vii-le-reveil-de-la-force_456) est un immense carton au cinéma ! Et il semblerait bien que sa sortie en Blu-ray attire énormément de fans. Si l’on en croit la propagation de la copie pirate du Blu-ray qui circule actuellement sur Internet, il y a de fortes chances pour que se soit le cas !

En effet, une copie, qui semble provenir d’une version retail, c'est-à-dire destinée à la vente commerciale, a été publiée ce mardi dans la journée d’après les informations fournies par le site TorrentFreak (https://torrentfreak.com/pirated-star-wars-blu-ray-leaks-online-160323/). Cette première version du fichier a déjà été téléchargée plus de 250 000 fois en seulement douze heures ! Dès lors, de nombreux sites de partages illégaux proposent le film sous différents noms. Bref, là encore Star Wars VII enregistre un record. Le fichier qui se propage en peer-to-peer est disponible en 720p ou 1080p et en version sous-titrée ou non. Disney peut se rassurer, les bonus ne sont pas proposés dans les torrents.





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UNE COPIE COMMERCIALE À L’ORIGINE DE LA FUITE

Star Wars VII ne sortira aux Etats-Unis que le 1er avril prochain en version numérique sur des plateformes telles qu’iTunes puis en DVD et Blu-ray à partir du 5 avril. Pour la France, il faudra attendre le 16 avril pour obtenir (de façon légale) le film dans toutes les versions confondues.

C’est le groupe REPLiCA qui est à l’origine de cette fuite sur Internet. Les pirates ont d’ailleurs posté la photo du Blu-ray en question tout en précisant qu’il s’agissait de la version commerciale qui sortira aux USA le 5 avril. Pour l’heure, on ne peut pas savoir s’il s’agit vraiment de cette version qui sera vendue aux Américains.

Pour limiter la propagation des copies pirates sur la Toile, Disney et LucasFilm ont envoyé plusieurs requêtes à Google pour faire désindexer les liens de partage (https://www.google.com/transparencyreport/removals/copyright/owners/71772/Lucasfilm-Ltd-LLC/), mais vu la vitesse à laquelle se propage les fichiers, ça risque d’être très compliqué pour l’enrayer !
LES SCÈNES COUPÉES SE DÉVOILENT

Parallèlement à cette fuite, on a pu découvrir les premières images des nombreuses scènes coupées dans le montage final. Pas de révélations exceptionnelles sur les clichés qui ont été publiés par Entertainment Weekly, mais des images exclusives pour le plaisir des plus grands fans.
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http://static.hitek.fr/img/actualite/2016/03/24/star-wars-the-force-awakens-deleted-scenes-harrison-ford-jj-abrams-600x373.jpghttp://static.hitek.fr/img/actualite/2016/03/24/star-wars-the-force-awakens-deleted-scenes-kylo-ren-millennium-falcon-600x373.jpghttp://static.hitek.fr/img/actualite/2016/03/24/star-wars-the-force-awakens-deleted-scenes-oscar-isaac-600x373.jpghttp://static.hitek.fr/img/actualite/2016/03/24/star-wars-the-force-awakens-deleted-scenes-stormtroopers-600x373.jpghttp://static.hitek.fr/img/actualite/2016/03/24/star-wars-the-force-awakens-snowspeeder-600x338.jpeg




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[ironman]

Aux Etats-Unis, une entreprise spécialisée dans les arrangements à l'amiable veut mettre en place un système plutôt agressif pour inciter les pirates à payer.

