soltan009
01/03/2013, 20h11
5.000 euros d'amende pour un "radin maladif" qui copiait des bons de réductionhttp://l3.yimg.com/bt/api/res/1.2/usCuFX6h3aXFO9mNy.qTzQ--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9MzQ4O2NyPTE7Y3c9NTEyO2R4PTA7ZH k9MDtmaT11bGNyb3A7aD0zNDg7cT04NTt3PTUxMg--/http://media.zenfs.com/fr_FR/News/AFP/photo_1362134630670-1-0.jpg
Un homme de 45 ans habitant la région de Fougères (Ille-et-Vilaine), qualifié de "radin maladif" par son avocate, a été condamné jeudi par le tribunal correctionnel de Rennes à 5.000 euros d'amende pour avoir utilisé des bons de réduction falsifiés, a indiqué vendredi l'avocate.
L'homme, un ancien cadre, photocopiait des bons de réductions avant de les utiliser dans des commerces de la région rennaise, un système de falsification qui lui rapportait au minimum 400 euros par mois, a reconnu Me Laudic-Baron, interrogée par l'AFP.
"C'est un radin maladif", a-t-elle indiqué. "C'était plus une sorte de jeu qu'autre chose, il voulait voir jusqu'où il pouvait aller".
Le parquet réclamait un an de prison avec sursis et pas de peine d'amende. Mais le tribunal a choisi de frapper le prévenu au porte-monnaie. Outre les 5.000 euros d'amende, il écope de six mois de prison avec sursis.
Le prévenu, sans emploi, bénéficie toutefois d'un patrimoine conséquent acquis grâce à des activités professionnelle antérieures.
Plusieurs enseignes de la région ont été concernées par la fraude, a indiqué le journal Ouest-France qui a relayé cette information vendredi matin.
Un homme de 45 ans habitant la région de Fougères (Ille-et-Vilaine), qualifié de "radin maladif" par son avocate, a été condamné jeudi par le tribunal correctionnel de Rennes à 5.000 euros d'amende pour avoir utilisé des bons de réduction falsifiés, a indiqué vendredi l'avocate.
L'homme, un ancien cadre, photocopiait des bons de réductions avant de les utiliser dans des commerces de la région rennaise, un système de falsification qui lui rapportait au minimum 400 euros par mois, a reconnu Me Laudic-Baron, interrogée par l'AFP.
"C'est un radin maladif", a-t-elle indiqué. "C'était plus une sorte de jeu qu'autre chose, il voulait voir jusqu'où il pouvait aller".
Le parquet réclamait un an de prison avec sursis et pas de peine d'amende. Mais le tribunal a choisi de frapper le prévenu au porte-monnaie. Outre les 5.000 euros d'amende, il écope de six mois de prison avec sursis.
Le prévenu, sans emploi, bénéficie toutefois d'un patrimoine conséquent acquis grâce à des activités professionnelle antérieures.
Plusieurs enseignes de la région ont été concernées par la fraude, a indiqué le journal Ouest-France qui a relayé cette information vendredi matin.