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Discussion: Tennis

  1. #1841
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    Re : Tennis

    Jean-Julien Rojer et Horia Tecau remportent le double

    Deux ans après leur dernier succès dans un tournoi du Grand Chelem, Jean-Julien Rojer et Horia Tecau ont remporté vendredi le double hommes de l'US Open après leur victoire en finale contre Marc Lopez et Feliciano Lopez (6-4, 6-3).
    Avant d'assister aux demi-finales du simple hommes de l'US Open, le public du stade Arthur Ashe a pu vivre vendredi à la finale du double. Jean-Julien Rojer et Horia Tecau s'y sont imposés contre Marc Lopez et Feliciano Lopez. Le Néerlandais et le Roumain l'ont emporté en deux sets contre la paire espagnole (6-4, 6-3). Plus précis à la relance, le double vainqueur s'est offert un deuxième titre en Grand Chelem depuis le début de leur association en 2014 après Wimbledon en 2015.



    (double femmes) : Martina Hingis et Chan Young-Jan en finale

    La Suissesse et la Taïwanaise se sont qualifiées vendredi pour la finale du double de l'US Open.
    Martina Hingis et Chan Young-Jan se sont imposées en demi-finales face à l'Indienne Sania Mirza et la Chinoise Peng Shuai (6-4, 6-4). L'autre demie va opposer deux paires tchèques : Lucie Hradecka et Katerina Siniakova affrontent Lucie Safarova et Barbora Strycova.
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    Re : Tennis

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    Dernière modification par rachidbeo55 ; 09/09/2017 à 09h31.

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    Re : Tennis

    Martina Hingis se qualifie aussi pour la finale du double mixte

    La Suissesse Martina Hingis, déjà présente en finale du double femmes, s'est qualifiée vendredi pour la finale du double mixte en compagnie de Jamie Murray.
    Quelques heures après avoir remporté la demi-finale du double féminin avec Chan Young-Jan, la Suissesse Martina Hingis a réussi à se qualifier pour la finale du double mixte. Associée à Jamie Murray, l'ancien n°1 mondiale a battu CoCo Vandeweghe et Horia Tecau. Le Roumain ne pourra pas faire le doublé après sa victoire dans le tableau du double masculin. Murray et Hingis retrouveront en finale Hao-Ching Chan et Michael Venus.



    Kevin Anderson premier finaliste de l'US Open après sa victoire contre Carreno Busta

    Kevin Anderson s'est qualifié pour la première finale de Grand Chelem de sa carrière en venant à bout de l'Espagnol Pablo Carreno Busta (4-6, 7-5, 6-3, 6-4). Le Sud-Africain affrontera Rafael Nadal ou Juan Martin Del Potro.
    On s'attendait à ce que soit cet US soit très, très Open, en l'absence de quatre membres du top 10 (Djokovic, Murray, Wawrinka et Nishikori), mais de là à anticiper la présence de Kevin Anderson en finale à Flushing Meadows dimanche, certainement pas. Le Sud-Africain de trente et un ans disputera sa toute première finale de Grand Chelem grâce à sa victoire contre l'autre invité surprise du dernier carré, l'Espagnol Pablo Carreno Busta (4-6, 7-5, 6-3, 6-4). Il est le premier joueur d'Afrique du Sud à réaliser cette performance depuis un autre Kevin, Curren, en 1985 à Wimbledon, le dernier l'ayant réalisé à l'US Open étant Cliff Drysdale en 1965. Le 32e mondial devient également le joueur le plus mal classé à atteindre la finale du Majeur new-yorkais depuis l'instauration du classement ATP en 1973.
    Anderson a certes profité d'un tableau favorable à New York - moins que Carreno Busta, qui a affronté quatre qualifiés (King 308e, Norrie 225e, Mahut 115e et Shapovalov 69e) puis Diego Schwartzman (33e) en quarts - et de l'élimination précoce d'Alexander Zverev, 6e mondial et vainqueur du Masters 1000 de Montréal en août, qu'il devait affronter au troisième tour. Mais il s'est aussi montré extrêmement solide tout au long de la quinzaine, en particulier sur son engagement. En six matches, il n'a concédé sa mise en jeu qu'à cinq reprises !

    Anderson : «Mes émotions ont pris le dessus à la fin. Je suis au septième ciel»
    Contre Carreno Busta, il l'a pourtant perdue dès le premier set. Très tendu, il a commis plus d'erreurs qu'à son habitude (14 fautes direct dans cette manche, pour seulement 8 coups gagnants), ce dont a profité l'Espagnol pour breaker et prendre les devants. Mais, au fur et à mesure que la partie avançait et à force de s'encourager après chaque point remporté, Anderson a progressivement pris le dessus face au 19e mondial dont l'incroyable couverture de terrain ne suffisait plus. Un break à 6-5 dans le deuxième set, à 2-1 dans le troisième et à 2-2 dans le quatrième lui ont donné l'avantage. La première balle de match fut la bonne et Anderson s'est précipité dans le box où se trouvait son clan, en premier lieu son frère Greg, avec qui il a joué «des millions d'heures» depuis qu'il a cinq ans.
    «Je ne sais pas quoi dire ! Ça a été une longue route, ça a été dur mais ça a été un privilège de jouer face à certains des plus grands joueurs de l'histoire et c'est bien que certains nous aient donné une chance d'aller loin dans ce tournoi, a-t-il malicieusement glissé à la fin du match. C'est la première fois pour nous deux sur le plus grand terrain de tennis du monde à un tel niveau de compétition. Mes émotions ont pris le dessus à la fin. Je suis au septième ciel.» En finale, Anderson affrontera Rafael Nadal ou Juan Martin Del Potro, qui s'affrontent un peu plus tard dans la nuit.



