soltan009
03/02/2013, 15h46
Diffuser ses photos sur internet est devenu une habitude. Cinq conseils à suivre pour éviter les mauvaises surprises.
Si publier ses photos sur Facebook, Instagram, Twitter, Viadeo ou tout autre site web, est devenu une habitude, reste que près d’un tiers des internautes se déclarent victimes de la publication de clichés compromettants (Source : Cnil). Les recommandations à suivre, pour éviter les mauvaises surprises.
1. RÉFLÉCHIR AVANT DE POSTER UNE PHOTO
La publication d’une photo ne doit pas se faire à la légère. Avant de diffuser un cliché sur internet, il faut, au préalable, adapter le type de photos au site sur lequel vous postez et surtout penser que tout peut se retrouver. Aussi, mieux vaut utiliser une photo pour son profil Facebook et une autre, différente, pour le réseau professionnel Viadeo et encore une autre sur le site de rencontres Meetic. Ces photos pouvant être pistées par un moteur de recherche d’images, il faut éviter tout lien entre vos différents profils. Il serait préjudiciable que votre futur employeur tombe sur les clichés de votre dernière soirée festive !
2. LIMITER L’ACCÈS AUX PHOTOS PUBLIÉES
Pour chaque photo publiée, il est possible de choisir les personnes qui y auront accès. Le contrôle de la consultation peut passer par la création d’une liste d’amis et le paramétrage individuel de chaque cliché. Si 74 % des internautes affirment demander l’avis des personnes qu’ils photographient avant de publier, seuls 44 % le font vraiment, selon la Cnil. Le bon usage voudrait que le sujet photographié donne son accord.
3. CONTRÔLER LES IDENTIFICATIONS (« TAGS »)
Le « tag » permet d’identifier une personne sur une photo, ce qui l’expose davantage, lors d’une recherche sur internet. Pour éviter d’être « pisté », paramétrez la façon dont vous pouvez être identifié par les autres internautes. Imposez votre accord lorsqu’un contact vous identifie, exigez d’être alerté lorsque vous êtes identifié et contrôlez régulièrement « les contacts » qui ont accès à vos photos, en particulier les plus anciennes. Si l’un de vos amis vous « taggue », vous pouvez, si vous le souhaitez, retirer votre nom de la photo.
4. GARE À LA SYNCHRONISATION AUTOMATIQUE DES PHOTOS
Sont ici visés, la fonction Photo Sync de Facebook ou Instant Upload de Google+, mais aussi les flux de photos relevant du « cloud computing » (service qui consiste à stocker des données personnelles sur des serveurs à distance). Utilisées sur des smartphones ou des tablettes, toutes ces fonctionnalités permettent de synchroniser automatiquement les photos prises, avec des services en ligne. Si leur usage est de plus en plus en vogue, vous avez tout intérêt à désactiver ces outils. Même si ces photos ne sont pas automatiquement rendues publiques, elles sont accessibles à l’éditeur du site ou service et pourraient être utilisées à des fins publicitaires, voire vous échapper totalement.
5. SUPPRIMER LES PHOTOS DÉRANGEANTES
Vous devez demander à la personne qui a publié une photo gênante de l’enlever. Si vous n’obtenez pas de réponse, vous pouvez exiger sa suppression en écrivant au siège social de l’entreprise ou du site concerné, de préférence par lettre recommandée avec avis de réception. À défaut de réponse satisfaisante de la part de la société, vous pouvez également saisir la Cnil (http://www.leparticulier.fr/jcms/c_96632/porter-plainte-rapidement-sur-le-site-de-la-cnil), pour exercer votre droit de suppression de vos données personnelles. Il est également possible de porter plainte pour atteinte au droit à l’image auprès du commissariat ou de la gendarmerie.
Si publier ses photos sur Facebook, Instagram, Twitter, Viadeo ou tout autre site web, est devenu une habitude, reste que près d’un tiers des internautes se déclarent victimes de la publication de clichés compromettants (Source : Cnil). Les recommandations à suivre, pour éviter les mauvaises surprises.
1. RÉFLÉCHIR AVANT DE POSTER UNE PHOTO
La publication d’une photo ne doit pas se faire à la légère. Avant de diffuser un cliché sur internet, il faut, au préalable, adapter le type de photos au site sur lequel vous postez et surtout penser que tout peut se retrouver. Aussi, mieux vaut utiliser une photo pour son profil Facebook et une autre, différente, pour le réseau professionnel Viadeo et encore une autre sur le site de rencontres Meetic. Ces photos pouvant être pistées par un moteur de recherche d’images, il faut éviter tout lien entre vos différents profils. Il serait préjudiciable que votre futur employeur tombe sur les clichés de votre dernière soirée festive !
2. LIMITER L’ACCÈS AUX PHOTOS PUBLIÉES
Pour chaque photo publiée, il est possible de choisir les personnes qui y auront accès. Le contrôle de la consultation peut passer par la création d’une liste d’amis et le paramétrage individuel de chaque cliché. Si 74 % des internautes affirment demander l’avis des personnes qu’ils photographient avant de publier, seuls 44 % le font vraiment, selon la Cnil. Le bon usage voudrait que le sujet photographié donne son accord.
3. CONTRÔLER LES IDENTIFICATIONS (« TAGS »)
Le « tag » permet d’identifier une personne sur une photo, ce qui l’expose davantage, lors d’une recherche sur internet. Pour éviter d’être « pisté », paramétrez la façon dont vous pouvez être identifié par les autres internautes. Imposez votre accord lorsqu’un contact vous identifie, exigez d’être alerté lorsque vous êtes identifié et contrôlez régulièrement « les contacts » qui ont accès à vos photos, en particulier les plus anciennes. Si l’un de vos amis vous « taggue », vous pouvez, si vous le souhaitez, retirer votre nom de la photo.
4. GARE À LA SYNCHRONISATION AUTOMATIQUE DES PHOTOS
Sont ici visés, la fonction Photo Sync de Facebook ou Instant Upload de Google+, mais aussi les flux de photos relevant du « cloud computing » (service qui consiste à stocker des données personnelles sur des serveurs à distance). Utilisées sur des smartphones ou des tablettes, toutes ces fonctionnalités permettent de synchroniser automatiquement les photos prises, avec des services en ligne. Si leur usage est de plus en plus en vogue, vous avez tout intérêt à désactiver ces outils. Même si ces photos ne sont pas automatiquement rendues publiques, elles sont accessibles à l’éditeur du site ou service et pourraient être utilisées à des fins publicitaires, voire vous échapper totalement.
5. SUPPRIMER LES PHOTOS DÉRANGEANTES
Vous devez demander à la personne qui a publié une photo gênante de l’enlever. Si vous n’obtenez pas de réponse, vous pouvez exiger sa suppression en écrivant au siège social de l’entreprise ou du site concerné, de préférence par lettre recommandée avec avis de réception. À défaut de réponse satisfaisante de la part de la société, vous pouvez également saisir la Cnil (http://www.leparticulier.fr/jcms/c_96632/porter-plainte-rapidement-sur-le-site-de-la-cnil), pour exercer votre droit de suppression de vos données personnelles. Il est également possible de porter plainte pour atteinte au droit à l’image auprès du commissariat ou de la gendarmerie.