Six ans après sa création, la Hadopi ne semble plus vraiment dissuasive (http://www.01net.com/actualites/38percent-des-francais-ne-savent-pas-que-la-hadopi-existe-encore-915373.html) vis-à-vis des internautes téléchargeant illégalement des films. Mais si en France la mise en garde se fait de manière mesurée, les Américains peuvent faire face à des organismes - privés cette fois - bien plus agressifs. Récupérer de l'argent auprès de ceux qui ne respectent pas le copyright est même devenu une activité à part entière. Et Rightscorp (http://www.rightscorp.com/), l'un des leaders du secteur, envisage de prendre le navigateur des utilisateurs en otage pour les forcer à payer.
L'argent ou le procès

Selon le site Torrent Freak (https://torrentfreak.com/rightscorp-plans-to-hijack-pirates-browsers-until-a-fine-is-paid-160402/), il développerait un système baptisé Scalable Copyright qui permettrait d'envoyer des avertissements sous forme de notifications sur le navigateur. Le but étant d'éviter l'envoi de mails trop souvent ignorés au goût de l'entreprise. Au bout d'un certain nombre d'alertes, le navigateur se retrouverait complètement bloqué. Seule solution, sortir sa carte bancaire et régler quelques dizaines de dollars.


Depuis quelques années, Rightscorp s'est spécialisé dans ce domaine en envoyant des mails menaçants à ceux qui auraient enfreint la loi. L'entreprise a développé des partenariats avec de nombreux fournisseurs d'accès à internet (FAI) américains pour récupérer les noms associés aux adresses IP, comme le fait la Hadopi en France avec le concours de l'entreprise TMG. Sauf que le ton est un peu plus incisif. Pour éviter d'être poursuivi en justice - et risquer une amende pouvant atteindre 150 000 dollars, l'internaute est incité à payer sur le champ une trentaine de dollars. Une partie de la somme est ensuite reversée aux ayants droits.
Un précédent en France

Malheureusement pour Rightscorp, les personnes concernées ne cèdent pas facilement au chantage, sans doute conscientes qu'une action en justice serait bien trop coûteuse pour l'entreprise. En 2015, l'entreprise a d'ailleurs accusé (https://torrentfreak.com/rightscorp-blames-vpns-and-isps-for-drop-in-revenue-160331/) une perte nette de 3,5 millions de dollars.
Le développement de Scalable Copyright sonne comme une dernière tentative pour soutirer massivement de l'argent aux internautes. Mais les FAI américains pourraient bien ne pas suivre l'initiative de Rightscorp, de peur d'être perçus comme un peu trop intrusifs par leurs clients.
[I][I][I]En France, un tel système aurait peu de chances de voir le jour. En 2007, une avocate française avait elle-même tenté d'agir (http://www.numerama.com/magazine/8745-exclusif-affaire-techland-l-avocate-condamnee.html) de la sorte, demandant 400 euros aux internautes accusés d'avoir piraté le jeu [I]Call of Juarez. Elle avait été lourdement condamnée par le Conseil de l'Ordre du Barreau de Paris. Finalement, l'initiative de Rightscorp ressemble surtout à un nouvel aveu d'impuissance face au piratage.

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[rubicube]

L'industrie du disque a connu un véritable bouleversement ces dernières années, avec une transition numérique difficile à ses débuts. Et si le streaming prend désormais les devants, le stockage de musique dématérialisée a toujours de beaux jours.
Si aujourd'hui, acheter sa musique en ligne est un fait anodin, il y a quelques années, la situation n'était pas aussi simple.

Avec la démocratisation d'Internet, la musique a cherché un nouveau marché : celui de la dématérialisation. Malheureusement, face à la montée du piratage, les principales plateformes de vente ont imposé des DRM qui ont rapidement posé des problèmes, imposant aux utilisateurs la lecture de leurs titres sur le terminal avec lequel ils avaient acheté leur musique.

Malheureusement, même si ces DRM ont disparu aujourd'hui, transférer ses fichiers musicaux d'une tablette vers un smartphone ou un PC, et même d'un appareil sous iOS vers Android reste parfois complexe.

http://img.generation-nt.com/tunesgo_01B0000001635582.jpg

De fait, les applications spécialisées dans le transfert de fichiers à travers les plateformes se sont multipliées.