    Rafael Nadal domine Del Potro en deux temps en demi-finale de l'US Open

    Bousculé dans le premier set, Rafael Nadal a dominé le reste de sa demi-finale face à Juan Martin Del Potro à l'US Open (4-6, 6-0, 6-3, 6-2). Dimanche, il visera un troisième titre à New York.
    Après avoir fait illusion pendant un premier set brillamment remporté, Juan Martin Del Potro s'est incliné en quatre manches face à Rafael Nadal en demi-finale de l'US Open (4-6, 6-0, 6-3, 6-2) vendredi soir. L'Espagnol affrontera Kevin Anderson en finale, dimanche, pour tenter d'emporter un troisième titre à New York après 2010 et 2013.
    «Ça représente beaucoup pour moi, a-t-il lâché, un immense sourire sur le visage. C'est une incroyabe saison après quelques années compliquées pour moi, des blessures, des moments difficiles... Cette année a été pleine d'émotions depuis le début et c'est génial d'être de retour en finale sur ce court, devant ce public.»
    Dans un Stade Arthur-Ashe plein à ras bord, les supporters argentins ont pu y croire pendant cinquante minutes, soit la durée du premier set. Pendant cette entame, Del Potro est apparu un petit ton au-dessus, avec un revers fiable et un coup droit toujours aussi redoutable. L'Argentin s'est fourni la première balle de break à 1-1. Un premier avertissement pour Nadal qui s'en sortait mais cédait finalement deux jeux plus tard. A 2-2, Del Potro voyait son retour taper la bande pour venir mourir de l'autre côté du filet. Ce break chanceux, «Delpo» n'allait pas le gaspiller pliant la manche sur la deuxième occasion d'un coup droit gagnant supersonique (6-4).
    C'est juste après que le match a complètement basculé en faveur de l'Espagnol, supporté par le golfeur Tiger Woods dans sa box. Un Nadal plus précis, plus offensif aussi d'un côté, un Del Potro moins saignant de l'autre, les neuf jeux suivants étaient à sens unique. Le numéro 1 mondial rempochait la deuxième manche en 27 minutes (6-0) avec treize coups gagnants pour une seule faute directe. Il continuait sur ce rythme en début de troisième set, faisant le break d'entrée, au terme d'un magnifique échange, conclu par un coup droit gagnant le long de la ligne qui prenait Del Potro à contrepied. «J'avais perdu le premier set donc je devais changer quelque chose, a analysé l'Espagnol sur le terrain. Je ne jouais pas mal mais un peu trop sur son revers. Il m'attendait là bas et il avait des opporunités de couvrir parce que je tapais trop sur ce côté. J'ai essayé de le faire plus bouger, d'être plus imprévisible.»
    L'Argentin s'est ensuite repris et les débats se sont équilibrés (6-3 au troisième). Mais une nouvelle baisse de régime lui a été fatale. A 1-1 au quatrième, trois fautes directes consécutives de Del Potro donnaient le break à Nadal (2-1), qui confirmait encore deux jeux plus tard bien aidé par deux nouvelles fautes directes et une double faute de son adversaire (4-1). Il n'avait plus qu'à contrôler la fin de partie. Après 2 h 28 de jeu, il validait sa première balle de match, sur un dernier passing de revers, et validait sa participation à une quatrième finale à l'US Open après 2010, 2011 et 2013. Il poursuit également sa série de victoire en demi-finale de Grand Chelem (15e de suite depuis sa défaite contre... Del Potro en 2009 ici). «Quand on est là, c'est qu'on a déjà gagné quelques matches donc on a un certain niveau de confiance, a-t-il expliqué. J'espérais que les trois sets contre Leonard Mayer étaient un tournant pour moi dans le tournoi et ça a été le cas.»



    Del Potro est «en colère» après sa défaite en demi-finales de l'US Open contre Nadal

    Juan Martin Del Potro était agacé d'avoir manqué l'occasion d'atteindre la finale de l'US Open mais reconnaissait la supériorité de Rafael Nadal.
    Juan Martin Del Potro, battu par Rafael Nadal en demi-finale de l'US Open : «Je n'ai jamais eu le contrôle du match, j'ai été chanceux de le breaker avec la balle sur la bande du filet au premier set. Rien de spécial n'est arrivé après. Il a juste mieux joué. Je ne pouvais pas aussi bien frapper mon revers qu'en début de match. C'est un gaucher donc il pouvait trouver facilement mon côté gauche. Il a joué de manière très intelligente à partir du deuxième set et il a dominé le reste du match. C'était la première fois que j'ai été dominé comme ça par lui mais c'est aussi la première fois que je l'affronte sans un bon revers.
    Je suis en colère de laisser passer une chance comme ça mais peut-être que demain, je serai plus calme et je me rendrai compte de ce que j'ai fait dans ce tournoi. Je me sentais mieux avec mon revers mais c'était insuffisant pour gagner un titre ou battre deux tops joueurs à la suite. Parce qu'on dépend trop de ce qu'ils font eux. Face à Nadal, il faut réussir des coups gagnants des deux côtés. Quand vous n'avez pas assez de confiance pour jouer trois ou quatre heures avec le revers face à lui, ce n'est qu'une question de temps avant de perdre son service. Il a joué très intelligemment parce que j'étais prêt sur mon côté gauche et quand il allait de l'autre côté, il gagnait le point.»



