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Discussion: Internet

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    Internet : Bruxelles lance la bataille des cookies


    La commission européenne va dévoiler mercredi son projet de révision de la directive de 2002 sur la « e-privacy » - Shutterstock
    La commission européenne va dévoiler mercredi son projet de révision de la directive de 2002 qui régit la collecte et l’exploitation des données des utilisateurs.

    Branle-bas de combat dans l'industrie du numérique. La commission européenne va dévoiler mercredi son projet de révision de la directive de 2002 sur la « e-privacy », qui régit la collecte et l'exploitation des données des utilisateurs (localisation, sites visités, comportements de clics et d'achats, etc.). Sous pression du grand public, de plus en plus sensible à ces enjeux, Bruxelles promet un « haut de niveau de protection » des données personnelles.



    De quoi faire trembler de nombreux acteurs du secteur, tant les masses de données collectées jouent désormais un rôle central dans leur écosystème. Fin décembre, la fuite, dans « Politico », d'un projet de texte a mis le feu aux poudres. La Commission y joue, de fait, la fermeté pour redonner corps au principe du « consentement préalable obligatoire » de l'utilisateur avant toute collecte de ses données.
    Ce principe d'« opt-in » est en place depuis la dernière révision de la directive, en 2009, mais très peu efficace en l'état : l'utilisateur est généralement invité à accepter les cookies sans informations claires sur ce que cela implique, et certains sites sont inaccessibles en cas de refus.


    Le projet imposerait une autre approche : tous les « cookies tiers », ceux qui ne servent pas au fonctionnement direct du service mais à collecter des données pour des tiers les exploitant (marketing, publicité, etc.) devraient être bloqués par défaut. Leur activation serait du ressort libre de l'utilisateur, via une option. Et pas moyen d'y échapper : la directive va devenir un règlement, une forme juridique plus strict, les Etats devant l'appliquer à la lettre, sans marge de transcription nationale.
    Un bras de fer qui promet d'être intense

    Le projet a fait bondir le monde de la publicité en ligne, nourri aux cookies. « Ce projet viendrait très fortement perturber le modèle publicitaire sur lequel repose l'écosystème digital », ont réagi douze organisations patronales, dont DigitalEurope, dans un courrier à la Commission.
    Elles arguent que les cookies contribuent aussi à innover, via des publicités en ligne moins agressives mais mieux ciblées. « Les systèmes actuels de consentement mis en place par l'industrie sont des leurres. Les utilisateurs veulent la transparence et le contrôle total sur les données qu'il génère », rétorque l'ONG La quadrature du net, favorable aux blocages par défaut.
    Le bras de fer promet d'être intense, d'autant que d'autres pans du projet de règlement font grincer des dents l'industrie, comme le renforcement de la protection des métadonnées des communications électroniques. Les opérateurs télécoms « OTT », comme Skype et WhatsApp, sont en outre dans la ligne de mire . Bruxelles veut leur étendre les obligations de respect des données déjà en place pour les opérateurs « classiques ». Ce qui leur interdirait de continuer à collecter les données de localisation et de trafic qu'ils monétisent et exploitent aujourd'hui.
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    Re : Internet

    Près de 200.000 serveurs concernés par le bug "Heartbleed OpenSSL"



