adm1
20/03/2013, 17h03
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Pour le commun des joueurs non retenus avec leur sélection, une trêve internationale est consacrée à la récupération et à un travail plus spécifique avec leur club. Pas pour David Beckham. Le néo-Parisien s’est envolé mardi pour la Chine, où il a été nommé ambassadeur du championnat local début mars. Un rôle qu’il combine avec celui de joueur du PSG, qui retrouvera sa recrue hivernale à l’entraînement seulement lundi prochain. Ce timing peut surprendre, à l’approche du sprint final en Ligue 1 et du quart de finale de la Ligue des champions contre le FC Barcelone (http://www.eurosport.fr/football/equipes/fc-barcelone/teamcenter.shtml). Mais ce n’est pas le premier passe-droit dont bénéficie Beckham depuis son arrivée à Paris. Après sa signature le 31 janvier dernier, il avait été autorisé à rentrer à Londres et avait attendu le 13 février pour faire ses premiers pas au Camp des Loges.
En Chine jusqu’à la fin de la semaine, la star anglaise y effectue la première de ses trois visites. Le programme de son séjour est détaillé sur le site officiel du club parisien. Beckham assistera notamment à des matchs de la Super League chinoise (CSL). Il en profitera aussi pour rendre visite à trois clubs et pour passer du temps dans des écoles afin de promouvoir le football dans les couches populaires. Il clôturera son voyage par une séance de discussion avec les étudiants de l’université de Pékin. Lors d’une première conférence de presse mercredi, Beckham est revenu sur les raisons de son engagement. "Je prête main forte à l'éducation de jeunes enfants et d'apprentis footballeurs, a-t-il expliqué. C'est aussi simple que cela. Je ne suis pas ici pour nettoyer quoi que ce soit. Je suis ici pour éduquer les enfants et leur donner une chance de devenir des joueurs professionnels".
50 à 60 millions d’euros sur cinq ans ? Beckham dément
Mais la CSL souhaite aussi travailler sur son image, écornée par des scandales de matches truqués sur fond de paris et de corruption chez les dirigeants. Très populaire sur le continent asiatique, et notamment en Chine, où il est surnommé "Little Becks", il a pour mission de relancer le développement du championnat local. Ce dernier a perdu récemment ses deux figures de proue, avec les départs de Didier Drogba (http://www.eurosport.fr/football/didier-drogba_prs2141/person.shtml) (Galatasaray (http://www.eurosport.fr/football/equipes/galatasaray/teamcenter.shtml)) et de Nicolas Anelka (http://www.eurosport.fr/football/nicolas-anelka_prs214/person.shtml) (Juventus) du Shanghai Shenhua lors du Mercato hivernal. La venue de Beckham doit permettre de relancer la CSL qui aurait déboursé une somme élevée pour s’offrir cet ambassadeur de luxe.
D’après les chiffres publiés par France Football mardi, qui corroborent ceux déjà parus dans la presse anglaise, le "Spice Boy" toucherait de 50 à 60 millions d’euros sur cinq ans. Ce que Beckham, joueur le mieux payé du monde selon le bihebdomadaire, s’est chargé de démentir. "Ces chiffres sont faux. Je suis ici en tant qu'ambassadeur, c'est aussi simple que cela. Il y a toujours des chiffres qui ont circulé sur ce que je faisais de ma vie, mais en ce moment, je joue gratuitement à Paris et je suis là comme ambassadeur". Et pendant qu’il tentera de faire changer les choses à l’autre bou
Pour le commun des joueurs non retenus avec leur sélection, une trêve internationale est consacrée à la récupération et à un travail plus spécifique avec leur club. Pas pour David Beckham. Le néo-Parisien s’est envolé mardi pour la Chine, où il a été nommé ambassadeur du championnat local début mars. Un rôle qu’il combine avec celui de joueur du PSG, qui retrouvera sa recrue hivernale à l’entraînement seulement lundi prochain. Ce timing peut surprendre, à l’approche du sprint final en Ligue 1 et du quart de finale de la Ligue des champions contre le FC Barcelone (http://www.eurosport.fr/football/equipes/fc-barcelone/teamcenter.shtml). Mais ce n’est pas le premier passe-droit dont bénéficie Beckham depuis son arrivée à Paris. Après sa signature le 31 janvier dernier, il avait été autorisé à rentrer à Londres et avait attendu le 13 février pour faire ses premiers pas au Camp des Loges.
En Chine jusqu’à la fin de la semaine, la star anglaise y effectue la première de ses trois visites. Le programme de son séjour est détaillé sur le site officiel du club parisien. Beckham assistera notamment à des matchs de la Super League chinoise (CSL). Il en profitera aussi pour rendre visite à trois clubs et pour passer du temps dans des écoles afin de promouvoir le football dans les couches populaires. Il clôturera son voyage par une séance de discussion avec les étudiants de l’université de Pékin. Lors d’une première conférence de presse mercredi, Beckham est revenu sur les raisons de son engagement. "Je prête main forte à l'éducation de jeunes enfants et d'apprentis footballeurs, a-t-il expliqué. C'est aussi simple que cela. Je ne suis pas ici pour nettoyer quoi que ce soit. Je suis ici pour éduquer les enfants et leur donner une chance de devenir des joueurs professionnels".
50 à 60 millions d’euros sur cinq ans ? Beckham dément
Mais la CSL souhaite aussi travailler sur son image, écornée par des scandales de matches truqués sur fond de paris et de corruption chez les dirigeants. Très populaire sur le continent asiatique, et notamment en Chine, où il est surnommé "Little Becks", il a pour mission de relancer le développement du championnat local. Ce dernier a perdu récemment ses deux figures de proue, avec les départs de Didier Drogba (http://www.eurosport.fr/football/didier-drogba_prs2141/person.shtml) (Galatasaray (http://www.eurosport.fr/football/equipes/galatasaray/teamcenter.shtml)) et de Nicolas Anelka (http://www.eurosport.fr/football/nicolas-anelka_prs214/person.shtml) (Juventus) du Shanghai Shenhua lors du Mercato hivernal. La venue de Beckham doit permettre de relancer la CSL qui aurait déboursé une somme élevée pour s’offrir cet ambassadeur de luxe.
D’après les chiffres publiés par France Football mardi, qui corroborent ceux déjà parus dans la presse anglaise, le "Spice Boy" toucherait de 50 à 60 millions d’euros sur cinq ans. Ce que Beckham, joueur le mieux payé du monde selon le bihebdomadaire, s’est chargé de démentir. "Ces chiffres sont faux. Je suis ici en tant qu'ambassadeur, c'est aussi simple que cela. Il y a toujours des chiffres qui ont circulé sur ce que je faisais de ma vie, mais en ce moment, je joue gratuitement à Paris et je suis là comme ambassadeur". Et pendant qu’il tentera de faire changer les choses à l’autre bou