    Nadal a «changé de tactique» pendant sa demi-finale remportée contre Del Potro

    «Comment analysez-vous cette qualification en finale ?

    C'est un jour important pour moi, une victoire importante contre un grand adversaire. Il avait accumulé de la confiance avec ses victoires contre Roger (Federer) et Dominic (Thiem). Il a joué beaucoup de matches difficiles dans le tournoi. Moi, j'ai joué un match solide. Après le premier set, j'ai changé de tactique. Ça a fait la différence. Je sentais bien la balle au premier set, mais je me suis trompé dans ma façon de jouer. J'ai compris qu'il fallait que je sois un peu plus imprévisible, parce qu'il m'attendait sur son revers. Il ne bougeait pas de ce côté. Moi je devais couvrir tout le court, lui seulement 60%, donc c'était un gros avantage pour lui. J'ai complètement changé de stratégie en jouant beaucoup plus sur son coup droit, long de ligne ce qui m'a rendu moins prévisible. C'est devenu plus dur pour lui car il ne savait plus où aller. Il arrivait plus souvent sur son revers en mouvement, et c'est plus difficile pour lui que quand il frappe son revers à l'arrêt. Ensuite, je pense que je n'ai pas fait beaucoup de fautes après le premier set et j'ai frappé de bons coups gagnants. J'ai bien servi, très bien même. Globalement, j'ai fait un très bon match. Je suis heureux de mon niveau de jeu.
    Pourquoi la stratégie consistant à jouer sur son revers n'a pas fonctionné au premier set ?
    Je suis arrivé sur le court avec l'idée de frapper plus sur son revers. Je me disais qu'il fallait que j'aille sur son coup droit, mais je n'avais pas la bonne détermination au début pour le réussir. Parfois, il faut perdre ou voir que les choses ne vont pas dans ton sens pour se décider à changer. Après avoir perdu le premier set, je me suis dit que si je continuais comme ça, je risquais d'avoir deux sets de retard. Donc j'ai changé de tactique et ça a bien marché. Je suis en confiance, je fais les bonnes choses. Et mon service a très bien marché. Au premier set, je visais trop son revers sur mon service aussi. Ensuite j'ai changé mon rythme de service. C'était très important. Mais surtout, après le premier set, il ne pouvait plus enchaîner les frappes dans des bonnes positions. Ça a fait la différence.
    «Je vais me battre pour gagner un nouveau titre ici, mais ma saison est déjà réussie»
    Comment expliquez-vous votre très bon niveau de jeu cette saison après plusieurs années marquées par des blessures ?
    Quand je suis arrivé en Australie, je sentais que je jouais à un très haut niveau. Mais après, il faut gagner des matches. Il faut faire pareil en compétition. C'est une question de confiance. Ce sont des automatismes sur le court qui viennent avec l'accumulation des matches. Tu n'as plus besoin de réfléchir à ce que tu dois faire dans les moments importants. Ça vient tout seul. Et tout ça, ça arrive quand tu gagnes beaucoup de matches d'affilée. Donc le début d'année a été très positif, mais la saison sur terre a été incroyable. Ça m'a donné beaucoup de confiance, ça m'a permis d'être plus calme. Et je suis en finale ici. C'est déjà un grand résultat pour moi. Il me reste un dernier match contre un adversaire très costaud, il faut que je me prépare. C'est très certainement le match le plus important qu'il me reste à jouer cette saison.
    Vous êtes donc à une victoire de remporter deux Grands Chelems dans la même année...
    Vous savez, le plus important pour moi, au-delà de gagner des Grands Chelems, c'est d'être heureux. Je suis heureux si je suis en bonne santé et si je me sens compétitif. C'est ce qui s'est passé cette année. Gagner à Monte-Carlo, Barcelone, Madrid, Roland-Garros, être en finale ici, tout ça me rend heureux. Gagner ou perdre la finale fera une grande différence, mais je suis déjà très content de tout ce qui m'est arrivé cette année. Je vais me battre pour gagner un nouveau titre ici. Mais ma saison est déjà réussie.»
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    Re : Tennis

