soltan009
16/02/2013, 18h16
L'Olympique de Marseille a brisé sa série de trois matches sans victoire en s'imposant face à Valenciennes (1-0) grâce à Rod Fanni dans les arrêts de jeu.http://l2.yimg.com/bt/api/res/1.2/4jhOR8k35_rwiAne7oLvpw--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9MzYwO2NyPTE7Y3c9NjQwO2R4PTA7ZH k9MDtmaT11bGNyb3A7aD0zNTU7cT04NTt3PTYzMA--/http://media.zenfs.com/fr_FR/Sports/Eurosport/955731-15704666-640-360.jpg
Rod Fanni y a cru jusqu'au bout. Et rien que pour cela, le latéral droit mériterait une médaille tant l'OM a une nouvelle fois montré un triste visage, samedi face à Valenciennes (1-0). Buteur au bout du temps additionnel (90+4) après une prestation accomplie, jurant avec celle du collectif phocéen, l'international français a rendu un fier service à l'Olympique de Marseille qui reprend provisoirement la deuxième place du classement du Championnat de France, avec une longueur d'avance sur l'Olympique Lyonnais, qui se déplace à Bordeaux dimanche.
Avant que Rod Fanni ne trouve la faille et offre trois points pas loin d'être inespérés à l'OM, les Olympiens avaient commencé par faire le jeu et dominer des Nordistes qui, avant la rencontre, n'avaient plus perdu face à Marseille depuis cinq rencontres. Durant cette période "faste", André-Pierre Gignac et ses partenaires ne se sont pas créé des masses d'occasions mais, au moins, ont eu le mérite d'essayer. Un peu… Il y a eu ce lob mal ajusté de l'ancien Toulousain sur Nicolas Penneteau (19e), cette reprise du talon d'André Ayew repoussée par Néry sur sa ligne (30e). Et surtout cette frappe en pivot aux six mètres quelque peu ripée par Gignac qui a filé juste à côté du but nordiste (33e). On jouait depuis une grosse demi-heure. Après ? Encéphalogramme quasiment plat côté marseillais, avant que Fanni ne réveille tout le monde sur deux ou trois chevauchées, une reprise à côté (88e) et enfin son but de la dernière seconde.
Heureusement, il y avait Fanni
Pour Valenciennes, la déception est d'autant plus grande que, le temps passant, l'emprise - relative - marseillaise s'était effritée et les hommes de Daniel Sanchez avaient commencé à montrer le nez à la fenêtre. Plus entreprenants lors d'un deuxième acte, que Marseille a passé sur ses gardes, les Valenciennois ont forcé Mandanda à s'employer quelque peu. On n'ira pas jusqu'à dire que le portier international a tremblé. Mais il aurait bien aimé que les copains aillent un peu plus de l'avant. Mais non, pas plus que lors des semaines précédentes. L'Olympique de Marseille a rendu une pâle copie que les entrées d'Amalfitano et de Sougou n'ont pas bonifiée. Heureusement, il y avait Fanni. A huit jours de PSG - OM, le latéral droit est tombé à pic.
Rod Fanni y a cru jusqu'au bout. Et rien que pour cela, le latéral droit mériterait une médaille tant l'OM a une nouvelle fois montré un triste visage, samedi face à Valenciennes (1-0). Buteur au bout du temps additionnel (90+4) après une prestation accomplie, jurant avec celle du collectif phocéen, l'international français a rendu un fier service à l'Olympique de Marseille qui reprend provisoirement la deuxième place du classement du Championnat de France, avec une longueur d'avance sur l'Olympique Lyonnais, qui se déplace à Bordeaux dimanche.
Avant que Rod Fanni ne trouve la faille et offre trois points pas loin d'être inespérés à l'OM, les Olympiens avaient commencé par faire le jeu et dominer des Nordistes qui, avant la rencontre, n'avaient plus perdu face à Marseille depuis cinq rencontres. Durant cette période "faste", André-Pierre Gignac et ses partenaires ne se sont pas créé des masses d'occasions mais, au moins, ont eu le mérite d'essayer. Un peu… Il y a eu ce lob mal ajusté de l'ancien Toulousain sur Nicolas Penneteau (19e), cette reprise du talon d'André Ayew repoussée par Néry sur sa ligne (30e). Et surtout cette frappe en pivot aux six mètres quelque peu ripée par Gignac qui a filé juste à côté du but nordiste (33e). On jouait depuis une grosse demi-heure. Après ? Encéphalogramme quasiment plat côté marseillais, avant que Fanni ne réveille tout le monde sur deux ou trois chevauchées, une reprise à côté (88e) et enfin son but de la dernière seconde.
Heureusement, il y avait Fanni
Pour Valenciennes, la déception est d'autant plus grande que, le temps passant, l'emprise - relative - marseillaise s'était effritée et les hommes de Daniel Sanchez avaient commencé à montrer le nez à la fenêtre. Plus entreprenants lors d'un deuxième acte, que Marseille a passé sur ses gardes, les Valenciennois ont forcé Mandanda à s'employer quelque peu. On n'ira pas jusqu'à dire que le portier international a tremblé. Mais il aurait bien aimé que les copains aillent un peu plus de l'avant. Mais non, pas plus que lors des semaines précédentes. L'Olympique de Marseille a rendu une pâle copie que les entrées d'Amalfitano et de Sougou n'ont pas bonifiée. Heureusement, il y avait Fanni. A huit jours de PSG - OM, le latéral droit est tombé à pic.