Dans le domaine, Tunesgo fait des merveilles en se voulant compatible avec iOS et Android, mais aussi avec PC et Mac. Le logiciel permet de rapatrier l'intégralité des fichiers musicaux, ou une simple sélection depuis n'importe quelle plateforme vers une autre, en quelques clics.

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S'il en est besoin, Tunesgo va même jusqu'à réencoder les fichiers en fonction des formats d'origine et la plateforme de destination. Tunesgo permet également d'organiser au mieux les bibliothèques musicales en taguant automatiquement les fichiers et en y ajoutant les titres et données ID3 TAG. Les fonctions habituelles sont également prises en charge, téléchargement de playlist, gestion de la bibliothèque iTunes, gestion des tags ID3, etc.

Désormais, la solution la plus efficace pour tenir sa musique à jour se tourne vers le streaming, nouveau porte-étendard de l'industrie du disque dans le monde. Même si, exception à la règle, le nouvel album du chanteur Renaud a réalisé vendredi dernier la meilleure vente d’albums depuis 13 ans sur une semaine avec 300.000 exemplaires écoulés, dont 90% des ventes concernaient un support physique, le ... CD !


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[chenoui70]

Installer µTorrent sous Linux et Télécharger vos fichiers torrent

https://youtu.be/_QjWIUttq2I

bien que sur ubuntu il y a un très bon logiciel "transmission" certains peuvent préférer utorrent....


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[sentenza]

Si vous avez des fichiers stockés sur Mega (http://www.blog-nouvelles-technologies.fr/tag/mega/), sauvegardez-les. C’est en tout cas ce que le fondateur, Kim Dotcom (http://www.blog-nouvelles-technologies.fr/tag/kim-dotcom/), qui est actuellement en appel d’extradition de la Nouvelle-Zélande aux États-Unis pour fraude, association de malfaiteurs, blanchiment d’argent, actes de racket et violation du droit d’auteur — rien que ça — a mentionné.




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[rubicube]

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Le célèbre annuaire BitTorrent vient de se doter d’une adresse en .onion, accessible uniquement au travers de Tor. Ce qui le met à l’abri des tentatives de blocage.

Face aux incessantes tentatives de blocage, Kickass Torrents - l'index BitTorrent actuellement le plus populaire sur la Toile- vient d'ajouter une nouvelle corde à son arc: une adresse dans le Darkweb, c'est-à-dire en ..onion. Pour y accéder, il faut utiliser le navigateur Tor.

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Pour rappel, Tor est un réseau qui permet d'anonymiser le surf sur Internet en faisant passer les connexions par une série de serveurs intermédiaires. Le fournisseur d'accès ne sait pas quel site est visité par son abonné. Inversement, le site visité ne sait pas d'où vient l'internaute. En se dotant d’une adresse en .onion (c’est-à-dire en créant un « service caché Tor »), le site peut de surcroît totalement masquer son adresse IP et court-circuiter le système DNS (Domain Name System) qui fait la translation entre une adresse IP et son nom de domaine.

The Pirate Bay aussi
Du coup, il devient presque impossible de savoir par qui le serveur web est hébergé. Par ailleurs, il est de facto hors de portée des tentatives de blocage par DNS. Ce qui est certainement le point qui intéresse le plus les administrateurs de Kickass Torrents qui, pour autant, n’ont pas abandonné leur système de proxy pour échapper aux blocages administratifs. L’adresse en .onion constitue donc un moyen supplémentaire pour accéder à cet index, une voie de secours qui fonctionne tout le temps.

Mais attention, les pirates ne sont pas pour autant protégés : se connecter à Kickass Torrents via Tor ne permet pas de télécharger un torrent sans risque, mais seulement à récupérer le de quoi ensuite télécharger le contenu pirate.

Enfin, signalons que Kickass Torrent n’est pas le premier index à s’installer dans le Darkweb. The Pirate Bay dispose d’une adresse .onion depuis plusieurs années.

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Source :


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