    Martina Hingis et Jamie Murray remportent le double mixte à l'US Open

    La Suissesse Martina Hingis et le Britannique Jamie Murray, têtes de série n°1, ont remporté samedi le tournoi de double mixte de l'US Open, la 4e et dernière manche du Grand Chelem de tennis, en battant en finale la Taïwanaise Chan Hao-Ching et le Néo-Zélandais Michael Venus, têtes de série n°3, 6-1, 4-6, 10/8. La rencontre a duré 1 heure et 9 minutes.
    Hingis, ancienne N.1 mondiale en simple et en double dames, a décroché à 36 ans son 24e titre du Grand Chelem, le septième en double mixte, vingt ans après sa retentissante victoire en finale de l'US Open 1997 contre Venus Williams à seulement seize ans.
    Murray, frère aîné d'Andy, compte désormais à son palmarès cinq titres du Grand Chelem, dont trois en double mixte.
    Déjà victorieux à Wimbledon
    Hingis et Murray avaient déjà remporté le titre à Wimbledon en juillet dernier pour le début de leur association et sont invaincus avec un bilan de dix victoires en autant de matches.
    Hingis n'a jamais connu la défaite dans une finale en double mixte. Elle affiche six trophées à son palmarès dans la spécialité, mais un seul à Flushing Meadows où elle avait triomphé en 2015 en compagnie de l'Indien Leander Paes. Il y a deux ans, elle avait même également remporté le double dames à New York, associée à l'Indienne Sania Mirza.
    Elle peut d'ailleurs encore réussir le même doublé à l'US Open 2017. Partenaire en double dames de la Taïwanaise Chan Yung-Jan, elle affrontera en effet dimanche en finale les Tchèques Lucie Hradecka et Katerina Siniakova.
    En attendant elle a déjà empoché un chèque de 150.000 dollars, environ 125.000 euros, à partager avec Murray.



    Rojer et Tecau remportent le double à l'US Open

    Le Néerlandais Jean-Julien Rojer et le Roumain Horia Tecau ont remporté le tournoi de double messieurs de l'US Open en battant vendredi en finale les Espagnols Marc et Feliciano Lopez 6-4, 6-3.
    Il s'agit du deuxième titre en Grand Chelem de la paire néerlando-roumaine, qui avait remporté Wimbledon en 2015, et de leur quatrième titre cette année après Dubai, Genève et Winston-Salem.
    Discours politique
    Après sa victoire, Rojer qui a porté tout au long du tournoi un tee-shirt représentant la Statue de la Liberté, a livré un discours à caractère politique en référence à l'actualité depuis l'élection de Donald Trump.
    "Défendre la paix et la liberté"
    "Je vis aux Etats-Unis depuis que j'ai douze ans, c'est un grand pays, je suis heureux qu'ils m'aient laissé vivre ici et donné le possibilité de faire ce que je fais, j'espère qu'on va continuer à offrir de telles opportunités à tout le monde", a-t-il expliqué. "L'idée (du tee-shirt) est venue après ce qu'il s'est passé à Charlottesville pour défendre la paix et la liberté", a-t-il ajouté.
    Charlottesville
    Le mois dernier, à Charlottesville, en Virginie, une manifestation de militants d'extrême droite américaine a dégénéré lorsqu'une femme de 32 ans a été tuée par un sympathisant néonazi qui a intentionnellement percuté des contre-manifestants antiracistes avec son véhicule.
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  6. #1845
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    Re : Tennis

    Sloane Stephens dans la cour des grandes

    L'Américaine Sloane Stephens (WTA 83) a remporté à 24 ans son premier titre du Grand Chelem dès sa première finale en battant sa compatriote Madison Keys (WTA 16), 6-3, 6-0, samedi à New York.
    Stephens a ainsi décroché avec une impressionnante sérénité le cinquième titre de sa carrière, de loin le plus important qui lui garantit un gain de 3,7 millions de dollars (3,07 millions d'euros).
    La Floridienne est la première Américaine sacrée en Grand Chelem depuis Jennifer Capriati à l'Open d'Australie 2002 et à l'US Open depuis Lindsay Davenport en 1998, qui ne s'appelle pas Venus ou Serena Williams.
    Elle a bouclé en beauté avec ce titre un incroyable parcours: privée de compétition pendant onze mois à cause d'une fracture de fatigue à un pied et retombée à la 957e place mondiale, elle n'a fait son retour en compétition qu'en juillet.
    Elle avait atteint à la surprise générale les demi-finales des tournois de Toronto et de Cincinnati pour se présenter à New York en outsider.
    Après avoir éliminé notamment l'Italienne Roberta Vinci au 1er tour, la Slovaque Dominika Cibulkova au tour suivant et surtout sa compatriote Venus Williams en demis, Stephens a nettement dominé son adversaire et amie dans la vie, beaucoup plus nerveuse.
    Elle a fait le break dès le cinquième jeu et n'a jamais été mise en danger dans un premier set empoché en 30 minutes de jeu avec 17 fautes directes de Keys.
    Keys, opérée à deux reprises d'un poignet en 2017, n'a pas trouvé de solution dans la seconde manche où elle a perdu pied.
    Toujours aussi fébrile face à une Stephens implacable (6 fautes directes seulement contre 30), elle a perdu son service d'entrée pour être menée 3 à 0, puis a concédé encore sa mise en jeu sur une énième faute directe.
    Menée 4-0, elle s'est offert trois balles de debreak repoussées avec autorité par Stephens, puis a laissé la victoire à Stephens à la troisième balle de match après 61 minutes de jeu.
    En larmes, elles se sont longuement ensuite étreint au milieu du court et sont restées assises côte à côte pour attendre la cérémonie de remise des trophées.









    Dernière modification par chenoui70 ; 10/09/2017 à 04h40.
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    Re : Tennis

    C'est mérité. Bravo à elle.