    Plus de deux ans et demi après sa découverte, la vulnérabilité "Heartbleed OpenSSL" menace encore quelque 200.000 sites web et serveurs dans le monde.
    Plus de 300 sont répertoriés au Maghreb, mais la palme d’or revient aux USA avec plus de 42.000 sites vulnérables, selon un nouveau rapport de Shodan, le site web spécialisé dans la recherche de serveurs, de plateformes web et de terminaux mal sécurisés. Dans la liste des entreprises touchées par ce problème, on trouve également d’importants noms des services Internet.
    Le "Heartbleed Report (2017-01)" élaboré par le site Shodan fait état de plus de 199.594 sites web dans le monde concernés encore vulnérables à la faille de sécurité "Heartbleed" (cœur qui saigne) qui touche la bibliothèque de chiffrement OpenSSL. Une dizaine de pays représentent plus de 60% de ces sites vulnérables. Les Etats-Unis sont en tête des pays les plus touchés par cette vulnérabilité logicielle avec 42.032 sites web, suivis par la République de Corée (15.380), la Chine (14.116), l’Allemagne (14.072) et la France (8.702).
    Cinq autres pays complètent le Top 10 : la Russie (6.673), le Royaume-Uni (6.491), l’Inde (5.827), le Brésil (5.497) et l’Italie (4.845).
    Découvert en avril 2014, la vulnérabilité Heartbleed, connue sous la référence officielle "CVE-2014-0160", est l'une des plus grande menace de l'histoire d'Internet ayant affecté la sécurité de deux tiers des serveurs dans le monde, soit un demi-million de serveurs à cette époque.
    Près de trois ans plus tard, ce bug très critique affecte encore plus de 199.500 systèmes, selon un nouveau rapport publié cette semaine par le site Shodan, un moteur de recherche qui scanne les périphériques vulnérables.
    "Heartbleed (CVE-2014-0160) était un grave problème dans la mise en œuvre de l'extension TLS/DTLS de Heartbeat qui permettait aux attaquants de lire des portions de la mémoire du serveur affecté, ce qui révélait potentiellement des données d'utilisateurs que le serveur ne devait pas révéler", selon le site The Hacker News.
    The Hacker News estime que le chiffre de près de 200.000 sites encore sous la menace de cette faille logicielle "est troublant", vu que la découverte de cette vulnérabilité remonte à près de trois ans.
    Le plus grave c’est que de grandes entreprises, notamment des fournisseurs et des hébergeurs Internet et même des opérateurs télécoms, n’ont pas réglé le problème, livrant ainsi leurs clients et abonnés à de graves risques de vols de données.

    Télécoms et Internet

    Le rapport de Shodan dresse une Top liste de dix entreprises et organisations dont les serveurs sont encore sous la menace d’une attaque pirate exploitant la faille Heartbleed du logiciel OpenSSL. Parmi ces entreprises figurent trois opérateurs télécoms, un américain et deux coréens.
    L’opérateur coréen SK Broadband englobe à lui seul plus de 6300 sites et serveurs menacés sur les 15.380 répertoriés en République de Corée. L’américain Amazon, spécialisée dans le commerce électronique, arrive en 2e position avec 5163 sites/serveurs comportant encore cette faille.
    La 3e place revient à l’opérateur mobile américain, Verizon Wireless, avec 4347 sites vulnérables. Dans le Top 10 des entreprises dont les serveurs présentent cette vulnérabilité on trouve également l’hébergeur français OVH (3133 sites, 7e place), l’américain Comcast Cable (9e, 2692 sites vulnérables), Korea Telecom (4e place, 4147 sites menacés), et le fournisseur Internet Allemand "1&1 Internet AG" (8e place, 2942 sites).
    Certificats périmés
    Selon la même source, "environ 75.000 des services vulnérables utilisent des certificats SSL périmés et exécutent Linux 3.x". Cependant, le nombre de certificats SSL non périmés concernés par cette faille représente près de 120.000.
    Quant aux systèmes d’exploitation les plus rencontrés dans les serveurs présentant la faille logicielle OpenSSL, Linux 3.x arrive en tête avec plus de 1654 systèmes (messageries, applications, et serveurs). Les autres systèmes d’exploitation (ou versions) concernés sont : Linux 2.6.x, Windows 7 et 8, Linux 2.4-2.6 et FreeBSD 9.x.
    "Shodan a collecté des données principalement sur des serveurs Web (HTTP / HTTPS - ports 80, 8080, 443, 8443), ainsi que FTP (port 21), SSH (port 22), Telnet (port 23), SNMP (port 161) (Port 5060), et le protocole de transmission en temps réel (RTSP, port 554). Ce dernier peut être utilisé pour accéder aux webcams et à leur flux vidéo", explique le site britannique Computing.
    L’Afrique aussi menacée
    Comparativement aux dix principaux pays cités dans le rapport de Shodan, les pays d’Afrique et de la zone MENA sont largement moins menacés par la faille logicielle OpenSSL. Dans cette région, c’est l’Afrique du Sud qui est la plus touchée avec 811 serveurs, suivie du Maroc (252), de l’Egypte (143), du Kenya (89), du Nigeria (77), de la Tunisie (63) et de l’Algérie (55).
    Dans la région MENA, c’est la Turquie qui compte le plus grand nombre de sites et de serveurs menacés estimés à 2469 par le moteur de recherche de Shodan, suivie d’Israël (1439), de l’Iran (807), et de l’Arabie Saoudite (307).
    Enfin, parmi la liste des « produits » très touchés par ces vulnérabilités, l’"Apache httpd" détient à lui seul près de 52.000 systèmes concernés par la menace. Suivi par « FortiWifi 80C firewall http config » (17.158 systèmes menacés), "nginx" (14.185), et « MiniServ » (5852).
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    Re : Internet

    Les Algériens accros à internet.

