soltan009
05/02/2013, 16h13
http://s.tf1.fr/mmdia/i/63/3/point-presse-kiosque-journaux-10334633kyqad_1713.jpg?v=2
Les lecteurs de quotidiens nationaux ne trouveront pas mercredi leurs journaux dans les kiosques en raison d'un mouvement de grève lancé par le Syndicat général du livre et de la communication écrite (SGLCE-CGT).Inutile d'aller chercher votre quotidien national préféré chez votre marchand de journaux mercredi. Suite à un mouvement de grève lancé mardi par le Syndicat général du livre et de la communication écrite (SGLCE-CGT), les éditeurs ont tout simplement choisi d'anticiper l'absence de distribution en ne les faisant pas imprimer.
L'appel du SGLCE-CGT à cesser le travail mardi pour empêcher la sortie des journaux nationaux datés de mercredi vise à peser sur les négociations du plan de restructuration des messageries Presstalis (http://lci.tf1.fr/infos/presstalis/presstalis-1.html) qui prévoit notamment la suppression de 1.250 postes sur 2.500 salariés.
Le Syndicat de la Presse (http://lci.tf1.fr/infos/presse/presse-1.html) quotidienne nationale (SPQN, patronat) a dénoncé mardi l'attitude des salariés de Presstalis en qualifiant la situation d"inédite" et d'une "gravité exceptionnelle". Presstalis, sauvé in-extremis de la faillite fin 2012, a ouvert des négociations en octobre pour sa réorganisation industrielle et son plan social. Une trentaine d'opérations sporadiques de blocage total ou partiel des journaux sont intervenues depuis.
Jeudi doit se tenir une rencontre entre la direction et l'ensemble des représentants syndicaux de Presstalis et de ses filiales. "Faute de solution rapide, c'est l'ensemble de la filière industrielle et logistique de la presse qui est gravement menacé, et à terme l'existence des quotidiens", estime le SPQN.
Les lecteurs de quotidiens nationaux ne trouveront pas mercredi leurs journaux dans les kiosques en raison d'un mouvement de grève lancé par le Syndicat général du livre et de la communication écrite (SGLCE-CGT).Inutile d'aller chercher votre quotidien national préféré chez votre marchand de journaux mercredi. Suite à un mouvement de grève lancé mardi par le Syndicat général du livre et de la communication écrite (SGLCE-CGT), les éditeurs ont tout simplement choisi d'anticiper l'absence de distribution en ne les faisant pas imprimer.
L'appel du SGLCE-CGT à cesser le travail mardi pour empêcher la sortie des journaux nationaux datés de mercredi vise à peser sur les négociations du plan de restructuration des messageries Presstalis (http://lci.tf1.fr/infos/presstalis/presstalis-1.html) qui prévoit notamment la suppression de 1.250 postes sur 2.500 salariés.
Le Syndicat de la Presse (http://lci.tf1.fr/infos/presse/presse-1.html) quotidienne nationale (SPQN, patronat) a dénoncé mardi l'attitude des salariés de Presstalis en qualifiant la situation d"inédite" et d'une "gravité exceptionnelle". Presstalis, sauvé in-extremis de la faillite fin 2012, a ouvert des négociations en octobre pour sa réorganisation industrielle et son plan social. Une trentaine d'opérations sporadiques de blocage total ou partiel des journaux sont intervenues depuis.
Jeudi doit se tenir une rencontre entre la direction et l'ensemble des représentants syndicaux de Presstalis et de ses filiales. "Faute de solution rapide, c'est l'ensemble de la filière industrielle et logistique de la presse qui est gravement menacé, et à terme l'existence des quotidiens", estime le SPQN.