aybert
04/03/2013, 17h16
Le courant continu stimule les neurones LE MONDE
Une pile de neuf volts, deux électrodes : la neurostimulation peut commencer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/commencer). Paulo Boggio, chercheur en neurosciences cognitives à l'université Mackenzie de Sao Paulo, module le courant, ne dépasse jamais les deux milliampères. La charge électrique vient chatouiller (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/chatouiller) le crâne du sujet, la sensation est suave. Pourtant, le dispositif paraît rudimentaire, voire grossier. Le sujet porte de part et d'autre de la tête deux éponges découpées en carrés, accrochées à l'aide (http://www.lemonde.fr/services-aux-internautes/) de bandes élastiques. Elles enveloppent deux fils électriques, ce sont en fait les électrodes. Imbibées de sérum physiologique, elles laissent passer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/passer) le courant.
"C'est simple, indolore, et pas cher", résume Paulo Boggio (http://www.lemonde.fr/sujet/663d/paulo-boggio.html). Et cela marche. La stimulation transcrânienne par courant continu (tDCS) module l'humeur, la concentration, la mémoire, l'apprentissage. L'objectif est de soigner (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/soigner) une dépression, de soulager (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/soulager) les douleurs ou d'aider (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/aider) le patient à retrouver (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/retrouver) ses capacités cognitives et motrices après un accident vasculaire cérébral.
Une pile de neuf volts, deux électrodes : la neurostimulation peut commencer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/commencer). Paulo Boggio, chercheur en neurosciences cognitives à l'université Mackenzie de Sao Paulo, module le courant, ne dépasse jamais les deux milliampères. La charge électrique vient chatouiller (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/chatouiller) le crâne du sujet, la sensation est suave. Pourtant, le dispositif paraît rudimentaire, voire grossier. Le sujet porte de part et d'autre de la tête deux éponges découpées en carrés, accrochées à l'aide (http://www.lemonde.fr/services-aux-internautes/) de bandes élastiques. Elles enveloppent deux fils électriques, ce sont en fait les électrodes. Imbibées de sérum physiologique, elles laissent passer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/passer) le courant.
"C'est simple, indolore, et pas cher", résume Paulo Boggio (http://www.lemonde.fr/sujet/663d/paulo-boggio.html). Et cela marche. La stimulation transcrânienne par courant continu (tDCS) module l'humeur, la concentration, la mémoire, l'apprentissage. L'objectif est de soigner (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/soigner) une dépression, de soulager (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/soulager) les douleurs ou d'aider (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/aider) le patient à retrouver (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/retrouver) ses capacités cognitives et motrices après un accident vasculaire cérébral.