    De plus en plus d’Algériens sont accros aux réseaux sociaux et au téléphone mobile. Ils y enregistrent leur vie, interagissent avec les autres et sans la moindre hésitation, ils y partagent toutes les facettes de leur vie.


    C’est l’expression moderne d’un besoin de communication. Les smartphones ont favorisé l’émergence de nouvelles habitudes de consultation rapides et répétées, à tel point que nous les regardons compulsivement souvent, même sans en avoir conscience. Un utilisateur consulte en moyenne son smartphone toutes les 10 minutes pour une durée inférieure à 30 secondes.
    Comme avec la cigarette, les réseaux sociaux sont maintenant accessibles directement depuis notre poche. Rares sont ceux qui peuvent se passer de lire et d’envoyer des SMS en permanence, consulter leurs e-mails ou jouer à un jeu vidéo.
    On les voit de plus en plus souvent dans les transports (bus, métro, tramway) tapoter sur leur smartphones à longueur de trajet comme des robots. Ils sont dans leur bulle, quasi en transe, les yeux exorbités. Ils n’ont plus de vie sociale, donc moins de liens avec les autres, toute la vie se passe devant l’écran. Les jeunes ne communiquent plus que par écrans interposés, ont des amis virtuels et des conversations entières par texto.
    Quel est le premier geste au réveil ? Face à cette interrogation, beaucoup de jeunes répondent : «Le téléphone», éteindre l’alarme et ensuite se connecter à internet pour consulter leurs mails, regarder l’actualité ou les réseaux sociaux. Il faut cependant se garder de dramatiser. Tout est une question d’usage et de dosage. Selon Catherine Lejealle, sociologue et auteur de J’arrête d’être hyperconnecté (éd. Eyrolles), «il n’y a addiction que lorsqu’il y a une réelle souffrance, observable médicalement.
    Sauf cas extrêmes, la dépendance que nous développons face aux technologies est parfaitement normale : ces dernières nous simplifient la vie en nous offrant de multiples services et réponses à portée de main. Il faut donc se garder de voir la technologie en noir, mais observer simplement quelques précautions.» Bien que le temps soit un facteur de risque de cyberaddiction, un usage excessif n’est pas forcément une addiction, surtout s’il n’existe pas de souffrances ni de conséquences de cet usage sur les domaines importants de la vie.
    Outil bénéfique, moyen maléfique ?

    En cas d’excès, ces troubles ont en commun la perte de contrôle et la négligence des activités quotidiennes, des symptômes de manque comme l’irritabilité et la tension interne, une tolérance avec un besoin accru de temps passé sur internet et des effets sur la vie privée, tel le mensonge à son entourage. Les cas les plus graves mènent à l’isolement social, à l’exclusion scolaire, au chômage, à des troubles graves du sommeil ou à une dépression sévère.
    Les Algériens s’affichent de plus en plus sur le Net. Ils y consacrent plusieurs heures comme pour rechercher une évasion ou bien rechercher ce qu’ils n’arrivent pas à avoir dans la vraie vie (l’âme sœur par exemple). Il y a aussi le manque de loisirs et de consommation culturelle qui jettent les Algériens dans la Toile.
    «Le nombre total d’Algériens présents sur Facebook est considérable, car il constitue la 5e population la plus nombreuse parmi les pays arabes après l’Egypte, l’Arabie Saoudite, le Maroc et l’Irak», a indiqué Younès Grar, consultant en TIC. Les médias sociaux : outil bénéfique, moyen maléfique ? Ali Kahlane, président de Satlinker, a tenté d’y répondre lors du 5e symposium sur la cybercriminalité qui a eu lieu en novembre 2016 à Alger.
    Les utilisateurs de mobile constituent la moitié de la population mondiale, il est vendu 2,5 million de smartphones par jour. 15 nouveaux utilisateurs de médias sociaux s’inscrivent chaque seconde, c’est 1 million par jour. Facebook gagne un demi-million de nouveaux utilisateurs par jour, 6 nouveaux profils par seconde.
    Le nombre d’utilisateurs des médias sociaux a augmenté de 300 millions depuis 2015. Chatter est l’activité principale des utilisateurs des médias sociaux, vient ensuite la lecture des posts publiés par les autres. Rencontrer des gens est la raison principale à l’usage des médias sociaux qui représente 59% dans le monde arabe, ensuite vient le besoin de s’informer, visionner des vidéos, écouter de la musique et partager des photos.
    Les aspects positifs sont nombreux : connecter les gens et réduire les distances, le rapprochement des familles, se faire rapidement de nouveaux amis sans aucune limite ni frontière, plateforme instantanée pour s’informer rapidement, partage de tous types de variétés et de divertissements, gratuité dans la communication et remède contre la solitude qui permet l’évasion virtuelle.
    Les aspects négatifs sont aussi nombreux : internet ne favorise pas l’interaction réelle avec les gens, fragmentation familiale, terrain favorable pour une vie léthargique et inactive, risque d’être exposé à du contenu inapproprié, désinformation, incompatibilité avec la culture berbéro-arabo-musulmane et diffamation. «En 2025, nous passerons plus de temps connectés qu’à dormir», note Ali Kahlane. Selon le cabinet d’analyse Forester, un possesseur de smartphone consulte l’écran de son terminal 150 fois par jour.