  8. #1847
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    Re : Tennis

    A la découverte de Kevin Anderson, le surprenant adversaire de Rafael Nadal en finale

    A 31 ans, Kevin Anderson va disputer sa première finale d’un tournoi du Grand Chelem. Découverte du géant Sud-Africain.
    C’est le premier joueur de plus de deux mètres à atteindre la finale d’un tournoi du Grand Chelem
    Du haut de ses 2,03 mètres, Kevin Anderson est déjà entré dans l’histoire en devenant le premier joueur de plus de deux mètres à atteindre une finale d’un Grand Chelem. Le record était pointé auparavant à 1, 98 m avec notamment Juan Martin del Potro (2009). Par ailleurs, Kevin Anderson, 32e mondial, est le tennisman le moins bien classé à accéder à la finale de l'US Open ! Anderson, qui affiche à son palmarès trois titres ATP (Johannesburg, Delray Beach, Winston-Salem) avait déjà brillé à New York, il y a deux ans, en y atteignant les quarts de finale. Il avait notamment fait tomber Andy Murray en 8es, mettant fin, au passage, à sept éliminations en huitièmes de finale en Grand Chelem…
    Il a accumulé les blessures en 2016
    «Je suis au 7e ciel, il y a 9 mois on m'a dit que je devais me faire opérer d'une hanche et maintenant, je suis en finale dans l'un des plus grands tournois du monde». Dans l’ombre des Nadal et Federer, Anderson revient de loin et signe l’un des come-backs les plus retentissants de 2017. Après son quart à l’US Open, ce redoutable serveur avait ainsi grimpé à la 10e place mondiale en octobre 2015, mais avait ensuite collectionné les pépins physiques (genou, épaule, cheville). Il a surtout été blessé à une hanche (déchirure du labrum acétabulaire). Une blessure qui l'a privé de compétition jusqu'à mars dernier. Il avait ainsi reculé jusqu'à la 80e place mondiale, à l’issue d’une triste année 2016 (17 victoires, 21 défaites), avant de réussir un come-back assez spectaculaire ces derniers mois
    C’est l’un des tubes de l’été 2017

    Après un printemps et un début d’été assez régulier (demi-finale à Estoril, quart à Genève, 8es à Roland-Garros et Wimbledon), le Sud-Africain est monté en puissance au mois d’août et a fait un bond au classement ces dernières semaines, grâce notamment à sa finale au tournoi de Washington fin juillet et son quart de finale du Masters 1000 de Montréal en août. Profitant d’un bas de tableau dévasté lors de l’US Open, il confirme sa très belle forme ces quinze derniers jours. Quoiqu’il arrive, il grimpera aux alentours de la 15e place mondiale grâce à cette place de finaliste. Il pourrait même faire son retour dans le top 10 en cas de sacre.
    Il a fait ses armes tennistiques aux États-Unis et y a rencontré sa femme

    Floridien d'adoption depuis plusieurs années, Kevin Anderson peut être considéré comme le plus américain des Sud-Africains. Né à Johannesburg, Kevin Anderson a commencé à jouer au tennis à l’âge de 6 ans. Mais c’est aux États-Unis, où il est installé depuis qu'il a 18 ans, qu’il a parfait sa formation à l’université d’Illinois entre 2005 et 2007, où il a tout raflé, trois fois titré en simple et deux fois en double dans le Championnat universitaire américain (NCAA), avant de passer pro en 2007. C’est sur le campus qu’il a également rencontré sa future femme, Kelsey O’Neal qui évoluait dans l’équipe de golf de l’Université d’Illinois. Cette dernière décrit dans un blog plein d'humour la vie «glamour» des femmes de joueurs.
    Il a le soutien des meilleurs golfeurs de son pays et des Springboks

    Kevin Anderson est devenu le premier Sud-Africain en finale de l'US Open depuis 1965. Cliff Drysdale s'était alors incliné face à l'Espagnol Manuel Santana. Le dernier sacre d'un Sud-Africain en Grand Chelem remonte à 1981 lorsque Johan Kriek avait remporté l'Open d'Australie... C’est dire que la présence d’Anderson en finale d’un Grand Chelem est un événement dans le pays du rugby et du golf. Le géant peut compter sur le soutien de grandes figures du sport sud-africain «Je n'ai jamais ressenti ça avant, mais là, je perçois que j'ai tout le pays derrière moi. J'ai vu des messages de soutien d'Ernie Els et Louis Oosthuizen, deux grands golfeurs que j'avais rencontrés en Floride (où il réside à Delray Beach) ». Les Springboks sur leur compte Twitter officiel ont également affiché des encouragements officiels.




    Anderson face au défi Nadal : «J’ai hâte d’y être»
    A 31 ans, le Sud-Africain va vivre sa première finale d’un tournoi du Grand Chelem, après avoir battu Pablo Carreño Busta (4-6, 7-5, 6-3, 6-4). Il retrouvera Rafael Nadal dimanche.
    Kevin Curren, le dernier Sud-Africain à avoir atteint la finale d’un Grand Chelem, avait dit qu’il faudrait lâcher une bombe atomique sur l’US Open... On peut imaginer que votre sentiment est tout autre ?
    Clairement! C’est vraiment génial d’être dans cette position, j’ai travaillé très dur pour y arriver. C’est un super feeling de me retrouver sur cette scène. Le plus important, c’est que je me suis donné les moyens d’être en finale et maintenant je vais pouvoir jouer pour un trophée du Grand Chelem. C’est vraiment un sentiment incroyable. J’ai besoin de me préparer. Ce sera forcément un match compliqué derrière, mais là j’essaie surtout de me relâcher un petit peu et d’essayer de simplement apprécier le match d’aujourd’hui.
    Vous avez été beaucoup blessé ces dernières années, pratiquement dans tout votre corps. Auriez-vous pu imaginer vous retrouver ici aujourd’hui ?
    L’année dernière fut très compliquée pour moi. Beaucoup d’arrêts, de reprises… C’était très frustrant, car certaines blessures m’ont forcées à quitter le circuit, mais il y en avait aussi plusieurs qui m’ont juste constamment gêné, qui ne me permettaient pas de jouer au niveau requis. L’une qui amène à l’autre, un peu de tout ça. A la fin de l’année, j’ai failli me faire opérer de la hanche, qui me gênait beaucoup. J’ai eu de la chance d’y échapper. Ça m’a beaucoup affecté de ne pas pouvoir aller en Australie en début de saison. J’avais travaillé très dur. Je pouvais frapper la balle super bien, mais je n’avais pas l’état de forme pour jouer les matchs.
    J’ai toujours été très critique envers moi-même. Je crois que je suis plus patient désormais(Kevin Anderson)
    C’était votre première demi-finale en tournoi majeur, mais ce sera encore différent dimanche, comment anticipez-vous cette finale ?
    Je vais me retrouver contre quelqu’un qui a déjà connu ça, alors que c’est tout nouveau pour moi. Mais je crois aussi que je me suis très bien débrouillé pour mettre tous les facteurs extérieurs de côté pendant ce tournoi. Je me suis occupé de moi-même, de mon côté du terrain. Ça a bien marché, donc je ne vais pas faire grand-chose de différent. C’était assez physique ce soir et il faudra que je sois à 100%.
    Pensez-vous qu’il faudra qu’il y aura aussi de nouvelles choses à gérer, sachant que ce sera tout nouveau comme vous l’avez dit ?
    Oui, je suis sûr que ce sera assez différent de ce que j’ai vécu jusque-là, lorsque je vais rentrer sur le court dimanche. Mais cela va être vraiment essentiel pour moi d’essayer, autant que possible, de bloquer tout cela. Il y aura sûrement une ou deux choses à gérer… Je pense que les routines que j’ai sur le terrain sont faîtes pour ça. Vous pouvez être nerveux à chaque match. Là ce sera juste à une autre échelle, donc il faudra que je me repose encore plus là-dessus. J’ai hâte d’y être, j’ai travaillé très dur pour y arriver. C’est génial que je m’en sois donné l’opportunité. Je serai très excité dimanche…
    Pouvez-vous parler de l’aspect mental, et comment vous avez travaillé là-dessus cette année ?
    Quand vous regardez juste les entrainements, tout le monde est incroyable. La partie mentale est une composante énorme. Les meilleurs, ils ont vraiment cette force, ce sont les meilleurs compétiteurs. J’ai toujours été très critique envers moi-même. Je crois que je suis plus patient désormais. J’ai l’impression que c’est quelque chose que j’ai réussi à ajouter ces derniers mois. J’essaie d’être un peu plus positif.
    Nadal est l’un des plus grands compétiteurs de tous les temps(Kevin Anderson)
    Vous sortez du court Arthur Ashe, qui s’était beaucoup impliqué pour votre pays, Nelson Mandela avait aussi un intérêt certain pour le tennis… Votre succès peut-il servir d’exemple en Afrique du Sud ?
    Les gens aiment beaucoup le tennis dans mon pays, beaucoup de gens y jouent. Nous avons par contre beaucoup de difficultés à produire des joueurs pros. Quand je reviens à la maison, il y a beaucoup d’intérêt… Vous me citez deux exemples qui ont une influence énorme. Mon souhait, je l’ai toujours dit, c’est que je puisse inspirer les gamins à sortir et jouer au tennis. Parce que cela peut paraître inatteignable si vous n’avez pas d’exemples proche de vous, que vous êtes éloigné de tout. C’était mon cas. J’essaie d’aller dans les écoles, autant que possible, avoir un impact. Je me concentre sur la jeunesse. Le tennis est un super sport, peu importe le niveau que l’on atteigne. Il y a beaucoup de leçons de vie…
    Il y a une vraie passion pour le sport en Afrique du Sud, et certains des tout-meilleurs sportifs vous ont apporté leur soutien. On imagine que cela vous touche ?
    Oui, c’est génial. Il y a tellement de super sportifs en Afrique du Sud. Je voyage énormément, donc je ne peux pas passer beaucoup de temps avec eux… A certains moments, je me suis retrouvé avec notre équipe nationale de rugby, il y a quelques années. Là il y a plusieurs joueurs de golf qui vivent près de chez nous. J’ai passé du temps avec Ernie Els notamment. Louis Oosthuizen et Charl Schwartzel aussi. J’essaie vraiment de faire partie de ce club de champions, ils ont gagné lors des tournois majeurs… J’ai adoré voir Louis et Charl venir me soutenir aujourd’hui.
    Pourriez-vous nous dire quelques mots sur Rafael Nadal, au cas où vous le jouiez dimanche (ce qui n’était pas certain à ce moment-là) ?
    Nadal est, selon moi, l’un des plus grands compétiteurs de tous les temps. Point-barre. C’est un combattant extraordinaire. Il contrôle vraiment bien tout le court, en tout cas les quelques fois où je l’ai joué. Il va falloir que je sois dominant et que j’essaie de contrôler les échanges autant que possible, car si vous le laissez faire, cela devient très difficile.