    Les dangers de la «magie bleue»

    En Algérie, le nombre d’utilisateurs de smartphones a dépassé les 16 millions d’individus en 2015, selon les chiffres de l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) qui reprennent le nombre d’abonnements à l’internet via la technologie 3G. Une étude réalisée par Ericsson Lab estime que les smartphones représentaient en 2014 plus de 26% des moyens d’accès à internet en Algérie, sachant que 63% des intentions d’achat de téléphone concernent ce type d’appareil, soit plus de 10 millions d’utilisateurs au tout début du lancement de la 3G mobile.
    Les dangers de la dépendance aux réseaux sociaux, notamment Facebook, sont qualifiés de «magie bleue». Les spécialistes estiment que cette addiction suscite les mêmes dangers sociaux et psychologiques que les drogues physiques chez leurs consommateurs.
    Cette dépendance des jeunes Algériens aux réseaux sociaux est un phénomène de société qui se propage à vitesse grand V. Les parents, eux, commencent à s’inquiéter du comportement de leurs enfants et adolescents qui passent plusieurs heures par jour devant leurs écrans.
    La frontière entre un usage normal, même important, et un usage devenu pathologique n’est pas toujours évidente à cerner. Il y a addiction lorsque l’usage d’internet a un impact sur la scolarité, le travail, ou lorsque la personne s’isole, cesse de s’alimenter normalement et n’arrive plus à dormir suffisamment. Mais l’addiction a parfois d’autres causes, comme la difficulté de certaines personnes à établir des rapports avec les autres.
    Chez les adolescents, il faut veiller à bien faire la différence entre, d’une part, un fort intérêt passager, qui est l’occasion d’expérimenter de nouvelles modalités relationnelles et relève du développement de l’individu en tant que personne et, d’autre part, l’addiction qui s’accompagne d’un repli sur soi marqué et de l’abandon des autres modes d’échange.
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    Chez les enfants, l’absence de cadre fixé par les parents ou de dialogue familial sur le sujet semble contribuer à l’apparition de ces troubles. Le manque d’opportunités d’activités physiques ou sportives, comme l’absence de réseau amical, peuvent également favoriser la dépendance aux jeux vidéo chez les plus jeunes.

    Chiffres :
    16 millions Le nombre d’utilisateurs de smartphones en Algérie, a dépassé les 16 millions d’individus en 2015, selon les chiffres de l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) qui reprennent le nombre d’abonnements à l’internet via la technologie 3G.
    26%

    Une étude réalisée par Ericsson Lab estime que les smartphones représentaient en 2014 plus de 26% des moyens d’accès à internet en Algérie, sachant que 63% des intentions d’achat de téléphone concernent ce type d’appareil. Soit plus de 10 millions d’utilisateurs au tout début du lancement de la 3G mobile.

    10 mn
    Un utilisateur consulte son smartphone toutes les 10 minutes en moyenne.
    150 fois Selon le cabinet d’analyse Forester, un possesseur de smartphone consulte l’écran de son terminal 150 fois par jour.
    15 C’est le nombre d’utilisateurs de réseaux sociaux qui s’inscrivent chaque seconde, soit 1 million par jour.
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    Re : Internet

    T411.al : comment contourner le blocage DNS en France et accéder au site.

    Le site T411.al de téléchargement de torrents n’est plus accessible en France ? Pas vraiment. La justice a ordonné le blocage DNS de son accès. Depuis tous les opérateurs ont appliqué le blocage du site, mais un blocage DNS n’est vraiment pas difficile à contourner. Voici quelques méthodes, qui peuvent d’ailleurs vous servir pour d’autres sites bloqués !