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    Re : Tennis

    Nadal s’offre un troisième titre à New York et un 16e trophée majeur

    Le numéro un mondial, l'Espagnol Rafael Nadal, s'est rapproché un peu plus du record du Suisse Roger Federer du nombre total de titres en Grand Chelem, en s'imposant dimanche en finale de l'US Open face au Sud-Africain Kevin Anderson. Le Majorquin remporte ainsi son 16e tournoi du Grand Chelem, et son 3e US Open, après avoir déjà triomphé cette année à Roland Garros.
    Nadal s'est défait du surprenant Kevin Anderson, 32e mondial et 28e tête de série à Flushing Meadows, en 2h27 sur le score de 6-3 6-3 6-4. Avant cette année, le Sud-Africain n'avait jamais été plus loin qu'un quart de finale à New York. Il s'agissait pour lui, à 31 ans, d'une première finale dans l'un des quatre tournois majeurs qui rythment la saison.
    Le Suisse Roger Federer, ancien roi du circuit, totalise 19 titres en Grand Chelem. Il a été sorti cette année en quart de finale par l'Argentin Juan Martin del Potro (ATP 28/N.24).
    Si l'US Open 2017 n'a ainsi pas ménagé les cadors, dont le Bâlois, la logique a été en revanche scrupuleusement respectée en finale. Nadal, qui disputait sa 23e finale en Grand Chelem, a dominé son adversaire, s'imposant avec autorité. A 31 ans, il affiche désormais un total de 74 titres à son palmarès.
    Alors que son dernier titre sur ciment remontait à janvier 2014 (Doha), "Rafa" a montré que, comme à ses plus belles années, rien ne lui résistait et que sa piètre saison 2016, perturbée par une blessure à un coude, n'était plus qu'un lointain souvenir.
    Dans le premier set, alors que Nadal remportait facilement ses jeux de service, Anderson, particulièrement vulnérable sur ses deuxièmes balles de service, était rapidement sous pression: il lui a fallu ainsi batailler près de dix minutes pour remporter son deuxième jeu de service. Il a repoussé quatre balles de break, avant de céder, en envoyant une attaque de coup droit dans le couloir, à la cinquième, ce qui permettait à Nadal de mener 4-3, puis 5-3.
    Le N.1 mondial, de plus en plus incisif, a empoché grâce à une volée gagnante la première manche sur le service de son adversaire après 58 minutes de jeu. Le scénario s'est répété quasiment à l'identique dans la deuxième manche, sauf que Nadal a pris le service du Sud-Africain dès le 6e jeu, en multipliant les montées au filet.
    Mené deux manches à zéro après un peu moins de deux heures heure de jeu, Anderson s'est encore plus compliqué la tâche en cédant d'entrée son service après une série de quatre fautes directes. Il n'a pas réussi à renverser la situation et a permis à Nadal de servir pour le match à 5-4: l'Espagnol, malgré un dernier sursaut d'Anderson, n'a pas laissé passer sa chance en concluant sa finale sur une dernière volée gagnante.


    Nadal: "Me comparer à Roger n'est pas une motivation"

    Après son sacre à l'US Open dimanche, son deuxième titre du Grand Chelem de l'année, le 16e de sa carrière, le N.1 mondial Rafael Nadal a le sentiment d'avoir réalisé en 2017 "l'une des meilleures saisons de sa carrière".
    Vous avez donné face au Sud-Africain Kevin Anderson, battu 6-3, 6-3, 6-4, l'impression d'une grande sérénité...