    De nombreux messages d’utilisateurs se plaignent de problèmes avec leur tracker pour télécharger les torrents. Comme l’expliquent les administrateurs de t411, l’adresse des trackers a changé et il faut donc parfois aller la modifier manuellement dans les propriétés de vos torrents. Voici la bonne adresse :

    Comment passer outre le blocage DNS de T411.ai pour y accéder

    Le site T411.al est peut-être bloqué en France. Une décision de justice a en effet ordonné le blocage de T411 dans l’hexagone. Bouygues, Free, Orange, SFR n’ont eu d’autre choix que d’appliquer la décision de justice. Mais comme toujours avec ce genre de décision technique, la parade est vite trouvée.En fait, le site est toujours en ligne, mais n’est simplement pas accessible dans l’hexagone pour peu que vous n’ayez pas changé les paramètres DNS par défaut de votre FAI. La méthode la plus simple consiste donc à changer vos paramètres DNS sur votre ordinateur ou box internet pour accéder au site t411.Vous pouvez, entre autres, utiliser les adresses DNS de Google 8.8.8.8 et 8.8.4.4, ou encore celles, un peu moins mnémotechnique du parti pirate norvégien, 87.238.35.136 et 185.56.187.149, voire celles d’OpenDNS 208.67.222.222, 208.67.220.220.Comment changer les réglages DNS pour accéder à T411

    Le plus simple sera d’essayer de changer les réglages DNS directement sur votre box internet. Pour y parvenir, nous vous conseillons de consulter notre guide spécial routeur internet fait, à l’origine, pour le WiFi. Mais vous trouverez facilement la zone à changer en fouillant un peu dans votre interface de gestion. L’avantage, c’est que tous les ordinateurs se connectant à votre box pourront bénéficier du changement de DNS.

    Le cas échéant, il vous faudra changer manuellement le paramètre sur chacun de vos ordinateurs sur lesquels vous souhaitez vous affranchir de tout blocage.Sous Windows 8, 8.1 et 10

    • Faites un clic droit sur l’icône réseau de la barre des tâches
    • Cliquer sur Centre réseau et partage
    • Cliquer sur Modifier les paramètres de la carte

    Sous Windows 7 et Vista

    • Allez dans le Panneau de configuration
    • Allez dans Centre réseau et partage
    • Allez dans Modifier les paramètres de la carte / Gérer les connexions réseau

    Sous Windows XP

    • Allez dans le Panneau de configuration
    • Allez dans Connexions réseau et internet
    • Allez dans Connexions réseau

    Pour toutes ces versions de Windows, faites ensuite un clic droit sur l’icône de votre adaptateur réseau, puis cliquez sur Propriétés. Sélectionnez Protocole Internet version 4 (TCP/IPv4) puis cliquez sur Propriétés. La fenêtre qui s’affiche doit ressembler à la capture suivante :
    Cochez Utiliser l’adresse de serveur DNS suivante et entrez l’une des paires d’adresses DNS données plus haut. Cochez Valider les paramètres en quittant puis cliquez sur OK. C’est fait !Sous Mac OS X

    • Allez dans Préférences système > Réseau > Avancé
    • Cliquez sur l’onglet DNS et ajoutez la paire d’adresse une par une en appuyant sur le + de la partie gauche.
    • Cliquez sur OK puis Appliquer

    Comment se protéger par d’autres moyens

    Le DNS n’est pas la seule solution, bien que c’est sûrement la plus simple, si vous ne vous y connaissez pas du tout. Mais si vous êtes habitué à dézonner Netflix, vous pouvez tout aussi bien utiliser un VPN. Celui-ci vous permet de vous connecter à internet depuis l’étranger, ce qui vous soustrait par la même occasion à la vigilance d’Hadopi.Une autre solution relativement simple à mettre en place, c’est d’utiliser un proxy. Moins sécurisé que le VPN, cette solution fait néanmoins le job pour tout ce qui concerne le blocage de sites via DNS. Il suffit de trouver des adresses proxy gratuite à l’extérieur de l’hexagone. Et de configurer une extension pour votre navigateur, telle que Proxy SwitchyOmega.Pour l’heure, T411 est de nouveau accessible à la faveur d’un changement de nom de domaine de .ai à .al. Il faudra en effet une décision de justice pour que ce nouveau nom de domaine soit à son tour bloqué. Mais quoi qu’il arrive, vous devriez sans problème arriver à vos fins en utilisant ce guide !
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