    "Je peux vous assurer que j'étais nerveux, mais j'ai bloqué tous les signes de frustration que j'aurais pu renvoyer, je ne voulais pas avoir un langage corporel négatif. On sait que quand on joue une finale de ce niveau, on va faire des erreurs, il faut les accepter. J'ai joué le match que je devais jouer pour gagner contre Kevin. J'ai bien servi, sauf peut-être lors des deux derniers jeux du match, où j'étais très nerveux. Ma stratégie était de faire durer les échanges, alors que je savais qu'il voulait les abréger. Comme il est très grand (2,03 m, NDLR), ses déplacements sont moins bons que les miens, je voulais le fatiguer. Le premier set est très important: quand je prends son service (dans le 7e jeu pour mener 4-3, NDLR), cela change complètement le match, car, dans un tie-break contre un serveur comme Kevin, on ne sait jamais ce qui peut arriver".
    Quel bilan tirez-vous de votre saison 2017 en Grand Chelem?
    "C'est l'une des meilleures saisons de ma carrière, j'ai disputé trois finales en Grand Chelem, j'en ai gagné deux, je suis resté compétitif tout au long de l'année. C'est une année spéciale, à tous les aspects émotionnels aussi, après plusieurs saisons sans gagner de titres en Grand Chelem: 2014 et 2016 ont été difficiles à cause des blessures, tandis que 2015 était une année difficile, pas à cause d'une blessure, mais d'un point de vue psychologique. Le vrai problème de ma saison dernière, ce n'était pas mon niveau de jeu, c'est ma blessure au coude: avant d'abandonner à Roland Garros, je jouais bien, je ne dis pas que j'aurais gagné le titre, mais je jouais bien. Je suis très heureux de ce que j'ai accompli cette année, j'ai gagné à nouveau sur ciment, je suis resté en bonne santé, cela donne beaucoup d'énergie positive pour le reste de la saison".
    Avec 16 titres, vous n'êtes plus qu'à trois longueurs des 19 titres de Roger Federer, est-ce une motivation de le rejoindre ou de le dépasser au moment où votre rivalité semble repartie de plus belle?
    "Je suis très heureux de ce que j'ai réussi, j'ai gagné l'US Open. Me comparer à Roger n'est pas une motivation. L'important c'est que je gagne, peu importe s'il en gagne un, deux ou 24 de plus. Je ne vois pas la vie ou ma carrière en me comparant avec les autres, dans la vie il y aura toujours quelqu'un qui aura plus d'argent que toi. C'était difficile à imaginer il y a huit ou neuf mois que Roger et moi, nous allions gagner les quatre tournois du Grand Chelem de l'année. Merci à la vie pour cette opportunité, notre rivalité est importante pour notre sport, en raison de notre opposition de caractère et de style, mais ma rivalité avec Novak (Djokovic) est aussi importante".



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  10. #1849
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    Re : Tennis

    Les 16 Grands Chelems de Rafael Nadal

    Roland-Garros 2005
    Rafael Nadal a 19 ans lorsqu'il décroche son premier titre du Grand-Chelem, sur la terre de Roland-Garros, contre l'Argentin Mariano Puerta (6-7 [6], 6-3, 6-1, 7-5).





    Roland-Garros 2006
    Première victoire en finale Porte d'Auteuil contre Roger Federer. Le Suisse s'incline en quatre manches (1-6, 6-1, 6-4, 7-6 [4]).





    Roland-Garros 2007
    Encore un duel contre Roger Federer en finale à Roland-Garros, et encore une victoire de Rafael Nadal, en quatre sets (6-3, 4-6, 6-3, 6-4).





    Roland-Garros 2008
    Pour la troisième fois de suite, Rafael Nadal et Roger Federer s'affrontent en finale à Paris, et l'Espagnol s'impose encore, très facilement (6-1, 6-3, 6-0), et reçoit le trophée des mains de Björn Borg.




    Wimbledon 2008
    Ce match, fini à la tombée de la nuit, est entré dans l'histoire du tennis. Après deux échecs en 2006 et 2007, Rafael Nadal arrive enfin à battre Roger Federer à Wimbledon (6-4, 6-4, 6-7 [5], 6-7 [8], 9-7).




    Open d'Australie 2009
    Rafael Nadal s'impose pour la première fois à Melbourne, après avoir à nouveau battu Roger Federer (7-5, 3-6, 7-6 [3], 3-6, 6-2).





    Roland-Garros 2010
    Face au surprenant Suédois Robin Söderling, Rafael Nadal remporte une de ses finales les plus faciles à Roland-Garros (6-4, 6-2, 6-4).





    Wimbledon 2010
    Second titre pour Rafael Nadal à Londres. La finale, face à Tomas Berdych, est bien plus courte que la précédente (6-3, 7-5, 6-4).





    US Open 2010
    L'US Open est le Grand Chelem qui s'est refusé le plus longtemps à Rafael Nadal. Mais en 2010 l'Espagnol s'impose enfin, contre Novak Djokovic (6-4, 5-7, 6-4, 6-2).





    Roland-Garros 2011
    Rafael Nadal retrouve son meilleur ennemi en finale du Grand Chelem parisien en 2011. Roger Federer s'incline encore une fois (7-5, 7-6 [3], 5-7, 6-1).





    Roland-Garros 2012
    Battu quatre mois auparavant par Novak Djokovic à l'Open d'Australie, Rafael Nadal prend sa revanche face au Serbe dans son jardin (6-4, 6-3, 2-6, 7-5).





    Roland-Garros 2013
    Pour la première fois, Rafael Nadal affronte un compatriote en finale d'un Grand Chelem. David Ferrer s'incline en trois sets (6-3, 6-2, 6-3).





    US Open 2013
    Rafael Nadal équilibre son bilan en finale du Grand Chelem face à Novak Djokovic : 3-3. Le Serbe s'incline en quatre sets à New York (6-2, 3-6, 6-4, 6-1).





    Roland-Garros 2014
    La revanche de la finale de 2012, entre Rafael Nadal et Novak Djokovic, tourne encore une fois à l'avantage de l'Espagnol (3-6, 7-5, 6-2, 6-4).





    Roland-Garros 2017
    Absent des finales en 2015 et 2016, Rafael Nadal ne manque pas d'appétit en 2017, et Stan Wawrinka s'incline largement (6-2, 6-3, 6-1). C'est la decima pour l'Espagnol!





    US Open 2017
    Rafael Nadal décroche son 16e titre du Grand Chelem, lors d'une finale qu'il a dominée de bout en bout, jamais réellement inquiété par Kevin Anderson (6-3, 6-3, 6-4).
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    Re : Tennis


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